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«L'Église change à son rythme, mais elle n'évolue pas profondément, ce sont les journalistes qui collent une étiquette politique sur le Pape» rappelle Jean-Pierre Denis
Europe 1
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25/04/2025
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🗞
News
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00:00
Europe 1 Soir Weekend, 19h, 21h, Pascal de la Tour du Parc.
00:04
Je suis toujours avec Philippe Guibert et Georges Fenech dans ce studio.
00:08
Et Jean-Pierre Denis nous a rejoint, journaliste, écrivain et ancien directeur de la rédaction de la vie.
00:13
Évidemment, vous êtes très mobilisé. Bonsoir.
00:16
Bonsoir.
00:16
Merci d'être là. Vous êtes très mobilisé parce que nous vivons, et je le disais tout à l'heure, un moment d'histoire.
00:22
C'est une page d'histoire parce que c'est un chef d'État aussi qui s'en va.
00:25
Un autre sera désigné. On évoquait dans l'heure précédente la puissance de l'Église catholique aussi sous un angle diplomatique.
00:35
On oublie d'en parler, mais l'Église travaille également en coulisses la cérémonie et les funérailles du pape François.
00:43
C'est un événement également politique.
00:46
Jean-Pierre Denis, d'abord, que va-t-il se passer entre ce soir et demain, puisque le cercle du pape est désormais scellé ?
00:52
On va le veiller toute la nuit, quand va-t-il se passer jusqu'à la cérémonie ?
00:56
Vous savez, il y a deux événements. Vous vous dites, c'est une page d'histoire.
00:58
C'est une histoire de nos vies aussi. Chacun se souvient d'un pape en particulier.
01:03
On a aimé l'un ou l'autre.
01:05
Moi, je vais vous avouer, c'est mon troisième conclave.
01:08
Et je me souviens en particulier de la mort de Jean-Paul II.
01:11
J'étais sur la place Saint-Pierre.
01:12
Et pour répondre à votre question, en évoquant la mort de Jean-Paul II, en fait, il y a deux événements qui se déroulent en parallèle.
01:19
Et c'est ça qui est toujours le paradoxe ou la difficulté quand on veut comprendre l'Église catholique.
01:25
Il y a un événement populaire, religieux, un événement de foi, un pèlerinage.
01:30
Il y a quand même eu ces dizaines de milliers de personnes qui sont venues.
01:32
Et puis, cette nuit, justement, ce qui va se passer, c'est que très tôt, dans la nuit, les premiers vont arriver pour être là.
01:41
Parfois des gens qui étaient à Rome, d'autres qui sont venus spécialement.
01:44
Moi, je vous avouerai que j'ai deux enfants qui sont partis pour Rome et dans des conditions acrobatiques.
01:48
Et puis, en parallèle, arrivent et s'organisent quelque chose de tout à fait différent, pas très visible.
01:55
On verra les chefs d'État sur la place Saint-Pierre.
01:58
Mais c'est autre chose qui va se jouer, qui sera dans les coulisses, en fait.
02:02
Et ça, c'est le grand savoir-faire du Saint-Siège.
02:04
Moi, je me souviens, justement, lors des obsèques de Jean-Paul II, il y a eu une rencontre.
02:09
Alors, elle n'a pas donné lieu à une photo et elle n'a pas eu de très bons résultats.
02:12
On va le voir pourquoi dans un instant.
02:14
Mais c'était une rencontre entre le président iranien, parce que le Vatican, en fait, a des relations aussi avec le monde chiite,
02:21
le président iranien et le président israélien qui se trouvait être, à l'époque, quelqu'un qui était né en Iran
02:27
et qui, donc, pouvait parler directement persan avec son ennemi.
02:32
Donc, voilà. Ce sont des rencontres qui sont très importantes.
