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  • 21/05/2025
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👉🏼Pour la première fois depuis 25 ans, les Knicks se sont qualifiés en finales de conférence Est. Le groupe new-yorkais vit bien, il est hargneux, soudé, et surtout, il vient de sortir le champion en titre, les Boston Celtics. Est-ce qu’ils peuvent aller au bout cette saison pour la première fois depuis plus d’un demi-siècle ? C’est ce qu’on analyse aujourd’hui. Très bon visionnage !👈🏼

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🎵Musique de fond
Titre : Daily Dozen
Auteur : Astat
Source : https://soundcloud.com/astat
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🎵Générique
(par Aurélien Lafon : https://www.instagram.com/aurel_lafon/)
Titre musique : Plastic Submarine
Auteur musique : The Grammar Club
Source musique : https://www.facebook.com/TheGrammarClub
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#AnalyseNBA #Knicks

Catégorie

🥇
Sport
Transcription
00:00L'équipe, juste pour information, sachez que désormais, vous pouvez retrouver tous mes contenus sur Youtube, bien sûr, mais aussi dès le lendemain sur Spotify.
00:09Salut l'équipe, comment ça va aujourd'hui ? Une vidéo du 6ème homme en pleine semaine, mais qu'est-ce qui se passe ?
00:15Et ouais, j'ai eu envie de me faire plaisir, en mode surprise, et j'espère que ça vous plaira.
00:19Pourquoi je fais ça ? Et bien tout simplement parce que j'ai envie de parler des playoffs.
00:23Bah ouais, quand je vous propose des sujets sur Instagram, et je peux pas vous en vouloir pour ça, à chaque fois, vous sélectionnez des trucs qui concernent la saison prochaine.
00:30Et je comprends en vrai, moi aussi, j'ai envie d'en parler, les transferts à venir, les prospects qui vont débarquer en NBA, c'est hypant tout ça.
00:37Mais du coup, j'en parle quand des playoffs, moi ? Et bien aujourd'hui, c'est l'occasion.
00:41Du coup, cette fois-ci, pas de vote, pas de sondage Insta, cette fois-ci, c'est moi qui prends le contrôle, ça me démangeait trop.
00:47Parce que ce que sont en train de faire les Knicks, là, en ce moment, c'est peut-être encore plus qu'un simple run de playoffs.
00:52C'est peut-être le début de quelque chose de grand, ou en tout cas, quelque chose qui me parle.
00:56Et ça méritait qu'on s'y attarde au moins le temps d'une vidéo.
00:58En fait, j'ai une question simple, est-ce que 2025 pourrait être l'année des Knicks ?
01:02Pas juste une bonne saison, hein ? Celle qui change tout, l'année qui le replace au sommet.
01:07Pour répondre à ça, on va parler NBA, on va parler ambition, on va parler storytelling, et on va même parler de mon enfance.
01:13Et ouais, alors on y va, installez-vous bien, on décolle tout de suite, direction le Madison Square Garden.
01:22Pour cette vidéo, une fois n'est pas coutume, j'ai eu envie de tenter un truc que je ne fais absolument jamais d'habitude.
01:42Mais là, je trouve que ça s'imposait, ou en tout cas, ça s'y prêtait bien.
01:45Une petite intro en mode édito à cœur ouvert.
01:47Pourquoi ? Parce que les Knicks de cette saison, ils réveillent en moi un paquet de souvenirs.
01:52Si vous me connaissez un peu, vous le savez, je suis fan des Sixers, depuis toujours.
01:56Mais faut être honnête, quand j'ai commencé à suivre la NBA dans les années 90, les Sixers étaient complètement à la ramasse.
02:01Alors oui, je les gardais dans un coin de ma tête, ils faisaient partie du décor, mais si je voulais vibrer un peu pendant les playoffs, il me fallait une équipe secondaire.
02:08Et non, ça n'allait pas être les Bulls. Trop facile, trop mainstream.
02:11Jordan venait de prendre sa première retraite, il venait de battre les Suns en finale.
02:15Je voulais pas m'accrocher au wagon des champions et faire comme tous mes potes.
02:17Je voulais une équipe avec du style, du cœur, et surtout un vrai combat à mener.
02:21Et c'est là que les Knicks sont arrivés.
02:23Enfin, ils sont pas non plus arrivés là comme par magie.
02:25C'est mes grands-parents qui sont allés à New York à l'automne 93.
02:28Et merci papy, merci mamie, ils m'ont ramené un maillot, celui de Patrick Ewing.
02:32Et ce maillot, je le garde précieusement.
02:34C'était mon tout premier.
02:35Il m'a connecté à quelque chose, à une ville, à une franchise, à une mentalité, à une époque.
02:39Quand je le mets là maintenant, j'ai du mal à réaliser qu'il y a 30 ans, il m'était beaucoup trop grand.
02:44Par contre, ce qui est sûr, c'est que ce cadeau m'a directement donné envie de suivre les Knicks de près.
02:48Et cette saison-là, 93-94, elle est gravée dans ma tête.
02:52Deuxième à l'Est, des playoffs de folie, des séries mythiques face aux Bulls, face aux Pacers,
02:56jusqu'à ces finales incroyables contre Houston.
02:597 matchs jusqu'au bout du suspense.
03:01C'est cette équipe-là qui m'a fait tomber amoureux du basket NBA.
03:04La Dream Team m'avait ouvert les yeux en 92,
03:06la finale 93 m'avait mis une claque, mais c'est Knicks 94, c'est eux qui m'ont fait vibrer pour de bon.
