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Olivier Marchal se livre sur son parcours : "Je ne serai jamais un mec heureux"
franceinfo
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05/05/2025
Tous les jours, une personnalité s'invite dans le monde d'Élodie Suigo. Lundi 5 mai 2025 : l'acteur, réalisateur et scénariste Olivier Marchal. Il sera le 14 mai, au Théâtre de l'Œuvre, pour un entretien-spectacle, "Au plus près d'Olivier Marchal".
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00:00
Bonjour Olivier Marchal.
00:01
Bonjour.
00:02
Votre parcours de vie est un scénario de film, l'histoire d'un ancien inspecteur passé par la police judiciaire de Versailles.
00:08
On pense à la brigade criminelle, aux renseignements généraux, à la brigade antiterroriste.
00:12
Vous êtes depuis devenu acteur, réalisateur et scénariste à succès.
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Ce n'est pas un hasard si votre première apparition à l'écran s'est faite dans Ne réveillez pas un flic qui dort.
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Le message était clair d'emblée, dès votre arrivée.
00:23
Depuis, vous avez réussi à vous faire un nom dans le cinéma et à la télé,
00:26
notamment par le biais de votre écriture directe, parfois glauque, violente.
00:30
Les décors sanglants et scènes de crime sont très réalistes.
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Ils heurtent et pour cause, vous les avez souvent vécues.
00:35
Ce sont d'ailleurs ces histoires sordides qui vous ont poussé à rendre votre carte de policier.
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La vraie question est de savoir si vous avez vraiment tiré un trait, Olivier Marchal, sur ce passé douloureux.
00:46
La réponse se situe ici ou là, dans vos films 36 cas des Orphèves, Gangsters, Les Lyonnais,
00:51
ou dans vos séries Braco, Section 0, Pax Massilia, je vais même citer les flics.
00:56
Ce parcours intrigue, parfois inspire, en tout cas il questionne,
00:59
et ça tombe bien car vous serez au Théâtre de l'œuvre le 14 mai prochain
01:02
pour un entretien spectacle avec le public.
01:05
Ça s'intitule Au plus près d'eux, donc Olivier Marchal.
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L'occasion de revenir sur les moments forts de cette reconversion, entre guillemets.
01:12
Olivier Marchal, l'écriture ne vous permettait pas finalement de vous extraire d'une réalité,
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sans la quitter vraiment, mais en l'adoucissant de manière à la rendre irréelle.
01:21
Bonne question, c'est une question un peu compliquée.
01:27
Non, disons que c'est une façon pour moi, comme je disais, de partager un petit peu la douleur qu'a été ce métier, surtout.
01:36
C'est pour ça que mes films évidemment sont noirs, sont violents.
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Alors on peut me reprocher parfois, j'ai certains copains flics qui me disent
01:42
« T'en as pas marre de montrer toujours des flics dépressifs, alcooliques et tout ? »
01:47
Non, moi ce que je retiens de ce métier, évidemment, c'est les grands moments de fratrie,
01:53
c'est le groupe, c'est les amitiés que j'ai eues,
01:58
les moments très forts évidemment d'action, d'adrénaline, d'émotion, de chagrin partagé, tout ça.
02:04
Mais ce qui m'a le plus marqué évidemment, c'est tout ce qui est crime violent,
02:09
pour avoir fait la criminelle et en brigade de nuit aussi,
02:13
où pendant 7 ans on a fait tous les faits divers.
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On était en brigade de police judiciaire et on intervenait entre 23h et 9h du matin
02:23
sur le tout venant dans Paris, donc on avait 3 arrondissements,
02:27
ce qui est entre 20 et 25 affaires par nuit,
02:31
et toutes plus glaues que les unes que les autres.
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Donc on est au cœur de la misère humaine et en fait c'est ça que j'ai retenu,
02:38
c'est pour ça que mes films dépeignent souvent ce côté noir mais très humain
02:42
et très très émotionnel que partagent les flics.
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Il y a eu une goutte d'eau, ça a été le 24 décembre,
02:50
vous avez assisté effectivement à une scène de crime horrible d'un père de famille qui avait massacré.
02:54
C'était un suicide de famille, il avait tué sa femme, son chien, ses deux petits-enfants,
02:59
et lui s'était suicidé, donc je le raconte.