02:35
Et d'ailleurs, j'étais très étonné qu'Emmanuel Macron fasse savoir qu'il n'aurait pas de rencontre diplomatique à cette occasion
02:42
pour respecter, dit-il, si j'ai bien compris, le deuil, la sensibilité des catholiques.
02:47
En fait, ce sont deux événements en même temps et il se prépare ce soir et toute cette nuit, ça va s'agiter autour de ça discrètement.
02:56
Le Vatican, c'est ça qui est génial. C'est une toute petite administration.
02:59
Il faut bien...
03:00
C'est le plus petit état du monde, le Vatican.
03:03
Moi, la première fois que je suis arrivé dans un ministère au Vatican, je m'attendais à rentrer à Bercy.
03:10
Et en réalité, vous arrivez dans un vague bureau où il y a un plantain à l'entrée, il y a deux, trois fonctionnaires,
03:15
et ils arrivent à faire ça, à rassembler un sommet international dans des conditions acrobatiques.
03:21
Parce que c'est un enterrement, par définition, ça ne s'organise pas six mois à l'avance.
03:24
Oui, mais tout est déjà tricodifié, c'est Jean-Pierre Denis, non ?
03:27
Oui, oui, tout est écrit, il n'y a pas une virgule qui change.
03:30
Et d'ailleurs, finalement, on dit beaucoup que les papes...
03:32
On a dit que le pape François avait bousculé l'institution, qu'il voulait des obsèques extrêmement simples.
03:39
Bon, si vous avez regardé comme moi le transfert de son corps de la Casa Santa Marta,
03:45
cet hôtel où il logeait à l'intérieur du Vatican jusqu'à la basilique,
03:49
c'était extrêmement simple, mais enfin, c'était absolument grandiose.
03:51
Oui, voilà, c'est ça.
03:52
Et c'est filmé, réalisé par les télévisions du Vatican, avec un art consommé, de la mise en scène.
03:58
Alors, ils n'ont pas besoin de beaucoup se forcer, parce que le décor est magnifique.
04:01
Simplement, cette colonnade du Bernin qui tend les bras vers le monde entier, c'est éblouissant.
04:06
Donc, c'est très très très codifié, et les changements sont cosmétiques.
04:11
L'Église, c'est une institution qui, en réalité, elle est là depuis 2000 ans.
04:15
Il y a une raison pour cela, c'est qu'elle change, elle s'adapte, elle est très plastique, mais à son rythme.
04:20
Voilà, donc il y a toujours ceux qui trouvent que ça va trop vite.
04:22
Mais elle ne change pas sur le fond.
04:23
Jean-Pierre Denis, elle ne change pas.
04:26
Les positions de l'Église catholique sont toujours les mêmes, même si peut-être qu'en surface, on dépoussière.
04:30
Mais sur le fond, ça ne change pas.
04:31
À la personnalité du pape, aux questions du moment, sur les questions dogmatiques, elles ne changent pas.
04:38
D'ailleurs, le pape François n'a pas changé grand-chose.
04:41
Il a eu des formules, ce n'est pas la même chose, c'est des mots, ce sont des...
04:44
Vous savez, le pape, c'est une sorte de super curé du monde, donc il a une formule, il essaie de parler aux gens,
04:48
on aime ou on n'aime pas, mais ça ne change pas tellement.
04:50
Autant qu'on l'a dit, nous, journalistes, en particulier journalistes politiques,
04:54
on a besoin de dire, c'est un pape de gauche, c'est un pape de droite, il est réactionnaire, il est progressiste.
04:58
Alors, c'est pas du tout.
04:59
Il y a des accents, il y a des sujets.
05:00
Alors, c'est vrai que la question des migrants, importante pour le pape François,
05:05
elle a clivé, c'est certain, sur le plan politique.
05:09
Mais en fait, pour lui, c'est juste une question qu'il perçoit,
05:12
non pas pour des raisons idéologiques, mais avec son regard d'argentin,
05:15
descendant d'une famille qui est partie d'Italie.
