Ce sont non seulement des menaces mais également des appels au meurtre qui ont été inscrits sur les façades des Universités Lyon-2 et Lyon-3 hier lors de la manifestation syndicale organisée à Lyon. Les tags ont été écrits par des militants de l’ultra-gauche et dénoncés par la préfecture. "Retailleau on aura ta peau" », "un flic une balle"... Voilà quelques uns des slogans que l’on peut voir sur les façades de l’université de Lyon.
Des menaces de morts très claires et qui désormais sont donc affichées à la vue de tous et sans aucune crainte sur les murs de deux universités du quai Claude Bernard (7e arrondissement).
Les personnes ont également inscrit des messages anti-expulsions visant la Ville et la Métropole écologistes de Lyon. « La Métropole met des personnes à la rue » ou encore « Popof (adjointe au maire au logement) expulse », « un toit = un droit » sont visibles.
La semaine dernière, l’ultra-gauche a revendiqué une intrusion visant le domicile de Bruno Bernard, président de la Métropole en le menaçant de squatter son logement.
Le maire de Lyon Grégory Doucet a aussi été visé par des menaces de publier l’adresse de son domicile.
Des menaces de morts très claires et qui désormais sont donc affichées à la vue de tous et sans aucune crainte sur les murs de deux universités du quai Claude Bernard (7e arrondissement).
Les personnes ont également inscrit des messages anti-expulsions visant la Ville et la Métropole écologistes de Lyon. « La Métropole met des personnes à la rue » ou encore « Popof (adjointe au maire au logement) expulse », « un toit = un droit » sont visibles.
La semaine dernière, l’ultra-gauche a revendiqué une intrusion visant le domicile de Bruno Bernard, président de la Métropole en le menaçant de squatter son logement.
Le maire de Lyon Grégory Doucet a aussi été visé par des menaces de publier l’adresse de son domicile.
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00:00La police et Bruno Retailleau sont directement visés.
00:03Sur ces images, plusieurs inscriptions ont été taguées sur le bâtiment de l'université de Lyon 2.
00:09On peut y lire « Retailleau, on aura ta peau » ou encore « un flic, une balle ».
00:13Ces tags ont été qualifiés d'ignobles par la préfète de la région Auvergne-Rhône-Alpes.
00:17Des tags ignobles appelant au meurtre des policiers ont été inscrits sur les murs d'une université.
00:23La préfète condamne avec la plus grande fermeté ses appels à s'en prendre aux forces de l'ordre.
00:27Elle leur apporte son soutien indéfectible.
00:30C'est bien très souvent le courant de groupuscules d'ultra-gauche qui laissent toujours les mêmes messages, les mêmes menaces.
00:39Et là, directement même des appels au meurtre, je le rappelle, envers des policiers.
00:43C'est tout simplement inadmissible.
00:46Sur cette photo prise à l'université Lyon 3, on peut y lire Retailleau et Gallimler, faisant référence aux criminels de guerre du 3e Reich.
00:53Pour Alain Barberis, les militants ne visent pas seulement le ministre de l'Intérieur, mais bien l'État.
00:58C'est l'État qui visait à travers l'uniforme, à travers les policiers.
01:02Ça peut être les pompiers, ça peut être les professeurs.
01:05Notre société, elle est malade aujourd'hui.
01:07Elle se transforme par de la violence et uniquement de la violence.
01:11La préfecture a demandé l'effacement de ces tags le plus rapidement possible.