03:12Ouais, c'est après cette finale que pour moi, le basket est devenu une évidence, une passion, qui n'allait jamais s'éteindre.
03:18Bien sûr, ensuite, les années ont passé, je suis revenu aux Sixers, ma team de cœur, parce que je suis fidèle.
03:23Et quand Iverson a débarqué à Philly, j'étais trop heureux.
03:25J'étais ado, j'adorais les rebelles, et Iverson, c'était le roi des rebelles.
03:29Mais même là, même à ce moment-là, je n'arrivais pas à totalement renier les Knicks.
03:34Quand en 98, Latrell Sprewell, ouais, ce même Sprewell qui avait tenté d'étrangler Don Nelson, est arrivé à New York, j'étais comme un fou.
03:41Ouais, quand je vous dis que je kiffais les rebelles, ce n'est pas une blague.
03:43Spree rejoignait Ewing, Houston, Larry Johnson, Camby, une équipe de soldats, de mecs prêts à mourir sur le parquet.
03:49Et cette épopée de 99, où ils atteignaient encore une fois les finales NBA en étant 8ème de leur conférence, c'était dingue.
03:55Je me disais que j'étais censé les détester, qu'ils étaient dans la même division que mes Sixers, mais au fond, j'étais encore à fond derrière eux, un peu en cachette.
04:03Mais après cette finale 99, je dois le dire, ma camaraderie envers les New Yorkais s'est rapidement éteinte.
04:08Déjà, avec AI, Philly devenait compétitif, mais surtout, les Knicks m'ont perdu.
04:13James Dolan, les années Isaiah Thomas, les choix foireux, le Star System, c'était trop.
04:17Ces Knicks, je ne les reconnaissais plus, je les ai abandonnés, rangés dans un coin de ma mémoire.
04:21Comme si en 2001, je m'étais marié aux Sixers, et que les New Yorkais, eux, restaient surtout comme un bon souvenir, une amourette d'adolescence.
04:28Et pourtant, là, en 2025, c'est plus fort que moi, il y a quelque chose qui revient.
04:32Cette équipe est en train de me faire ressentir un truc que je croyais définitivement enterré.
04:37Pas juste parce qu'ils jouent bien, pas juste parce qu'ils ont sorti les Celtics, et là, franchement, rien que pour ça, je pourrais leur ériger une statue.
04:42Mais parce qu'ils jouent avec une hargne, une abnégation, une intensité qui résonne avec ce que j'aimais chez eux, ce que j'aimais dans le basket tout court, en fait.
04:48Et ouais, c'est paradoxal, mais vu que les Sixers ont saboté leur propre saison, j'ai décidé de me laisser aller sans avoir l'impression, finalement, de trahir qui que ce soit.
04:57Parce que ouais, les Knicks, eux, avancent ensemble, forts, solidaires, et moi, au lieu de bouder mes Sixers, je prends du plaisir à les voir jouer.
05:03J'en arrive même à espérer qu'ils aillent au bout.
05:05Je me surprends à rêver avec eux, parce que si cette équipe-là arrive à gagner, ce serait comme une boucle enfin bouclée.
05:10Un rêve de gamin accompli, et un rêve que je pensais perdu à jamais.
05:13Et un rêve que je dois le dire, j'adorerais voir se réaliser avant d'enfiler à nouveau ma tunique des Sixers au mois d'octobre 2025.
05:21Et là, j'ai pas honte de le dire, je suis fan des Sixers, mais aujourd'hui, j'ai envie que les Knicks aillent au bout.
05:25J'ai envie qu'ils écrivent une nouvelle page de leur histoire, qu'ils gagnent ce titre qu'ils n'ont plus touché depuis 1973,
05:31qu'ils finissent enfin ce qu'ils ont commencé devant moi en 94, ce qu'ils ont poursuivi en 99,
05:36mais ce que, de mon vivant, ils n'ont jamais accompli.
05:38Et ouais, j'assume, je veux qu'ils aillent au bout, je veux qu'ils le gagnent, ce titre de 2025, j'ai envie que cette année soit la leur.
05:44Perdu pour perdu, de toute façon, elle ne sera plus à Philadelphie, alors pourquoi pas l'affiler à New York ?
05:48Mais en sont-ils capables, ces Knicks ? Est-ce que cette équipe-là peut vraiment le faire ?
05:53Et bien, vous l'avez compris, après cet édito peut-être un peu long pour certains, c'est exactement ça que je veux aborder dans cette vidéo.
05:59Donc ouais, bref, trêve de nostalgie.
06:01Si vous êtes là, c'est pas pour m'entendre raconter ma vie, donc rentrons dans le vif du sujet.
06:05Et si on s'en tient aux chiffres, on pourrait croire que la saison régulière d'Enix a été propre, presque académique.
06:1051 victoires, 3ème place à l'Est, une des meilleures attaques de la Ligue,
06:14mais derrière ce bilan lisse, c'est tout un récit de progression, de doute, d'adaptation et de confirmation
06:19qui s'est écrit entre octobre et avril.
06:21Et c'est ce récit-là qu'il faut analyser pour comprendre pourquoi cette team peut faire peur en play-off.
06:26Déjà dans les coulisses, l'été 2024 a été agité, voire même audacieux.
06:30Leon Rose a fait sauter la banque pour mettre la main sur Carl Anthony Towns et Michael Bridges.
06:34Julius Randle et Di Vincenzo ont fait leur valise, des tours de draft sont partis dans tous les sens.
