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FRnOG 41 - Emmanuel Faure : JO PARIS 2024 / Enjeux des Télécommunications
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02/04/2025
FRnOG 41 - Emmanuel Faure : JO PARIS 2024 / Enjeux des Télécommunications
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Technologie
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Rebonjour à tous, Emmanuel Faure, société Square Advising, j'interviens pour le compte
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du sponsor NextConnect aujourd'hui, et je vais vous faire un petit rétexte sur ma participation
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aux Jeux Olympiques et vous présenter quelques enjeux des télécoms durant cet événement.
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Un peu de contexte rapidement, gros événement, 4 milliards de téléspectateurs, 30 disciplines
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olympiques, 20 paralympiques, c'est le plus gros événement au monde, pour dire les choses
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très rapidement, pour cibler les choses un petit peu plus technologiques, qu'est-ce
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que je vais vous dire, 9000 bandes Wi-Fi, on fait beaucoup mieux dans certains grands
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groupes, 60 000 ports Ethernet, un peu plus de 150 sites à connecter, des sites majeurs,
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des sites de compétition, sites majeurs comprenez des sites médias, comprenez le siège social,
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comprenez village olympique, et puis des sites de type facilities, ça va de l'entrepôt
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au parking pour la flotte des voitures, etc etc etc. Et pour connecter tout ça, ce que
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je vous ai rapidement introduit tout à l'heure, 4 réseaux, 4 réseaux très spécifiques,
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avec des noms bien spécifiques, le BCN, le Broadcast Contribution Network, c'est le fameux
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réseau qui est dédié au transport de tous les flux audiovisuels à destination des télés.
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Je vous donne tout de suite quelques mots clés, je vais beaucoup parler de broadcast,
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les télés c'est les broadcasters. Le WAN, le LAN IP, classique, c'est le fameux réseau
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corporate que tout le monde connaît. Le réseau DIVA, alors DIVA c'est un acronyme, c'est
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vraiment spécifique au monde de l'olympisme, ça veut dire Data Intercom Vidéo et Audio,
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c'est un réseau qui permet le transport de tous les flux audiovisuels sur les sites,
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je ne vous en parlerai pas aujourd'hui, mais comprenez que c'est un réseau qui est là
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pour optimiser les opérations et principalement le câblage sur les sites. Et enfin le réseau
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mobile, aujourd'hui moi je vais vous parler du réseau IP et des services qu'on a porté
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dessus pour apporter du support, 3 niveaux de support classiques, une hotline, des équipes
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terrain, le niveau 2 et puis le niveau 3 dans le TOC, le Technology Operation Center, donc
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vous connaissez les NOC, les SOC, nous on parlait de TOC parce qu'il y avait toutes
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les technos embarquées du Data Center au réseau, à la cyber, tout ce qui était technologie,
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incluant l'audiovisuel bien sûr, était supporté au sein de cet espace, 104 positions, H24
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pendant un mois, les opérations démarrent en 2023, les jeux ont lieu en 2024, vous avez
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peut-être entendu parler des test-events à quelques occasions, un triathlon avec une
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natation qui ne s'est pas déroulée en 2023 pour cause d'eau trop polluée par exemple,
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typiquement c'est ça les test-events. Et ça nous a permis de répéter techniquement
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les infrastructures, humainement la cohésion d'équipes, l'entente des personnes, les bons
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niveaux de compétences dans chacune de ces équipes et puis les process, beaucoup beaucoup
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de process. Rapidement un site de compétition, on livre plusieurs services, on livre du WAN,
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on interconnecte tous les sites, tout est double attaché, on les interconnecte dans le cadre du
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monde IP vers les POP, dans le cadre du monde broadcast vers l'IBC, l'International Broadcast
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Center, dans lequel sont présentes toutes les télés. Un peu de LAN et de WIFI, Cisco partenaire,
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équipementier ainsi que sur la cyber. Je parle vite, désolé le temps tourne. Le fameux réseau
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Diva que je vous ai très rapidement expliqué tout à l'heure. La CATV, on innove lentement,
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vous l'avez compris dans l'olympisme. CATV ce qu'il faut comprendre, c'est deux services,
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un service d'IPTV et un service de retour, de retransmission vidéo temps réel. C'est un
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service audiovisuel. Et alors pourquoi CATV ? Tout simplement pour Cable Television. On est dans
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les années 90, on fait de l'ARF et on câble les écrans. En 2024 on fait plein de choses, on fait
