« Depuis que l'administration américaine a décidé de restructurer ses relations commerciales » nous sommes entrés dans un nouveau cycle économique et donc financier, selon Alexandre Baradez, analyste en chef chez IG France. Ce changement se fonde sur « une hausse des taxes à large assise dont le gouvernement américain attend une baisse des déficits », ajoute-t-il. « Les investisseurs anticipent désormais une contraction de la croissance au premier trimestre et la menace de la récession resurgit. »