06:38Mais à l'arrivée, l'Enix affichait enfin un 5 majeur digne de leurs ambitions.
06:42Et mine de rien, au moins sur le papier, le roster était prometteur, il faisait kiffer.
06:46Towns, c'était la star complémentaire à Brunson, l'option offensive de luxe à ses côtés, le stretch big moderne.
06:52Bridges, lui, c'était le roleplayer premium, le verrou défensif,
06:55le gars capable d'étouffer le meilleur extérieur adverse tout en plantant ses tirs.
06:59Et avec Oji Anunobi prolongé et Jalen Brunson engagé sur la durée, la structure était posée.
07:04Et comme souvent, avec les grosses teams en construction, l'alchimie n'a pas pris tout de suite.
07:09Le début de saison est poussif, 5 victoires, 6 défaites.
07:11La gifle énorme reçue face aux Celtics dès l'opening night a refroidi les ardeurs.
07:15Bridges avait du mal à trouver son rythme, la défense collective tanguée,
07:19et Thibodeau, fidèle à lui-même, commençait déjà à resserrer sa rotation comme un étau.
07:24Et puis décembre est arrivé, et les choses ont changé, du tout au tout.
07:27Un mois quasi parfait, 12 victoires pour seulement 2 défaites,
07:30une attaque qui tourne à plein régime, un plus 170 de différentiel sur la période.
07:35Tantz enchaîne les doubles doubles dont une masterclass à 44 points contre Miami.
07:38Brunson fait du Brunson, il pose de grosses stats,
07:41et est clutchissime dans les fins de match, lui qui a été élu clutch player of the air sans débat.
07:45L'équipe devient méthodique, clinique même,
07:48l'une des attaques les plus efficaces en NBA, malgré un des rythmes les plus lents.
07:51Le jeu est posé, réfléchi, presque chirurgical.
07:55On n'est pas là pour courir, on est là pour exécuter.
07:57Et autour de ce noyau, c'est ça qui est intéressant, c'est que les rôles se dessinent parfaitement.
08:02Oji Anunobi est la définition même du 3nd discipliné, discret mais essentiel.
08:06Josh Hart continue son oeuvre de Glugai,
08:08cœur et poumon de cette équipe, rebondeur monstrueux pour sa taille,
08:12playmaker de l'ombre, mais aussi leader vocal.
08:14McBride dynamite les fins de quart temps,
08:16Precious Hachua cogne à l'intérieur,
08:18Chamette, même s'il reste très unidimensionnel, plante quelques 3 points.
08:22Pas de profondeur de feu, mais des soldats qui connaissent leur mission.
08:25C'est la marque Thibaudot.
08:26Peu de minutes pour le banc, mais chacun sait ce qu'il a à faire.
08:29Même Mitchell Robinson, relégué au second plan avec l'arrivée de Towns,
08:32a trouvé son utilité en tant que rimrunner, en sortie de banc,
08:34dans un rôle de pur protecteur de cercle.
08:37Il a réintégré la rotation fin février après sa blessure,
08:40pile au moment où la défense avait besoin d'un coup de vis,
08:42et il a su combler quelques failles.
08:43C'est intéressant ça aussi.
08:44Et ce qui m'a particulièrement impressionné avec l'Enix de cette saison,
08:47c'est leur constance dans l'effort.
08:49Mois après mois, ils n'ont jamais plongé.
08:51Pas de série noire, pas de grosses blessures pour les cadres.
08:53Un collectif qui se consolide.
08:54Et surtout, une identité, dureté, discipline, efficacité.
08:58Ce n'est pas l'équipe la plus spectaculaire,
09:00mais c'est une équipe qui sait ce qu'elle fait,
09:02qui joue en half-court avec patience,
09:03et qui sous la houlette du maestro Jalen Brunson ne panique jamais.
09:07Alors ouais, de cette saison,
09:08on peut retenir la 3ème place à l'Est de cette équipe new-yorkaise.
09:11Mais moi, ce qui m'a particulièrement marqué,
09:13c'est cette espèce de maturité qu'elle dégage.
09:15Ces nix-là ne sont pas juste une belle équipe de régulières.
09:18Ils sont structurés pour les joutes d'avril,
09:19pour les séries serrées, pour les possessions qui comptent.
09:22Ils ont traversé leurs doutes,
09:23absorbé leurs recrues, trouvé leur équilibre.
09:25Et quand ils ont débarqué en playoff,
09:27ils affichaient une confiance tranquille,
09:28presque inquiétante pour leurs adversaires.
09:30Et ça, il fallait le confirmer dès le premier tour,
09:33face à l'équipe Cinderella de la saison,
09:35les Detroit Pistons.
09:36Et cette série, je vais m'en souvenir longtemps.
09:38Pas parce que c'était un chef-d'oeuvre de basket,
09:40non, parce que c'était un enfer à traverser.
09:42Une guerre d'usure.
09:43Comme élever ton premier enfant.
09:45T'arrives sûr de toi, convaincu que t'es prêt,
09:47et très vite, tu réalises que tu vas juste essayer de survivre.
09:51Malgré une victoire new-yorkaise au match 1,
09:53cette série est bien plus compliquée que prévu.
09:56Lors du Game 2 au Garden,
09:57les Pistons volent le match.
09:58Kate Cunningham dicte le tempo.
10:00Les nix sont mous brouillons, presque méconnaissables.
10:02Et ce, dès l'entame de la rencontre.
10:04Schroeder et Cunningham cumulent 53 points à eux deux.
10:07Et les New-Yorkais s'inclinent 100 à 94.