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de l'ARF parce que techniquement c'est encore ce qui marchait le mieux pour avoir une sélection
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de chaînes, tout simplement. Mais on fait aussi de l'IPTV, on fait aussi de l'HDMI, enfin on fait
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tout un tas de choses. Tout ça pour dire, il y a un service qui s'appelle la CATV, il y a un service qui
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s'appelle la téléphonie fixe et mobile et puis du push to talk. Donc c'est du talkie walkie sur
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téléphone, sur smartphone et qui s'appuie sur le réseau mobile de l'opérateur avec une notion
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de priorisation pour garantir les communications à destination des équipes opérationnelles sur
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le terrain. Un peu de technique. Normalement je vous assassine avec cette slide. C'est la
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matrice des services avec en haut les services livrés type, qu'est-ce que je vais vous donner
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comme exemple, Office 365 est un service, l'accréditation pour rentrer sur le site est un
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service, etc. Donc tous ces services sont portés sur la couche
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réseau par les fameux quatre réseaux que je vous ai présenté tout à l'heure. Le réseau corporate IP,
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concrètement il s'appelle l'ODN. ODN comme OCOC Data Network, OCOC signifiant, étant l'acronyme
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anglais de l'acronyme COJO français qui signifie comité d'organisation des Jeux
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Olympiques. C'est de lui dont on va parler aujourd'hui. Le Broadcast Contribution Network, le fameux DIVA,
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le fameux mobile. L'ODN, ça vous donne un aperçu, ce petit schéma de comment
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sont connectés les sites, donc les vignons sur la gauche, catégorisés selon le site et de
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cette catégorie en fait découle tout un tas d'exigences. Un site de catégorie A, c'est un site
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de compétition. Catégorie B, donc c'est les fameux sites majeurs que je vous ai listé
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tout à l'heure. Le village, le siège, le site de la presse, le site des TV. Et enfin catégorie C,
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catégorie D, tout le reste. Voilà, comprenez tout le reste. Différence entre C et D, dans un cas on
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rentre dans l'OCOC Data Network, dans l'autre on est sur de l'internet public classique. Un site
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de compète, c'est une double adduction, deux fois 10 gigas maximum. Un site majeur non compétition,
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c'est jusqu'à deux fois 100 gigas en termes d'intercôts. Pour se faciliter un petit peu la
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lecture, je ne sais pas si les couleurs ressortent bien, mais lignes rouges, lignes bleues, on
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essaye vraiment de simplifier pour le langage du quotidien et la compréhension. Pop rouge,
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pop bleu. Et à partir de ces pops, donc on est vraiment sur un infratype campus où on
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interconnecte et on concentre au travers de ces deux pops, donc les 150 sites connectés,
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on va pouvoir accéder à différents services hébergés, soit chez le partenaire cloud Alibaba,
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soit chez Orange dans le cadre de la téléphonie par exemple, soit chez Atos dans le cadre des
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services fournis par Atos, soit chez Thales pour tout ce qui est vidéosurveillance,
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dont je vous parlais tout à l'heure. Ou encore, sans passer par de la liaison louée et de l'intercôt
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direct, on montait du VPN pour atteindre des services de type la billetterie, de type le
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partenaire Spectre, l'ANFR, etc. En termes d'intercôt internet, la sortie internet générale,
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40 gigas. Alors quand je vous dis 40 à chaque fois, comprenez deux fois, tout est sécurisé.
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Le village avait son propre accès, 10 gigas. La Redcard, alors c'est pas forcément un terme
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qui va vous parler, c'est le catalogue de produits et de services commercialisables. Pareil pour tous
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ces services, quand un client type une télé nous commandait, dans son espace privé, sur le site
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de l'IBC, une liaison internet qui lui est propre, qui lui est dédiée à 1 giga, voilà cette liaison-là
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sortait par cet accès internet spécifique. Et enfin un peu d'accès de type management.
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Ça c'est un peu pour la big picture. Le PTP, je ne vais peut-être pas vous en parler tout de suite.
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Non, du tout, je ne vais pas avoir le temps, merci. Un petit focus sur le NAC. Le NAC, donc plusieurs
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objectifs derrière le NAC, donc le Network Access Control, son objectif premier bien sûr, la
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sécurité, sécurité d'accès au réseau, conformité réglementaire, accessoirement. Mais dans notre cas,
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il a eu deux autres fonctions qui, elles, étaient beaucoup plus opérationnelles cette fois-ci.