05:18
Voilà, c'est une institution universelle, en fait.
05:21
C'est d'ailleurs pour ça qu'elle ne peut pas tellement bouger,
05:23
ce qui fait que chaque fois que vous avez des gens un peu militants
05:25
qui disent qu'il faudrait aller dans tel sens ou dans tel autre,
05:28
en fait, le point de vue d'un Allemand progressiste,
05:31
ce n'est pas celui d'un Africain qui est, en général, culturellement attaché
05:36
à une certaine stabilité sur la doctrine, même si, bon, la pratique peut être autre.
05:43
Une certaine rigueur, une certaine rigueur, effectivement,
05:45
et c'est ce que disait votre prédécesseur, c'est le Sud maintenant,
05:48
qui porte l'église catholique, ce n'est plus les vieux pays.
05:52
Les vieux pays, c'est vrai.
05:54
Et Georges Fenech, vous vous souvenez, peut-être,
05:55
vous avez grandi avec une direction religieuse ?
06:00
Vous voulez savoir quelle est ma confession ?
06:01
Non, ben écoutez, je...
06:02
Oui, oui, je suis catholique pratiquant, souvent.
06:05
J'ai fait mes instructions religieuses, si vous voulez tout savoir, jusqu'à l'âge de 18 ans, oui.
06:10
Vous avez suivi jusqu'à l'âge de 18 ans ?
06:12
Oui, jusqu'à l'âge de 18 ans, oui.
06:14
Ah oui ?
06:14
Et sa forme...
06:15
Vous avez poussé après la confirmation ?
06:17
Oui, j'ai poussé jusqu'à l'âge de 18 ans, je faisais des retraites,
06:21
c'était, voilà, c'était un mode de vivre qui me plaisait bien.
06:24
Philippe Guibert ?
06:25
J'ai grandi dans le catholicisme, et je suis non-croyant.
06:29
Oui, c'est ça, il est.
06:30
Mais c'est très marquant, comme la culture catholique est très marquante, à mes yeux.
06:37
Et donc, je regarde avec...
06:39
Mais alors, en même temps, quand je dis que je suis non-croyant, je suis un agnostique,
06:43
c'est-à-dire que je suis non-croyant et fasciné par les églises et les lieux de culte,
06:47
et notamment aux catholiques, qui sont magnifiques.
06:49
Et donc, je regarde les cérémonies du Vatican,
06:55
et je vais regarder demain matin ses obsèques,
06:57
avec un grand intérêt, parce que c'est un rituel, un cérémonial, une liturgie,
07:02
que je trouve absolument fascinante.
07:04
Et ce que vous disiez est très juste, c'est une institution,
07:07
alors sous cette forme peut-être plus que millénaire,
07:12
mais qui est quand même s'est institutionalisée,
07:14
et c'est fascinant de voir une telle institution durer 2000 ans,
07:18
avec des choses extrêmement codifiées,
07:21
effectivement, qui bougent relativement peu,
07:23
vraiment à la marge.
07:25
Qui ne bougent qu'à la marge.
07:27
Et donc, c'est fascinant de voir,
07:29
finalement, nous qui commentons souvent la politique,
07:32
l'église a une certaine ancienneté,
07:35
et une certaine résilience.
07:36
Et un rôle politique.
07:37
Elle fait de la diplomatie.
07:38
Je ne sais pas s'il est aussi important qu'avant, ça, en revanche.
07:40
Ah bah écoutez, ça se fait dans les coulisses, non ?
07:41
C'est une question que je voulais vous poser.
07:42
Je ne sais pas.
07:44
Jean-Pierre Denis.
07:44
Vous savez, il y avait un pape qui s'appelait Benoît XV,
07:47
en 1914, pendant la guerre de 1914,
07:50
il a essayé de dire, peut-être que ça serait bien de plus s'entretuer,
07:53
la boucherie ça suffit,
07:54
vous êtes quand même des peuples civilisés,
07:57
est-ce que vous voulez que je vous réunisse et qu'on discute ?