10:09Un partout.
10:10Mais les nix n'ont pas paniqué.
10:12Et encore une fois, Brunson est arrivé avec sa cap.
10:15Contre D3, dans le match 3, il porte l'attaque comme un vétéran.
10:18Avec ce mélange de lucidité et de folie contrôlée
10:20qui fait de lui un vrai boss dans les moments chauds.
10:22Il marque 30 points ou plus pour la troisième fois en trois matchs.
10:25Et les nix s'imposent sur le fil 118 à 116.
10:27À D3, pour reprendre l'avantage 2 à 1.
10:30Ouf, New-York respire, mais le plus dur est encore à faire.
10:33Game 4 à D3.
10:34Les nix sont menés de 11 points dans le quatrième quart.
10:36Le genre de scénario qui fait transpirer tout fan de Big Apple encore traumatisé par les dernières décennies.
10:41Mais c'est là que les leaders prennent le flambeau.
10:43Brunson plante 15 points dans le carton.
10:45Towns, lui, en ajoute 8, nous gratifiant de quelques shoots impossibles.
10:49Pendant que Michael Bridges plante 2 tirs dans le corner pour une victoire au forceps sur le score de 94 à 93.
10:55C'était fou, je me dis, le genre de séquence, de statement qui peut faire basculer une série.
11:00Par contre, c'était pas beau, c'était pas fluide, c'était crasseux.
11:03Et je crois que j'aime ça.
11:04Pendant tout le match, il y a eu des coups en douce, des écrans illégaux, des coups de sifflets litigieux, des pertes de balles, de la tension et même des blessures.
11:12Tout le monde a retenu son souffle quand Brunson a fait un tour au vestiaire, touché à la cheville.
11:16Mais il est revenu et il a assuré.
11:18Pourtant, malgré la win et l'avantage 3-1 qui était pris, il n'y avait pas non plus trop de quoi faire la fête à New York.
11:23Défensivement, ni Cat ni Brunson n'ont assuré, au point où dans les dernières secondes, Thibaudot a dû les faire sortir au profit de Robinson et McBride pour sécuriser le score.
11:31Ce groupe, nouvellement construit, manquait encore d'automatisme et des inquiétudes légitimes pointaient le bout de leur nez.
11:36Bon, ça n'empêchera pas les Knicks de s'imposer en 6 matchs, mais au final, ce que je retiendrai, c'est que cette jeune équipe des Pistons a vraiment bien lutté.
11:43Rien n'a été simple pour les New Yorkais. La victoire sur la série a été rassurante, bien sûr, mais concernant la suite, on pouvait douter.
11:50Cette série a mis en lumière à la fois les promesses et les limites de cette équipe.
11:53Oui, Brunson et Tantz ont été clutch, oui, Bridges a répondu présent dans les moments cruciaux, mais la défense a parfois pris l'eau.
11:59Certains roleplayers adverses, comme House Art Thompson ou Ron Holland, ont beaucoup été lus et ouverts, sans que ça ne coûte trop cher.
12:05Attention à ne pas reproduire les mêmes erreurs contre un adversaire plus expérimenté.
12:08Ce groupe New Yorkais, c'était sa première vraie campagne ensemble, sa première guerre.
12:12Face aux Pistons, ils sont tombés, ils se sont relevés, ils ont vacillé, mais ils ont avancé.
12:17Même si l'on pouvait s'attendre à mieux, d'un point de vue basket concernant ces Knicks au premier tour, ils ont quand même évité de tomber dans le piège du Michigan.
12:24Leur campagne de playoff pouvait donc se poursuivre, et c'est là que jusqu'à maintenant est arrivé le plus beau.
12:29Ce qui s'est passé au deuxième tour entre New York et Boston, c'est plus qu'un simple upset.
12:33C'est une page de l'histoire des Knicks qui vient de s'écrire.
12:35Et le plus fort, c'est que ça a été fait en toute sérénité, sans jamais tomber dans la panique.
12:40Pas de miracle, pas de buzzer beater, juste une exécution.
12:44Chirurgicale.
12:44Ouais, après 4 matchs, les Knicks menaient déjà 3-1.
12:47Et personne, absolument personne, avant la série ne s'attendait à ça.
12:51Que s'est-il passé ?
12:52Et bien tout simplement, les Celtics, chez eux, se sont vus trop beaux trop vite.
12:55Deux fois, ils menaient de 20 points dans le troisième quart, et deux fois, ils se sont relâchés,
12:59insistant bêtement sur le tir extérieur alors que plus rien ne rentrait.
13:02Pendant ce temps, les Knicks n'ont rien abandonné, ils ont tout donné, ils se sont battus, et le karma les a récompensés.
13:07Commencer la série 2-0 après deux rencontres à l'extérieur, c'était le meilleur départ possible pour les New Yorkais.
13:13Et pourtant, personne n'osait encore y croire, et encore moins quand les Celtics ont remporté le match 3 au Madison Square Garden.
13:19Et ce match 4 à Big Apple, c'est devenu le tournant de la série.
13:21Avec 39 points et 12 passes, Jalen Brunson a livré une performance royale, bien épaulée par Intense, encore une fois en gros double-double.
13:28Pour les Celtics, c'est sale. Ce match-là, c'était plus qu'une victoire, c'était une déclaration.
13:33Une preuve que le cœur, la foi, la cohésion et la sueur sont souvent bien supérieurs aux talents bruts.
13:38Et ça, les Celtics l'ont vécu à leurs dépens.