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A savoir, je vous en ai parlé rapidement tout à l'heure, c'est-à-dire la banalisation de l'accès,
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que ce soit le wifi ou le câblage, un média, un médium pour se connecter pour tous les services.
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Et du coup, c'est le process d'authentification qui permettait derrière à l'infrastructure d'allouer
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le bon service. Voilà, 100% des ports Ethernet étaient, en termes de configuration, complètement
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banalisés, interfacés avec du Cisco ISE. Et selon qu'on se connectait avec un device qui embarquait
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un certificat de l'APKI par 2024, on obtenait un certain type de réseau. Étape suivante, donc
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c'était vraiment séquentiel, du MAC adresse bypass. On utilisait pour ça un petit outil que je vais
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vous présenter juste après, et qui m'apportera le troisième gros intérêt du MAC d'un point de
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vue opérationnel dans le cadre des jeux. Si ça passait, ça passait. Si ça passait pas, on tombait
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sur le portail captif. Si on n'a pas de numéro d'accréditation, on ne se connecte pas au réseau.
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Ce n'est pas un portail captif du type, j'ai une page d'accueil, je clique sur connect et j'accède.
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Non, c'est une page d'accueil, j'ai mon numéro d'accréditation, c'est sur la base de ce numéro
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que je peux accéder au réseau. Cet outil, dont je vous parlais à l'étape numéro 2 pour
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gérer les MAC adresses, nous a permis, c'est un outil qui a été développé depuis deux
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éditions, si je ne dis pas de bêtises, qui est redéveloppé à chaque édition. Il y a enfin
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de l'héritage depuis Paris 2024 pour les prochaines. C'est un outil qui permet de
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renseigner les MAC addresses et de faire matcher celles-ci en face d'un groupe qui correspond,
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pour dire les choses très rapidement, à un VLAN qui lui est dédié à un partenaire pour lui
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livrer son service. La grosse nouveauté, c'est que ce portail a été mis en frontale sur internet
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et est accessible directement par chacun des partenaires qui avaient une flotte de réseaux
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en gestion. Donc chacun de ces partenaires était autonome dans la gestion de sa flotte
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de matériel, donc de MAC adresses, et donc d'accès au réseau sur leur périmètre. Le gros intérêt
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du NAC, c'est la sécu bien sûr, la banalisation et la délégation. Point extrêmement important, tout ça dans le
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cadre d'une amélioration du service client. Concrètement, pas besoin de tickets, les gens
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étaient autonomes, ils se connectaient, ils corrigeaient et ça remarchait. Je passe rapidement sur les petits
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visuels. Selon qu'on avait un PC type back-office, le staff, on accédait à de l'internet
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ou à certains services de back-office. Si on branchait un PC de type chronométrage,
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un service lié à la compétition directement, pas d'accès internet. Là on est vraiment en réseau fermé,
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on accède à un service fourni par Atos, hébergé par Alibaba, uniquement accessible au travers de
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l'ODN. Et si on ne rentre pas sur cette infrastructure, si on n'est pas authentifié pour, ce n'est pas des
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services auxquels on peut accéder. Et troisième type d'accès, l'accès internet standard.