03:02
Et c'est vrai qu'on a pataugé pendant toute une nuit dans le sang et dans l'horreur,
03:06
évidemment avec le sapin de Noël, les guirlandes et tout ça.
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Et en fait, après on essaie de savoir ce qui a pu se passer dans la tête de ce monsieur.
03:18
Alors un psychiatre qui a eu cette jolie définition,
03:21
il dit le suicide c'est le fait de ne pas supporter les 30 secondes qui arrivent.
03:25
Et je pense que, voilà, ça fait partie de...
03:30
Vous voyez, c'est l'histoire aussi d'un flic qui est rentré du service et il est arrivé chez lui
03:37
et sa femme lui a annoncé qu'elle le quittait.
03:39
Il lui a dit, t'es sûr de ça ?
03:41
Elle lui a dit, oui c'est fini, j'en ai marre de toi.
03:42
Il est parti, il a tué ses deux enfants, il s'est suicidé, il a laissé sa femme en vie.
03:46
Vous voyez, c'est tous ces moments de vie qui sont terribles,
03:50
terrifiants et moi qui m'ont profondément marqué au fer rouge,
03:53
que je partage avec le public.
03:55
Alors il n'y a pas que du glauque dans le spectacle,
03:57
on démarre par ça justement, par le côté flic
04:00
et puis après on démarre par le...
04:03
On continue avec évidemment le cinéma et des moments beaucoup plus rigolos
04:07
parce que je suis plutôt un pessimiste joyeux, je suis plutôt un mec drôle, je ne suis pas plombant.
04:12
Le point de départ c'est une pâtisserie, celle que tiennent vos parents.
04:16
Et à votre père, imaginez que vous alliez pouvoir reprendre d'ailleurs cette pâtisserie familiale
04:20
où il y avait des fabrications de glace, de gâteau inévitablement, de confiserie, de chocolat.
04:26
Et il y a une grande solitude quand même dans cette enfance, Olivier Marchal.
04:30
C'est-à-dire que vos parents travaillaient beaucoup.
04:33
Vous avez fini en pension d'ailleurs, vous ne l'avez pas bien vécu.
04:36
Ce sont vraiment les livres qui vous ont permis de survivre et les films aussi.
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Oui, tout à fait. C'est-à-dire que mon père se levait à 3h du matin, il rentrait à 21h,
04:45
il était harassé de travail, donc il s'endormait sur la table.
04:48
Ma mère était au magasin et elle faisait évidemment des générations de femmes qui faisaient la cuisine,
04:53
le ménage, qui faisaient tout, plus le magasin.
04:56
Donc c'est vrai que ma soeur est arrivée très tard, j'avais 12 ans quand ma petite soeur est née.
05:01
Donc c'est au moment où je suis parti en pension.
05:03
Donc mes parents m'ont mis en pension parce que j'étais en fait un gamin très mal dans ma peau, très seul.
05:09
Alors c'est vrai que la littérature, les mots m'ont sauvé, le cinéma m'a sauvé.
05:13
J'étais un grand cinéphile très tôt, à partir de l'âge de 8 ans.
05:18
Vous voyez, quand j'avais 10-12 ans après, je me relevais en cachette pour regarder le ciné-club,
05:24
tous les vieux films américains en noir et blanc et tout ça.
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Donc j'adorais tout ça et je travaillais déjà avec mon père au laboratoire.
05:31
Je faisais la plonge et comme ça, j'avais une pièce de 5 francs à l'époque
05:35
et je pouvais me permettre de me payer mes deux séances de cinéma au cinéma Le Vogue,
05:41
qui était un cinéma comme celui d'Eddie Mitchell dans la dernière séance.
05:44
Je voudrais qu'on parle de ce premier rôle et des premiers cours de théâtre que vous avez pris.
05:49
Vous les avez pris pendant que vous étiez déjà et encore policier.
05:54
Michel Larocque vous a soutenu, mais ça n'a pas été la seule.
05:56
Il y en a plein qui ont cru en vous dès le départ et plus que vous-même.
06:01
Oui, parce que ma première audition, si vous voulez, c'était au cours Simon.