13:40A l'image de Jason Tatum, victime, le pauvre, d'une rupture du tendon d'Achille à la fin du quatrième quart, Boston s'effondre.
13:47Les 6 ont beau connaître un sursaut d'orgueil lors du Game 5, c'est trop tard.
13:51Le match 6 tue le suspense, une boucherie.
13:53Le score final, 119 à 81, avec l'Enix qui a un moment mené de 41.
13:59Brand connaît des problèmes de faute, Porzingis est fantomatique et la maison verte est dépassée.
14:04Pendant ce temps, New York s'enflamme et l'Enix s'envole.
14:066 joueurs à plus de 10 points, 4 starters à plus de 21, Josh Hart en triple double.
14:11Et surtout, une défense qui verrouille tout.
14:13En un seul match, les New Yorkais ont fait en sorte que toute la planète basket efface les doutes qu'elle avait à leurs propos.
14:19En termes d'intensité, ce gros match d'Enix est réellement devenu une référence.
14:23Et surtout, ce Game 6, ça a été la première victoire tranquille de ces playoffs pour New York.
14:28Avant ça, chaque rencontre remportée se jouait dans le money time, à une ou deux possessions près.
14:32Là, ça a été une promenade, un statement, au moment qui jusque là était le plus important de leur saison.
14:39Et même peut-être de ces 5 ou 10 dernières années.
14:42Alors est-ce que ce succès signifie que l'Enix sont prêts pour aller jusqu'au bout ?
14:45Pas encore.
14:46Brunson lui-même est mesuré.
14:47C'était l'une de nos meilleures perfs, mais on a encore du chemin à faire, a-t-il dit.
14:51Et il a raison, le champion en titre a été écarté, ok, mais rien n'est encore terminé.
14:56Tout commence.
14:56N'empêche que ce que ces Enix ont montré face aux Celtics, cette rigueur, cette intensité, cette humilité, ça, c'est du matériel de champion.
15:03Là, au point où nous en sommes, deux étapes ont été franchies pour l'Enix.
15:07Mais il restera encore deux séries à remporter pour toucher le Graal.
15:10Et je ne vais pas mentir, cette prochaine étape, ce Nick Spacer sans finale de conférence, il me fait déjà saliver.
15:16Pas juste parce que c'est une belle affiche, non, mais parce qu'elle me parle, parce qu'elle me ramène aux gamins des années 90 que j'étais.
15:22Cette rivalité-là entre New York et Indiana, à l'époque, ce n'était pas juste du basket, c'était la guerre.
15:27C'était une guerre d'usure, de provocation, de coups bas et de sang.
15:31Et c'était trop cool à observer.
15:32Chaque match, c'était un épisode de The Wire.
15:35Plein de tensions, et j'adorais ça.
15:36Et voilà, 30 ans plus tard, on y retourne.
15:39Comme si mes vieux souvenirs-là étaient en train de sortir du formule pour venir taper à ma porte.
15:44En fait, tout a commencé en 1993.
15:46Les Knicks de Pat Riley dominaient l'Est avec leurs jeux durs comme du béton armé.
15:50Les Pacers, eux, s'étaient qualifiés en play-off in extremis.
15:53Mais boum, dans le Game 3, un simple trash talk entre Reggie Miller et John Starks vire à l'explosion.
15:58Starks pète un plomb. Expulsion.
16:00Ce soir-là, la rivalité est née, et elle va durer presque une décennie.
16:04À coups de séries épiques, de choux devenus d'ailleurs, et de suspense terrifiant.
16:091994, c'est le duel au sommet.
16:11Les Knicks sont favoris depuis la retraite de Jordan.
16:13En face, Reggie et ses sbire arrivent confiants.
16:15Et dans le Game 5, Miller lâche 25 points dans le dernier quart au Garden.
16:19Tout en parlant à Spike Lee comme s'il était chez lui.
16:22Choke sign, bienvenue dans la légende.
16:24Mais malgré cet affront légendaire qui leur a valu les moqueries du New York Times, les Knicks survivent.
16:29Ewing lâche un match de Mammouth dans le Game 7 avec 24 points, 22 rebonds, 7 passes et 5 contres s'il vous plaît.
16:35Il place une claquette dunk décisive.
16:38Pendant ce temps, Reggie balance un airball sur son dernier tir.
16:41La salle explose.
16:42New York exulte.
16:43Pour l'instant, 2 séries, 2 victoires des Knicks avantagent New York.
16:47Mais en 1995, la tendance s'inverse.
16:49Game 1, le Garden croit avoir le match en poche.
16:52Il reste 18 secondes.
16:53Les Knicks mènent de 6 points.
16:54Et là, Reggie Miller plante 8 points.
16:57En 18 secondes, 3 points.
16:59Interception, re-3 points, 2 lancés.
17:01Les Knicks sont morts debout.
17:03Les Pacers prennent la série.
17:04Après 2 années de défaite, ils prennent leur revanche.
17:07Une revanche folle, gravée à jamais dans l'histoire.
17:10Il y en a eu d'autres.
17:1098, 99, 2000 et toujours la même intensité.
17:14Toujours cette tension qui rendait chaque match irrespirable.
17:17En 1999, les Knicks sortent le Miami Heat de Alonzo Morning en mode buzzer beater d'Alan Houston.
17:22Ils arrivent rincés, sans Ewing face aux Pacers.
17:25Mais ils passent quand même.
17:26C'était une époque où rien n'était écrit à l'avance.
17:28Où les héros étaient cabossés, imprévisibles, mais toujours invincibles.
