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Kankan- Bangaly Traoré condamné à vie pour assassinat : réactions des avocats et du ministère public.
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09/04/2025
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00:00
On vous a témoigné que cette commission, que cette infraction a été réalisée avec
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premier distinction et qu'est-à-père.
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Monsieur le Président, les agissements de Bagdad et de Traoré sont constitutifs d'infraction
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à la loi pénale, à savoir l'assassinat.
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La congestion de cette infraction sur la personne de Bangali Traoré, à celle qui concerne
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la répression, Monsieur le Président, sur la paix.
00:43
Comme vous le savez, Monsieur le Président, les fonctions de la paix, le caractère de
00:50
la paix, Monsieur le Président, dans la paix absolue, au-delà du procès, au-delà du
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respect du droit à la défense, au-delà du respect du droit à un procès juste et équitable,
01:03
Monsieur le Président, nos ministères publics souhaitons que cette décision de justice soit
01:13
une jurisprudence dans nos différentes sociétés, au-delà de sa fonction, puisse dire que cette
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décision puisse également être une fonction éducative à l'égard de la société, à l'égard
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du peuple qui est représenté ici dans cette salle d'audience.
01:34
L'effet constitué autour de cet accusé, la sanction et la réclusion criminelle a perpétudié,
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avec une période de suréité de 30 ans, Monsieur le Président.
01:51
Nous, ministères publics, nous ne pouvons pas nous limiter à cela si notre peine existait
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dans la loi ordinaire à la reprise de Guinée, notamment dans le code pénal à la reprise de
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Guinée, plus élevé que la perpétuité, c'est celle-ci qu'on aurait demandé.
02:18
Et ce, après avoir donné la loi à cette bonne femme, aujourd'hui, on nous dit vraiment
02:29
je demande pardon, je demande pardon à la famille, je demande pardon à la société de Guinée,
02:35
je demande pardon à tout le temps, Monsieur le Président.
02:39
C'est la farce, ce n'est pas de qui il veut se moquer.
02:45
Qui il veut se moquer, Monsieur le Président ?
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Certainement, ce n'est pas vous, ce n'est pas nous autres, Monsieur le Président.
02:53
Nous savons que vous allez donner une sanction exemplaire à Monsieur Bangali,
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le Président.
03:03
Monsieur le Président, honorable assesseur, vous-même vous avez les images avec vous.
03:15
Combien de fois ce monsieur a été crié, il a été inhumain, il a été insensible.
03:23
Sinon, quand on a une éducation, on ne peut pas pleurer la personne.
03:28
C'est pour moi que le ministère Pépé aussi a posé une question.
03:31
Il y a eu de mon attention.
03:33
Mais Monsieur le Président, vous et cette femme, cette revente, corps à corps, qui est fort ?
03:42
Elle nourrit, mais c'est moi qui suis fort.
03:46
C'est moi qui suis fort.
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Je veux la vendre.
03:49
Je veux la terrasser.
03:51
Mais alors, si vous êtes plus fort qu'elle,
03:54
pourquoi vous avez choisi le couteau pour venir de la journée de la mort ?
03:59
Et cela, je vous dis facilement, c'est le Satan qui m'a aimé.
04:06
Et si c'est le Satan qui m'a aimé.
04:08
Et si c'est le Satan qui m'a aimé.
04:09
Et si c'est le Satan qui m'a aimé.
04:10
Est-ce que ce Satan-là est visé ?
04:13
C'est à travers les agissements.
04:16
À travers les comportements des faits.
04:19
Qu'on peut se rendre dans l'exemple de ça.
04:22
Et quand j'ai posé la question, puisque ce Satan-là, nous ne voyons pas.
04:26
Et que c'est vous qui avez agi.
04:28
Qui est Satan alors ?
04:30
Il nous a dit, et il nous a dit correctement,
04:34
que c'est lui que le Satan-là, nous sommes.
04:36
Donc ça vous dit,
04:38
que ce monsieur-là,
04:40
ne m'aime pas.
04:41
De ce bon sens, j'ai bien vu.
04:44
Ce monsieur-là, doit souffrir,
04:46
durant tout le reste de sa vie, nous sommes.
04:49
C'est pourquoi, nous sommes-là.
04:51
Honourable assesseur,
04:53
je vous prie de prendre hâte
04:56
de la construction du Parti Civil,
04:58
de la famille colombienne.
05:00
Et en recevant la construction du Parti Civil,
05:03
monsieur le Président,
05:04
vous allez allouer à cette famille
05:07
6 milliards de francs.
05:10
6 milliards, monsieur le Président,
05:13
ça ne serait même pas,
05:16
ça ne peut pas reparaître le préjudice
05:18
de cette famille, absolument.