06:05
J'étais monté sur scène et je m'étais fait défoncer par la prof qui m'avait dit
06:11
vous n'avez aucun physique, vous n'avez pas de voix et vous n'êtes surtout pas fait pour ce métier.
06:15
Donc j'étais sorti en pleurant parce qu'évidemment, elle avait fait ça devant 50 élèves
06:19
qui gloussaient évidemment d'assister à la mise à mort comme ça d'un pauvre type qui essayait de faire du théâtre.
06:28
Évidemment, j'avais l'accent bordelais.
06:30
J'ai plein de choses comme ça qui n'allaient pas.
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Et en fait, ma plus belle revanche sur cette dame,
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je suis venu aujourd'hui, mais vous savez, j'étais un peu ami avec Jean-Paul Belmondo.
06:43
Jean-Paul, bon, c'est un lieu commun de le dire, tout le monde le sait.
06:46
Personne n'y croyait.
06:47
On lui disait avec ta tête de boxeur et ton nez accrasé et tout,
06:50
tu n'arrives à jamais à rien.
06:51
On regardait ce qui est devenu Jean-Paul.
06:53
Bon, donc, oui, donc, cette première gifle.
06:58
Bon, j'étais sorti, j'étais resté une ou deux heures dans ma...
07:01
J'avais une vieille coccinelle à pleurer, quoi,
07:04
parce que j'avais mis deux ans à réessayer de prendre des cours.
07:08
J'étais passé au cours Florent, j'avais eu peur d'y rentrer.
07:11
Et après, c'est ma rencontre avec Michel Larocque dans une soirée
07:14
qui m'a dit, tu devrais faire un conservatoire d'arrondissement
07:16
parce que, voilà, il y a notamment le dixième
07:19
qui était administré par Jean-Louis Biorot,
07:22
qui a été mon papa de théâtre,
07:24
qui aujourd'hui a plus de 80 ans
07:26
et qui a été un monsieur extrêmement bienveillant
07:28
et qui m'a dit, toi, tu arriveras, tu éclateras vers 40-50 ans.
07:33
Il m'a dit, mais je crois en toi.
07:34
Il avait raison.
07:36
Il y a eu un rôle qui a bouleversé tout le monde
07:39
et c'est là où on voit que vous êtes effectivement à fleur de peau.
07:41
C'est un contre-image, entre guillemets,
07:44
avec ce que les gens pensent de vous.
07:45
On a l'impression que vous êtes indestructible.
07:47
C'est l'histoire de Jacqueline Sauvage, en fait, de Marie-Hélène Robin.
07:50
Vous avez été obligé de boire, en fait,
07:52
pour assumer les scènes de violence.
07:54
Oui, oui.
07:55
Tellement ça vous a traumatisé.
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Déjà, je suis festif.
07:58
Je ne bois pas la journée,
07:59
mais le soir, c'est vrai que c'est une forme d'alcoolisme mondain, on va dire.
08:05
J'aime bien le...
08:06
En fait, j'aime mes périodes où je m'arrête complètement
08:08
parce que je le fais pour ma santé,
08:11
je fais attention à moi.
08:13
Et puis quand je travaille, comme je travaille énormément,
08:15
je ne pourrais pas livrer tout le travail que je livre.
08:19
Mais sur Jacqueline Sauvage, oui, avec Muriel,
08:21
on avait des scènes tellement dures de violence.
08:24
Et moi, pendant que je tournais, je me disais,
08:26
« Mais qu'est-ce que vont me penser le public et les femmes
08:29
quand elles vont voir ce film ? »
08:31
C'est-à-dire que mon image, tout d'un coup,
08:32
j'y mettais un grand coup de pied.
08:34
Parce que j'avais quand même une image sympathique
08:36
de flic bourru, mais ours mal léché, mais sympa, et tout ça.
08:39
Et là, tout d'un coup...
08:41
Alors, ce qui était terrible, c'est que...
08:43
On s'était renseigné.
08:45
Yves Régnier qui mettait en scène...
08:46
Yaki, j'y serais pas allé, peut-être, si ça avait été un autre.
08:53
Et en fait, le mari de Jacqueline Sauvage était un mec très sympa dans la vie.
08:57
C'est un mec qui avait une entreprise de camions.