17:32En 2013 aussi, brièvement, après des années d'abstinence, les deux teams ont recroisé le fer au deuxième tour.
17:38Autour du duo Carmelo Anthony, Amarest ou Demeyer,
17:40beaucoup espéraient un revival des Knicks après leur grosse saison qui les avait menés à la deuxième place de l'Est.
17:45Mais non, cette année-là, Indiana et Paul George étaient trop forts.
17:48Défaite 4-2.
17:49Un gros coup dur pour les New Yorkais à tel point qu'après cette série, ils ne virent plus les playoffs pendant 8 ans.
17:55Et puis, il y a eu l'an dernier aussi.
17:56Encore au deuxième tour.
17:58Les prémices de cette nouvelle rivalité à laquelle on est en train d'assister.
18:01Le round 2, en tout cas.
18:03Après le premier tour face aux Sixers qui avaient bien tiré sur les organismes,
18:06merci Thibodo pour ça,
18:07les Knicks sont arrivés en demi-finale de conf sans Julius Randle.
18:10Et dès le match 2, c'est Anunobi qui se blesse.
18:13C'en est trop pour les New Yorkais qui, sur le terrain, semblent complètement éreintés.
18:17Après avoir remporté les deux premiers matchs, Brunson et ses potes s'inclinent en 7.
18:21Décidément, les Pacers adorent éteindre les rêves des fans de Big Apple.
18:24Et ils le font bien.
18:25Au final, la dernière fois que les Knicks ont battu les Pacers en playoff,
18:29c'était il y a 26 ans.
18:30Et cette année, en 2025, c'est comme si tout ressurgissait.
18:34Parce que ces deux équipes, même si elles ont changé de visage,
18:36portent toujours les cicatrices de leur histoire.
18:38Les Knicks sont enfin de retour au sommet avec une vraie identité.
18:41Une équipe qui défend comme à l'époque du Wingé aux clés.
18:44Et qui, en plus, pour le moment, est au complet.
18:46Et les Pacers, toujours là pour faire dérailler le train des favoris.
18:49Mené par un Tyrese Alliberton qui a hérité de l'insolence d'un Reggie Miller version Gen Z.
18:54Alors ouais, cette série, je vais la kiffer.
18:56Parce que c'est une série de mon enfance.
18:57Parce que c'est une série qui me parle de ce que j'aime dans ce sport.
19:00Et parce que si les Knicks veulent aller la chercher leur bague,
19:03il faudra revivre et surtout survivre à cette série contre Indiana.
19:07Comme au bon vieux temps.
19:08On va avoir droit à une nouvelle guerre, à un nouveau chapitre brûlant.
19:12Ça sent la poudre et ce n'est pas juste une figure de style.
19:14Pendant que les Knicks écartaient les Celtics, les Pacers dézinguaient les Cavs.
19:18Premier à l'Est en 5 matchs secs.
19:19Avec style, en vitesse, en agressivité.
19:22Eux non plus n'étaient pas favoris des bookmakers à la base
19:24pour aller en finale de conf autour d'un Alliberton qui, paraît-il, est surcoté.
19:28Et pourtant, comme New York, Indiana s'est imposée par sa dureté,
19:31sa constance et sa capacité à imposer son tempo.
19:33Et c'est peut-être là que tout va se jouer, le tempo.
19:36Les Pacers jouent vite, très vite.
19:38Septième pace le plus élevé cette saison.
19:40Ils n'ont pas ralenti en playoff.
19:41Ils courent après les rebonds, après les paniers marqués, après les temps morts même.
19:45Ils te pressent, te provoquent, t'obligent à réagir au lieu d'agir.
19:48A l'inverse, les Knicks veulent contrôler.
19:50Brunson dicte, Towns écarte, Bridges et Anunobi punissent.
19:54Eux jouent lentement, posément, avec patience et discipline.
19:57C'est un duel entre accélération et gestion,
20:00entre chaos organisé et contrôle froid.
20:02La clé, c'est le point de rupture.
20:04Qui va réussir à imposer son rythme à l'autre équipe ?
20:07Est-ce que New York va réussir à ralentir à Liberton et sa clique ?
20:11Est-ce que les Pacers vont réussir à épuiser Brunson en le forçant à jouer vite ?
20:14Parce que sur demi-terrain, Indiana est moins létale.
20:17Et parce que sur jeu en transition, New York est plus vulnérable.
20:21C'est pour ça que sur le plan individuel également, pas mal de visages vont être scrutés.
20:25Jalen Brunson est le cerveau new-yorkais.
20:27Quand il brille, tout s'éclaire.
20:28Mais il va être ciblé en défense, pressé sans relâche.
20:31Il devra survivre physiquement, mentalement, et garder le ballon au chaud.
20:35Towns, lui, doit se réveiller après un 3 sur 19 à 3 points contre Boston.
20:38Son tir extérieur est un baromètre.
20:40Si ça tombe dedans, la défense d'Indiana sera obligée de s'étirer.
20:43Et les coupes de Hart et Bridges deviendront alors dévastatrices.
20:46Et côté Pacers, Ali Burton va devoir jouer le rôle du méchant.
20:50Et il adore ça.
20:51Sur Boosté, après avoir été nommé joueur le plus surcoté de la Ligue par ses pairs,
20:54il est sur un nuage dans ses playoffs.
20:56Il distribue, il shoot, il dirige.
20:58Si sa réussite au tir monte, les Knicks risquent de vivre des soirées très longues.
21:02Il faudra aussi garder un oeil sur Pascal Siakam, qui attaque les mismatches sans pitié.