05:20
Si on demande à quelqu'un d'entre nous, ici,
05:24
Êtes-vous prêt à recevoir
05:26
5 milliards de dollars
05:28
pour capre votre vie visuelle ?
05:30
Je crois bien qu'il n'y a aucun candidat.
05:33
Donc l'argent ne peut pas remplacer
05:35
la vie d'elle-même humaine.
05:37
Le plus cher, monsieur le Président,
05:39
c'est la vie sur terre.
05:41
Et voilà,
05:43
de façon cabineuse,
05:45
de façon inconsciente,
05:48
Monsieur Bangali prend le couteau
05:54
pour donner la mort à cette pauvre femme
05:58
et de vous dire,
06:00
moi-même j'ai voulu me donner la mort.
06:02
Alors je me demande,
06:04
est-il facile de se donner la mort
06:06
avec un couteau
06:08
ou bien de prendre la vie ?
06:10
Qui c'est ?
06:11
Peut-être qu'on a vu les images d'un fracon.
06:15
Qu'est-ce qu'il était dans le fracon, monsieur le Président ?
06:17
C'est lui, c'est lui.
06:19
C'est lui.
06:20
En tout cas, ça n'est pas...
06:21
Moi, il faut me dire que ça n'a pas eu la vie.
06:25
Ce n'était pas eu la vie, c'est lui.
06:28
Donc ça veut dire
06:29
qu'il ne voulait pas se donner la mort,
06:31
il voulait tout simplement donner la mort à cette femme.
06:34
Et en le faisant, monsieur le Président,
06:36
il a rendu les enfants de cette femme,
06:39
de cette femme,
06:40
orphelins durant toute leur vie, monsieur le Président.
06:44
Puisqu'eux,
06:46
ils n'ont plus la chance
06:48
de la chaleur de leur maman.
06:51
Et comment ces enfants vivent aujourd'hui, monsieur le Président ?
06:55
Dieu se blessait, monsieur le Président.
06:57
Je sais pourquoi.
06:58
Nous vous demandons de recevoir notre construction de partis civils
07:03
et d'allouer à cette famille
07:07
la somme de 600 millions,
07:09
celle de 6 milliards d'euros ingrédients
07:11
à titre de l'hommage ingrédients
07:12
pour tous les juristes confondus.
07:15
Je sais, monsieur le Président,
07:18
que ces 6 milliards, ce n'est pas facile.
07:23
Mais quand l'État veut, il peut.
07:27
Il peut.
07:29
Nous avons vu le gouvernement,
07:31
par un dégré présidentiel,
07:34
l'État a décidé de livrair les prévices que les victimes
07:38
du 28 septembre ont suivi, monsieur le Président.
07:42
Donc, par la même manière, monsieur le Président,
07:45
nous nous pensons que l'État doit venir
07:47
au secours de cette famille.
07:50
Comme ils ont fait preuve dès le début de cette procédure,
07:55
on est passant à savoir
07:57
que cette affaire, le gouvernement a pris en charge,
08:01
le gouvernement a envoyé
08:03
une dédication gouvernementale
08:05
conduite par le ministre de la Justice,
08:10
et ce jour, et vous, et le Parquet Général,
08:15
le Parquet d'Essence,
08:17
tous les magistrats qui nous sortent à la Cour d'Appel
08:19
se sont rendus dans la famille connue
08:21
pour présenter les condolences
08:23
les plus investisées de cette fois possible.
08:26
Donc, monsieur le Président,
08:29
comme je le disais,
08:31
même avec 100 milliards de dollars,
08:33
on ne peut pas prévoir les préjudices que les enfants
08:38
vont subir,
08:40
les préjudices que sa famille nous rendent
08:43
la perte de Adamant
08:46
ne pourrait être remontée avec la pension.
08:49
Mais en abordant ces similaires,
08:52
symboliques de ce fondant,
08:54
ça va aider les enfants,
08:56
ça va aider la famille connative
08:59
à donner une bonne éducation aux enfants,
09:03
à assurer leur scolarité,
09:05
à préparer leur bénédiction.
09:08
Monsieur le Président,
09:11
la taxe est difficile.
09:13
J'ai toujours dit que vous occupez la place de Dieu.
09:17
Et quand je dis ça, les gens vont dire,
09:19
mais quand je parle,
09:22
il dit que le Président est à la place de Dieu.
09:24
Monsieur le Président,
09:25
les bénédictions vont savoir que la décision que vous allez prononcer ici
09:30
est la décision qui va être appliquée.
09:33
Dieu dit, je vais te tuer, Dieu tue.
09:36
Dieu dit, je vais te crier, Dieu prie.
09:38
Monsieur le Président, vous vous dites,
09:40
qui va dire que ce n'est pas le temps ?