07:59
Ça lui a valu d'être traité de pape Bosch par la presse française,
08:03
et l'équivalent en allemand, évidemment, par la presse allemande.
08:07
Donc, le Vatican, il sert de médiateur,
08:10
à condition que les deux parties veuillent.
08:12
C'est ça la politique pour le Vatican.
08:13
Jean-Paul II, par exemple, il avait réussi à faire,
08:16
à régler un problème entre l'Argentine et le Chili,
08:19
le canal de Beagle, si mes souvenirs sont bons,
08:21
ils avaient fini par se rapprocher s'il n'y a un accord.
08:23
Donc, quand les deux veulent...
08:26
Oui, et puis par ailleurs,
08:27
il a évidemment contribué à la chute du communisme.
08:33
Bon, l'Église avait vraiment rencontré l'histoire à ce moment-là.
08:37
Mais l'essentiel, quand même, de l'influence politique de l'Église,
08:41
c'est surtout une influence de médiation.
08:43
Moi, quand j'étais jeune, j'étais choqué,
08:45
parce que je voyais, pour employer un vocabulaire peut-être un peu simple,
08:49
je voyais le pape qui recevait des méchants,
08:51
de temps en temps, enfin, ceux qui me paraissaient des méchants.
08:54
Et maintenant, je trouve ça très bien.
08:56
Je pense que le pape doit recevoir tout le monde,
08:58
et parler à tout le monde,
08:59
même et surtout à ceux qui ne sont pas catholiques,
09:04
parfois même la Grèce.
09:06
Et puis, vous voyez, Donald Trump fait le voyage.
09:08
Je ne pense pas que ce soit un fan du pape François,
09:10
et c'est important.
09:11
Samuel Pruveau, rédacteur en chef à Famille Chrétienne,
09:14
est avec nous en direct sur Europe 1, 20h24.
09:17
Un mot aussi des chrétiens, des catholiques.
09:21
Samuel Pruveau, comment vont-ils vivre cet événement demain,
09:24
les funérailles du pape François ?
09:26
Ils vont le vivre avec une, j'allais dire un peu comme tout le monde,
09:30
peut-être une petite émotion supplémentaire,
09:32
parce que pape, en fait, pour un fidèle catholique,
09:35
qu'il soit français ou argentin,
09:37
en fait, pape, c'est papa.
09:38
Et du coup, c'est un peu notre papa que les catholiques ont perdu.
09:45
Et du coup, il perd un être proche.
09:48
Alors, ça peut paraître étonnant de dire ça,
09:49
parce que comment être le père d'1,4 milliard d'enfants sur la Terre,
09:54
c'est quand même ce qui se passe dans,
09:58
oui, appelons ça quand même le mystère de l'Église catholique,
10:00
c'est que dans cette organisation qui a été lancée par Jésus il y a fort longtemps,
10:06
il a voulu qu'un simple mortel soit à sa tête,
10:09
et un simple mortel avec vraiment de gros, gros, grosses lacunes,
10:13
des gros défauts.
10:14
On se souvient que dans l'Évangile,
10:15
quand même le premier à trahir Jésus de manière explique et catastrophique,
10:20
c'est quand même Pierre.
10:22
L'important, il l'a choisi pour être à la tête de son Église.
10:25
Et puis, on a eu 266, demain 267,
10:29
qui ont cet office de Pierre.
10:31
Et du coup, quand Pierre disparaît, quand Pierre meurt,
10:34
il a beau être un simple mortel,
10:37
on est dans la peine.
10:40
Parce que, oui, je pense que les catholiques ont perdu,
10:44
oui, leur papa, au-delà de toutes les polémiques,
10:47
on aime un peu François, beaucoup, passionnément, pas du tout,
10:50
mais ultimement, le fait d'être catholique,
10:52
c'est reconnaître en François une paternité.