21:06Sur Miles Turner, dans la raquette, à 3 points, des deux côtés du terrain.
21:09Mais aussi sur Obito Pin, l'ex-new-yorkais, qui amène de l'énergie en transition et pourrait faire très mal en sortie de banque.
21:15Pour l'instant, je trouve ça plutôt équilibré.
21:17Mais là où Indiana a peut-être un avantage, c'est au niveau de la profondeur.
21:20Car là, il tourne à 10, parfois 11 joueurs.
21:22Tout le monde apporte, tout le monde court, tout le monde défend.
21:25Nembard, Nesmith, McConnel, Maturin, des roleplayers potentiellement décisifs, il en a plein dans son escarcelle.
21:31Thibaudot, lui, n'a confiance qu'en 7 gars.
21:33Et même si ça tient pour l'instant, à un moment, ça va tirer dans les jambes.
21:36Pas de back-to-back en play-off, certes, mais l'intensité va monter.
21:39Et sur une série qui pourrait aller en 6 ou 7, ça pourrait compter.
21:42Et quand on sait tout ça, la vraie question, celle qu'on se pose tous, c'est qui est favori ?
21:47Et il faut le dire, ça se joue dans un mouchoir de poche.
21:49Les Knicks ont l'avantage du terrain, la revanche de l'an dernier en ligne de mire,
21:53et une équipe qui, sur le papier, paraît plus affûtée.
21:55Ils ont aussi une défense plus régulière, et surtout Brunson, le clutch player de l'année.
21:59Mais attention, parce que si Indiana prend une victoire à New York d'entrée,
22:02qu'ils imposent leur tempo et qu'ils allument la mèche à 3 points comme ils le font depuis le début des playoffs,
22:07alors tout peut basculer.
22:08Tout laisse entendre donc que ce duel sera un combat total, une guerre entre deux équipes qui se détestent.
22:14Dans cette série, on ne verra pas du beau basket tous les soirs, ce sera tant du hargneux bruyant,
22:18mais ce sera du vrai basket de playoffs avec du sang, de la sueur et des larmes
22:21entre deux franchises qui se respectent autant qu'elles se haïssent.
22:24C'est tout ce que l'on veut voir en vrai, et croyez-moi, ça va chauffer.
22:27Quoi qu'il en soit, le décor est planté, et il est temps de faire une petite parenthèse
22:30pour parler du sponsor du jour, Winamax, que je remercie chaleureusement.
22:34Si l'on se fie aux cotes, chez eux, les New Yorkais sont favoris pour sortir de l'Est, à hauteur de 1,65 contre 1.
22:40Favoris donc, mais c'est tendu, et je me dis que ça peut valoir le coup de mettre une petite piécette sur eux.
22:44Et leur cote pour être champion NBA, elle, elle est à 5,5, la deuxième meilleure après le Thunder d'O'KC.
22:50Alors ouais, ils sont loin d'être les favoris absolus, mais c'est loin d'être improbable non plus.
22:55C'est typiquement le genre de scénario où tu peux prendre un risque mesuré tout en visant un joli gain.
22:59Alors si tu veux tenter le coup, et que t'as envie de mettre un petit billet sur eux pour accompagner leur fin de playoff,
23:04ou juste pour vibrer un peu plus, je t'invite à aller cliquer sur mon lien Winamax que tu trouveras en description.
23:09Pourquoi je te parle de ça ? Eh bien tout simplement parce que juste en cliquant, tu soutiens la chaîne et tout le taf que je fais ici.
23:16C'est bête, mais c'est précieux, on s'en rend pas compte.
23:18La deuxième raison, c'est que tu auras une offre de bienvenue plutôt très cool en passant par là.
23:22Si ton premier pari est perdant, tu seras remboursé cash jusqu'à 100€.
23:26Autrement dit, tu peux tenter un coup pour l'Enix, et si ça passe pas, tu t'en fous.
23:30T'as rien perdu, c'est propre.
23:32Et en plus, vu qu'ils sont cools, si au moment de ton inscription tu rentres le code LE 6ème homme, t'auras 10 balles de paris offerts.
23:38Gratos. Ça en fait des bonus pour parier sur les new-yorkais.
23:42Maintenant, malgré tout ça, même si c'est attirant, fais quand même gaffe.
23:44Les paris sportifs, c'est pas un jeu d'enfant, et c'est pas pour rien si c'est interdit aux mineurs.
23:48Je compte sur toi pour faire ça raisonnablement, sans être idiot.
23:51Le but, c'est de vibrer un peu plus, pas de te mettre dans la sauce.
23:53Alors réfléchis bien, garde la tête froide, et surtout, ne mise que l'argent que tu peux te permettre de perdre.
23:59Si t'as le moindre doute, et que tu sens que ça devient flou, n'hésite pas à faire une pause, ou à te faire aider, y'a pas du tout de honte à ça.
24:06Mais si t'as envie de tenter le coup, de soutenir la chaîne, et de croire à une épopée d'Enix, c'est le moment.
24:11Peut-être que dans quelques semaines, tes potes qui actuellement se moquent de toi te diront que t'avais vu juste.
24:15Et je le répète, avec mon lien et l'offre de bienvenue, sur ton premier pari, t'as absolument rien à perdre.
24:21Et s'ils vont en finale, oui, je le pense, les Knicks auront une chance, encore.
24:25Pas la plus grande, pas la plus évidente, mais une chance, et parfois une chance ça suffit.