09:42
J'allais dire que lui va faire sa vie en prison.
09:45
Qui va dire le contraire ?
09:46
C'est pourquoi vous occupez la place de Dieu,
09:50
Monsieur le Président.
09:52
Et celui qui est à votre voix,
09:54
c'est la position du prophète Mohamed.
09:56
Celui qui est à votre voix,
09:58
c'est la position de Jésus-Christ.
10:00
C'est bien les conseillers de Dieu.
10:02
Un des jours, Monsieur le Président,
10:04
pour vous montrer que le bâton existe,
10:06
un des jours, le grand jour du jugement,
10:09
au nom de Dieu, le prophète Mohamed,
10:11
le peuple, le paix et le salut sur lui,
10:13
Monsieur le Président.
10:14
Il dit, mon aide, pourquoi tu pleures ?
10:17
Il dit, mon aide, pourquoi tu pleures ?
10:19
Mon aide, pourquoi tu pleures ?
10:21
Il dit, monsieur, mon Dieu,
10:23
vous m'avez envoyé à tout ce monde du bar,
10:26
pour leur dire ce que tu as fait.
10:28
J'ai fait le message,
10:30
mais ils n'ont pas fait ce que j'ai dit.
10:33
Donc, je suis un mauvais messager,
10:36
et c'est pourquoi je pleure pour toi.
10:38
Et Dieu lui a dit,
10:40
moi-même, moi, je n'ai voulu voir tes larmes.
10:42
Mais le fait de pleurer pour cela,
10:45
tu as fait la mission pour moi.
10:47
C'est moi qui t'ai envoyé la mission.
10:49
Je suis convaincu que tu l'as assumé à 100%.
10:51
Mais comme toi, tu dis que nous,
10:54
le monde n'a pas fait ce que toi, tu as dit,
10:57
c'est parce que tu as fait ton mauvais travail,
10:59
mais je te demande de regarder tout ce monde entier.
11:02
Donc, monsieur le Président,
11:05
de là, jusqu'à la fin du ciel,
11:07
de là, c'est le grand jour du jugement,
11:09
on est tous là-bas,
11:11
chacun est soucieux de son problème.
11:13
Alors, Dieu a dit au prophète,
11:17
prends trois fois ta main,
11:19
passez-moi l'instruction.
11:20
Mais quand il fait fonction,
11:23
monsieur le Président,
11:24
jusqu'à la fin du ciel,
11:26
tout ceci rentre dans le paradis sans jugement,
11:30
parce qu'il a vu les larmes du prophète,
11:32
monsieur le Président.
11:33
C'est pourquoi, monsieur le Président,
11:35
quand cela a été fait une fois, deux fois,
11:37
en bon Malégué, les gens aiment dire,
11:40
« Alla Mansourna, qu'est-ce que c'est la solidarité ? »
11:42
Les gens tapent l'air pour leur front,
11:44
« Amina, Amina, parce que tu n'es pas jugé,
11:46
tu n'es pas jugé pour l'âge au paradis.
11:49
« Alla Mansourna, qu'est-ce que c'est la solidarité ? »
11:51
Parce que ce jour-là, c'est le solidarité.
11:53
Et si le qu'il a fait solidarité pour Dieu,
11:56
pourquoi pas moi, le Président ?
11:59
La tâche est difficile.
12:01
En venant sous ça, le Président,
12:04
je me viens de montrer,
12:05
mon client a dit qu'il demande pardon.
12:09
Mais c'est ça, il ne peut rien.
12:12
Mais il faut qu'il demande pardon,
12:14
parce qu'il a dérangé.
12:16
Mon client a parlé de Satan.
12:18
Le problème est que Satan n'existe pas, d'accord ?
12:22
En religion chrétienne, Satan existe.
12:25
En religion musulmane, Satan existe.
12:28
Et mon client a dit au produit
12:30
que Satan n'est pas visible,
12:32
mais c'est les effets du Satan qui se voient.
12:35
« Quand ça rentre dans un homme, tu deviens inconscient.
12:39
Quand ça rentre dans un homme, tu deviens incontrôlé. »
12:42
Voilà, ce jour-là, mon client a dit qu'il ne boit pas,
12:46
qu'il ne se drogue pas, qu'il ne va pas danser.
12:48
Mais en tout cas, Satan est venu pour le décontrôler.
12:52
C'est le Président.
12:53
Il n'y a pas d'effet tel qu'ils se sont passés du Président.
12:57
Alors, j'ai entendu de l'autre côté, et à ma gauche.
13:00
Et non, c'est quelqu'un qui ne doit pas bénéficier de surconsance intérieure.
13:04
Le Président, Noël, c'est lui qui le dit.
13:06
Mais le corps, le législateur a très bien prévu l'article censé.
