Keir Starmer, successeur travailliste des conservateurs qui avaient orchestré le Brexit, opère un virage spectaculaire en scellant un accord multisectoriel avec les Vingt-Sept Il aborde ce rapprochement avec le flegme caractéristique des insulaires : il s'agit d'abord de réparer les canaux commerciaux obstrués par les formalités administratives. « Ce sera bon pour nos emplois, bon pour nos factures et nos frontières », plaidait-il sans ambages.