24:29Quel que soit l'adversaire de l'Ouest, s'ils arrivent jusque là, à mon avis, en finale, mettons les pieds dans le plat,
24:34ils ne seront pas favoris, que ce soit contre les Wolves ou contre le Thunder.
24:38Ouais, Minnesota ou OKC, ce sera la même, les New Yorkais seront outsiders à mes yeux.
24:43Mais au fond, c'est presque mieux comme ça, parce que les New Yorkais ne sont jamais aussi bons que lorsqu'on ne les attend pas.
24:48Face aux Celtics, c'était déjà le cas, et à chaque fois qu'ils sont dos au mur, ils répondent avec le cœur.
24:53Ils répondent avec cette forme d'unité qu'on ne peut pas vraiment quantifier, mais qui change tout dans une série.
24:57CENIX 2025, ce sont des soldats, et des soldats, ça continue à se battre tant que ça respire encore.
25:03On parle de mecs qui n'ont pas été élevés dans le luxe en NBA, mais dans la sueur, la discrétion,
25:07et surtout la volonté de faire mentir les pronostics.
25:10Et quand je les regarde cette saison, encore un appel à mon enfance, ils me font beaucoup penser à l'équipe de 1999.
25:16Je revois cette épopée complètement folle qui avait mené New York jusqu'au final NBA alors qu'ils étaient 8ème à l'Est.
25:21Je revois Latrell Sprewell, Alan Houston, Larry Johnson, une bande de chiens enragés, de frères d'armes.
25:27Ils s'étaient nourris du doute, ils avaient tout donné, mais ils avaient perdu face à plus fort, face aux Spurs de Duncan et Robinson en finale.
25:33Et surtout, sans Ewing, leur tour de contrôle, blessés.
25:36Aujourd'hui, ce n'est pas la même, les Knicks sont plus hauts dans le classement, ils ont une meilleure team, ils ont fini 3ème en saison dans la conférence Est.
25:42Ils sont plus complets, plus profonds, plus confiants, et pour l'instant, je croise les doigts pour que ça dure, ils ont été épargnés par les blessures.
25:49Là où l'équipe de 1999 arrivait sur une seule jambe en finale, celle de 2025 peut y accéder sur ses deux pieds, et ça, ça peut faire une différence monumentale.
25:58Mais sans ça, de façon plus globale, je vois quand même pas mal de similitudes dans les profils de ces deux teams.
26:03Des joueurs durs, rugueux, jamais starifiés, Josh Hart, Oji Anunobi, Mitchell Robinson, ce ne sont pas des noms qui claquent dans les palmarès, mais ce sont des murs, des mecs qui font gagner, comme l'était Larry Johnson ou Marcus Camby à l'époque.
26:14Et au cœur de tout ça, il y a Jalen Brunson, le patron, le leader offensif et émotionnel, comme l'était Alan Houston.
26:20Le nom de Brunson, d'ailleurs, une autre similitude si on n'en avait pas assez.
26:24Rick Brunson, le paternel, était dans le roster en 1999.
26:28Le fiston, Jalen, porte aujourd'hui le groupe.
26:31Comme quoi, parfois, l'histoire a du style.
26:33Mais bon, on n'en est pas encore là.
26:34Déjà, faudra passer l'étape Indiana, et ensuite, les Knicks n'arriveront pas en finale avec les pronostics en leur faveur s'ils y accèdent.
26:40Mais en 2019, personne ne voyait Toronto champions.
26:42Ils ont battu les Sixers, ils ont battu les Bucks, ils ont battu les Warriors, parce qu'ils y croyaient, parce que tout s'alignait.
26:48Pourquoi ce serait impossible pour New York ?
26:50Impossible n'est pas Knicks cette saison, et ils l'ont prouvé face à Boston.
26:53Depuis 2019, chaque saison nous offre un nouveau champion.
26:57Raptors, Lakers, Bucks, Warriors, Nuggets, Celtics.
27:01Et cette année encore, au vu des 4 équipes qualifiées en finale de conf, on aura un nouveau nom sur le trophée.
27:07Une 7ème team différente de suite, c'est historique.
27:10Alors pourquoi est-ce que ça ne pourrait pas être le nom des Knicks, après tout ?
27:13Oui, ce sera rude.
27:14Oui, Alli Burton, SGA ou Edwards ne vont rien leur donner.
27:18Mais je crois que cette équipe, cette année, a quelque chose qui dépasse le talent.
27:22Une âme, de la solidarité, et surtout un cœur immense.
27:25L'Enix de 1994 avait buté sur Olajuwon en finale.
27:28Ceux de 1999 sur Duncan et Robinson.
27:31Cette année, ce ne sera pas du tout facile non plus.
27:33Il y a encore deux étapes à franchir, on l'a dit, et elles seront rudes, c'est sûr.
27:37Mais moi, j'ai envie d'y croire, parce que l'enfant que j'étais en 1994,
27:40et l'ado que j'étais en 1999, ont rêvé pour rien à l'époque, pour un échec en finale.
27:45Peut-être qu'il est temps de boucler la boucle.
27:47Peut-être qu'il est temps de voir New York enfin au sommet.
27:50Ce serait beau, ce serait mérité, et ce serait l'histoire parfaite pour une ville qui n'attend que ça depuis plus d'un demi-siècle maintenant.
27:56Mais vous, sans me garantir que ça va arriver, est-ce que vous pensez que c'est faisable New York avec une bague en 2021 ?
28:01Dites-moi tout ça très vite en commentaire, j'ai hâte de lire si pour cette vidéo surprise, vous me rejoignez dans mon délire.

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