13:11
On dit que si depuis, c'est sa première fois de comparer,
13:15
M. le Président, vraiment, qu'il faudrait s'appesantir.
13:20
On ne vous impose pas, mais il peut bénéficier
13:22
des circonstances atténuables de M. le Président.
13:26
Alors, si cela est, c'est le ministère public qui poursuit M. le Président.
13:30
Et c'est le ministère public qui est là encore, qui rétient contre lui.
13:35
Mais d'une manière aggravante.
13:37
Oui, parce qu'il est le représentant de la société.
13:41
Mais moi, M. le Président, je viens toujours demander et solliciter
13:46
et rappeler le procureur que M. le Président est un citoyen de sa société.
13:51
Bangani Traoré n'est pas un mougon.
13:54
Bangani Traoré n'est pas un arbre.
13:56
Bangani Traoré est un homme.
13:58
Dans tous les cas, il est en vôtre.
14:00
Et il est en vôtre, il est dans la loi.
14:02
Est-ce que cette loi n'a pas pitié ?
14:04
Cette loi n'est pas sommée du sien.
14:06
Cette loi est faite par les hommes, M. le Président.
14:08
L'application, c'est vous.
14:10
M. le Président, je ne veux pas vraiment m'allonger dans ma prévoirie,
14:14
car j'ai déjà reconnu que je suis coupable,
14:17
car j'ai déjà reconnu que je vous demande pardon.
14:19
M. le Président, prouvez au paquet, le poursuivant,
14:24
que la loi, c'est la loi,
14:26
parce que j'ai vu dans la fin de ses réquisitions une petite ménage.
14:31
Et on attend de vous, la loi est dans sa rivière, M. le Président.
14:34
M. le Président, vous êtes professionnellement assis.
14:37
Vous ne rânez compte à personne.
14:38
Vous ne rânez pas compte au président de la République.
14:40
Vous ne rânez pas compte au procureur de la République.
14:43
Vous ne rânez pas compte au ministre.
14:45
Vous rânez compte à qui ?
14:46
À votre conscience professionnelle, M. le Président.
14:48
Donc, cette petite ménage dans ses réquisitions, M. le Président, je sais que vous allez vous en passer.
14:55
Il se présente toujours comme l'homme le plus fort, alors que nous sommes les deux enfants du Président.
15:00
Le procureur est le premier fils, l'avocat est le second fils de ce Président.
15:05
Mais chaque fois que lui parle, le Président est souvent dirigé par le premier fils.
15:10
Mais M. le Président, cette fois-ci, je voudrais que vous montriez à la population de quelqu'un
15:15
que l'homme, c'est le sentiment, l'homme, c'est le pardon.
15:19
Mais en condamnant M. le Président, est-ce que cela va réveiller ma petite heure du paradis ?
15:26
M. le Président, M. le Président, elle ne va plus se réveiller, M. le Président.
15:31
Je n'ai pas oublié à son destin.
15:33
C'était la fin de M. le Président, et c'est ce que tu as prévu,
15:37
mais par l'intermédiaire de M. le Président, que M. le Président.
15:41
Mais c'est l'homme disparu.
15:43
Continuons toujours, M. le Président, en parlant de la délinquance primaire,
15:47
en revenant dans le pardon, je vais parler des antécédents,
15:52
donc du destin de M. le Président.
15:54
M. le Président, j'ai toujours dit que le destin existe.
16:00
Quand l'homme est créé, chaque Dieu cesse ce qui va lui arriver.
16:06
Quand l'homme est créé, chaque Dieu cesse sa fin.
16:10
Alors la fin de M. le Président, c'est comme ça, M. le Président.
16:14
Et la fin de Mme Adama, voilà ce que Dieu a voulu.
16:18
Moi je suis un poire dans ma pléloirie.
16:21
Tout est Dieu, tout n'est pas que Dieu, et tout est à la fin Dieu, M. le Président.
16:27
M. le Président.
16:28
Nous on ne peut que calmer ici la société.
16:31
Arrivé à ce point M. le Président, je voudrais que quand vous allez vous retirer,
16:37
vous délibérez autour de cette affaire, que vous alliez faire bénéficier
16:41
de la circonstance à mon client quand même travaillé, M. le Président,
16:46
et en nous faisant bénéficier, et en suivant le ministère public dans ses réquisitions,
16:52
qui prend en tête la plus maximale, c'est-à-dire la perpétuité.
16:56
Et en nous faisant bénéficier, M. le Président,
16:59
des circonstances appuyantes, parce que je sais que vous allez vous dire, M. le Président,
17:03
et je sais que vous allez descendre d'un écran.
17:05
Et en descendant d'un écran, c'est le Président d'Administration qui nous fait bonne justice chez vous.
17:12
Merci M. le Président.
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