Richard Ramos, député Les Démocrates du Loiret, sur l'affaire Bétharram : «Ce n'est pas une commission d'enquête, on est dans un procès politique».
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00:00Moi je l'ai trouvé, alors je vais essayer parce que je suis modem donc je peux avoir un prisme particulier mais je vais comme d'habitude essayer d'être honnête, je l'ai trouvé très bon parce que factuel, il n'a pas été bon dans l'hémicycle, alors dans l'hémicycle quand il répond je ne savais rien, il n'est pas bon pour deux raisons, parce qu'en fait on oublie quand François Bayrou dit dans l'hémicycle je ne savais pas, il répond à la question de M. Vanier dans l'hémicycle qui est sur la pédocrine et les ménalités,
00:27pas sur est-ce qu'on savait qu'il y avait une espèce de violence qui était la violence un peu de l'époque, donc il répond sur une question précise sur la sexualité et ce qu'il y a pu avoir, donc déjà là ce qui était incroyable, il commence à la commission d'enquête, la présidente par se tromper des dates de François Bayrou comme député, pardon c'est pas une commission d'enquête là, on est dans un procès politique, on est dans un procès politique, une commission d'enquête, cette commission d'enquête,
00:56j'étais avec quelqu'un qui mène une association et qui a été lui-même victime, une commission d'enquête ça a pour but de regarder ce qui s'est passé et comment éventuellement les parlementaires on peut changer pour que ça ne se reproduise pas, là c'est finalement François Bayrou on le fait tomber, comme ça on se rapproche de Macron et on mettra la tête de Macron sur la pique, donc on est dans un procès politique, M. Vanier, j'ai écouté de la France Insoumise,
01:26auxquelles répondait François Bayrou, il reformulait les questions comme si on allait faire des pastilles vidéo, comme si François Bayrou avait dit que, alors qu'en fait il n'a pas dit.