09:01
Et donc, il fallait arriver à rendre ce mec sympa.
09:05
Et dès qu'il buvait, évidemment, ça devenait comme beaucoup...
09:08
Un vrai...
09:10
C'est-à-dire un monstre, quoi.
09:11
Et on avait beaucoup de scènes où je tabassais.
09:14
Et le plus dur, c'était surtout les scènes d'humiliation, verbales.
09:17
Et Yves me demandait d'improviser.
09:19
Il me disait, vas-y, traite la grosse vache et tout.
09:21
Grosse truie, tape-la et tout ça.
09:23
Et ça, c'est vrai qu'avec Muriel, après, on a eu...
09:27
Même si on répétait, on s'est fait mal beaucoup de fois.
09:29
Parce qu'une fois, on est tombé dans l'escalier.
09:31
Je me suis jeté sur la rampe pour pas qu'elle prenne la rampe dans la tête, quoi.
09:34
On a glissé.
09:35
J'étais en train de la tabasser.
09:37
Et moi, je me suis pas mal défoncé.
09:39
Mais en même temps, si vous voulez, il y avait cette fameuse scène du repas familial
09:47
où ils sont avec leurs enfants, leurs petits-enfants.
09:51
Et pendant qu'on répétait, c'est le soir où lui, il est bourré complet.
09:55
À un moment donné, il prend les assiettes, il casse tout.
09:58
Et il y avait deux enfants qui étaient...
10:00
Donc, il faisait une autre petite enfant qui était en figuration.
10:02
Et je répète, mais je répète à fond, quoi.
10:04
Et les enfants partent en pleurant, quoi.
10:06
Ils sont tétanisés.
10:07
Donc, ça, c'est là que je me suis rendu compte quand même de l'impact,
10:11
même si on était sur un plateau, que ça pouvait avoir.
10:14
Donc, je suis allé les rassurer.
10:15
Je suis allé les voir après.
10:16
Mais ils étaient terrorisés pendant toute la prise, l'épreuve, toute l'après-midi.
10:20
Et j'avais demandé à l'accessoiriste, évidemment, de me chauffer un petit peu avec un peu de vin blanc, quoi.
10:27
J'ai bu trois, quatre verres, quoi, pour me chauffer un peu.
10:28
Mais c'est des séquences et c'est compliqué à appréhender ce genre de séquences et de rester après avec Muriel.
10:36
Je sais qu'on passait nos soirées ensemble après à discuter.
10:39
Je m'excusais tout le temps.
10:40
Elle me disait, mais t'excuses pas, Olivier.
10:41
C'est le rôle et tout ça.
10:43
Et c'est particulier quand même comme genre de...
10:45
Mais la jolie récompense, c'est d'abord le carton du film.
10:49
Et ensuite, c'est l'attitude des femmes dans la rue, dans la semaine qui a suivi,
10:55
qui venait me dire merci d'avoir assumé ce rôle et de l'avoir défendu
11:00
pour justement défendre indirectement la cause féminine, que je défends fortement aussi.
11:05
Comment vous voyez ce parcours que vous avez déjà suivi, créé ?
11:10
C'est très compliqué pour moi parce que, évidemment, il y a une certaine fierté.
11:17
En même temps, la fierté, je trouve que c'est un sentiment un peu débile.
11:22
C'est une satisfaction, on va dire.
11:25
Mais je ne serai jamais un mec heureux de toute façon.
11:27
Et ce métier ne me rend pas plus heureux qu'avant.
11:29
Mais pourquoi ?
11:30
Parce que je suis perdu dans ce monde.
11:34
Ce métier me sauve la vie, en fait.
11:36
C'est plus que...
11:38
Voilà, ça me permet de ne pas me retrouver dans un système normal
11:45
où je trouve que, malheureusement, la plupart des gens subissent
11:48
toutes les agressions de l'extérieur.
11:53
Vous voyez, moi, je ne regarde aucun JT.
11:56
Je ne peux plus me connecter à la réalité du monde.
11:58
Et ce métier nous permet, comme disait un grand écrivain,
12:02
de nous débarrasser du reste du monde.
12:03
Et en fait, j'arrive à me débarrasser du reste du monde.
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