Syndicats et ONG donnent rendez-vous le 12 avril pour «défendre l’Etat de droit» et dénoncer la «remise en cause» de la justice suite à la condamnation de Marine Le Pen. Pour Nathan Devers, écrivain, «ce n’est pas en se félicitant de l'exécution provisoire ou de l'inéligibilité de Marine Le Pen que les idées du RN reculeront».