10:55
Et si on ne reconnaît pas cette paternité,
10:57
c'est évidemment tout à fait possible,
10:59
mais à ce moment-là, on ne peut plus se dire catholique.
11:01
Samuel Prevot, est-ce que, comme les enfants de Jean-Pierre Denis,
11:05
il y en a beaucoup, il y a beaucoup de catholiques,
11:08
de jeunes catholiques, plus ou moins jeunes,
11:10
qui se sont précipités à Rome pour participer à l'événement demain ?
11:14
Alors, mes enfants, ce ne sont pas...
11:18
Pas les vôtres, mais c'est Jean-Pierre Denis qui est dans ce studio.
11:21
Non, mais c'est normal, parce que Jean-Pierre Denis a subventionné leur voyage
11:24
et les a même obligés.
11:26
Moi, je le connais un petit peu, c'est une famille qui marche avec le fouet.
11:32
Non, mais pour tout vous dire,
11:34
ça ressemble quand même un peu à l'histoire de Jean-Pierre Denis,
11:38
quelque chose qui m'a beaucoup ému,
11:40
c'est-à-dire que ma fille est née à épouser un garçon
11:45
qui a été baptisé à la vigile pascale,
11:48
donc il y a très peu de temps.
11:49
Et du coup, il découvre tout,
11:51
alors même s'ils sont préparés pendant deux ans,
11:53
et je voyais qu'il y avait une énorme émotion de sa part.
11:58
Du coup, lui, il est travailleur social,
12:00
donc il ne pouvait pas planter les ados dont il s'occupe
12:04
pour partir à Rome, ni d'ailleurs ses enfants.
12:06
Mais sinon, je pense qu'effectivement,
12:08
c'est ce qu'il aurait fait.
12:10
Et j'ai un petit peu, comme c'est un garçon converti,
12:13
j'ai lourdement insisté sur le fait
12:15
qu'il avait beaucoup secoué l'Église,
12:17
mais aussi dans le bon sens,
12:19
pas que dans le mauvais sens.
12:20
Et j'étais heureux de voir que ses yeux s'écarquillaient
12:23
parce que pour lui, un pape ne devait pas
12:26
parler comme ça ou faire ça.
12:28
J'essayais de lui dire, par exemple,
12:29
il y a une anecdote que beaucoup de personnes connaissent,
12:33
c'est le premier discours que François a fait à la curie,
12:35
aux membres de la curie, en désignant leur maladie,
12:38
des maladies mortelles.
12:40
C'est sûr qu'il les a quand même drôlement secoués.
12:42
Alors, je n'aurais pas aimé être à leur place.
12:44
Et du coup, quand je lui racontais ça,
12:46
je voyais mon genre qui avait des yeux,
12:48
qui pétillaient,
12:49
et qui disaient,
12:50
je suis content d'être devenu catholique.
12:52
Ce sont de très jolies paroles.
12:55
Merci beaucoup, Samuel Pruveau.
12:57
Merci beaucoup, Jean-Pierre Denis,
12:58
d'être venu dans ce studio.
13:00
Demain, j'imagine que vous êtes mobilisés,
13:02
et Samuel Pruveau et vous-même,
13:04
pour partager avec les auditeurs,
13:06
les téléspectateurs aussi peut-être,
13:08
ces funérailles du pape François.
13:11
Sachez qu'Europe 1 est mobilisé,
13:13
édition spéciale,
13:14
dès 8h demain matin,
13:15
avec Lénéigue Monnier.
13:17
Merci beaucoup.
13:18
Dans un instant, le journal permanent.
13:19
Et nous allons revenir sur cette épouvantable attaque au couteau.
13:22
Il y a beaucoup de choses à dire ce soir.
13:24
Il est 20h28 sur Europe 1.
13:25
Europe 1 soir, week-end,
13:27
19h, 21h,
13:28
sur Europe 1.
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