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Pour vous parler un petit peu câblage, répartiteur général, sur répartiteur,
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dans la terminologie olympique, on a à peu près une ramette à quatre. Vous imprimez des colonnes
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et des colonnes de trigrammes. Tout métier confondu, pas que tech, mais tout métier confondu,
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mais c'est à peu près une ramette à quatre. Alors on n'a jamais la prétention de la connaître par
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cœur à la fin, mais en tout cas les quinze premiers jours, en tout cas le premier jour,
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il est assez saisissant. Et votre première réunion, c'est pareil. Vous sortez de réunion,
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voilà, puis vous regardez votre collègue, puis vous lui dites « j'ai rien compris ». Tout simplement,
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tout le monde parle en trigrammes, que ce soit un site, que ce soit un service, on n'y comprend
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rien. Donc tout ça pour vous dire qu'une TER, c'est une Telecom Equipment Room, et c'est un
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répartiteur général. Et qu'une NER, c'est une Network Equipment Room, et c'est un sous-répartiteur
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Alors dans notre cas, on fait de l'événementiel, on fait de l'éphémère, et le choix qui a été
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retenu, c'est les TER, donc c'était deux baies 42U classiques, posées dans une salle sécurisée. Les
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NER, elles, c'est ce que vous avez à l'écran. C'est les bâtis, c'est les racks sur roulettes,
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qui étaient en fait, tout était stagé en usine, livré par camion, poussé comme un flycase par
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un road, et puis ensuite il n'y avait plus qu'à connecter. La face avant du switch n'était pas
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accessible, tout était pré-câblé sur un patch accessible à l'arrière, et donc en fait, les
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techs présents sur site pour câbler, le câble sur le patch, la fibre sur le patch, le power sur la
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P17, mais tout ce qui était équipement, entre guillemets, sensible aux gros doigts, on va dire comme ça,
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était protégé. Alors pour vous donner un exemple, sur un site comme VNS, alors VNS, ça veut dire
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quoi ? Ça veut dire Versure Marne. Alors, bizarre, VNS, Versure Marne, donc Versure Marne, Nautique, VNS,
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Nautique, Nautique, Stadium, c'est un site qui est très étendu, très étendu, il y a plus d'un
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kilomètre 500, je crois, d'étendue d'eau. VNS, c'est là qu'avaient lieu le canoë et l'aviron,
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voilà, d'où l'étendue d'eau que vous voyez en haut à gauche de la petite image, avec au bout,
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une petite cahute avec des arbitres et puis un petit peu de services livrés. Et pour livrer ça,
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en fait, le containment utilisé, comme vous le voyez, c'était le câble, alors le containment,
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c'est le chemin de câble, la protection, le yellow jacket dans certains cas, le chemin de câble dans
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certains cas, ou même le sol dans d'autres cas. Bien sûr, on est dans des espaces réservés où il
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n'y a pas de passage, mais on a eu quelques surprises, comme ce jour-là, une perte de
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service, un monitoring qui sonne l'alerte et, vous voyez, une petite fibre qui a été coupée. Alors,
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on aurait utilisé une fibre tactique fournie par NextConnect, on n'aurait peut-être pas eu ce
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problème, mais on pense avoir trouvé le coupable, voilà. Alors, on a réparé dans les temps, bien
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sûr. Quelques autres services IP fournis, classique, téléphonique, call center, IPTV, dont je parlais
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tout à l'heure, de la chaîne de sport. Donc, ce n'est pas les chaînes de sport que vous voyez chez France
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TV. Là, on est sur de la chaîne de sport. Quand vous vous mettez sur le ping-pong, vous regardez du
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ping-pong et vous regardez que du ping-pong et vous bouffez du ping-pong pendant dix heures.
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Il faut aimer le ping-pong. Après, vous avez le choix, vous avez de l'aviron, vous avez du
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canoë, vous avez du judo, vous avez tous les sports et vous avez donc, comme ça, une cinquantaine de
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chaînes disponibles, plus 20 chaînes commerciales. Une chaîne commerciale, c'est typiquement les
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diffuseurs officiels. Ça va être, dans notre cas, pour la France, France Télé, ça va être,
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et à chaque pays, en fait, son diffuseur. Et cette appli d'IPTV était déployée sur des
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smart TVs et ensuite livrée, répartie, partout où il y avait besoin d'un service de ce type-là,
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typiquement les chambres d'athlètes, typiquement les salles de presse, enfin, voilà, vraiment,
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un peu de partout. Qu'est-ce que je peux vous dire ? Et j'arrive à la fin. Le service Presse
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Plus, service porté sur l'IP, service dédié aux photographes de presse et plus particulièrement aux
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agences de presse. Donc, quand vous regardez dans le journal, sur internet ou papier, vous avez
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souvent écrit en bas, à droite ou à gauche, crédit avec le nom d'une boîte derrière. AFP, Reuters,
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Getty, des choses comme ça. Vous en avez une dizaine dans le monde, à peu près, d'agences
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de presse. Et ces agences, en fait, leur job, dans le cadre des photographes, et j'en arrive au
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service, c'est de prendre de la photo, la meilleure, la plus pertinente, et de la mettre à disposition
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le plus rapidement possible aux journaux qui vont les acheter pour, derrière, les utiliser dans
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leurs articles de presse. Et donc, en fait, les photographes ont besoin d'avoir une connectivité
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qui leur permet de pousser en temps réel. Alors, en fait, c'est vraiment l'appareil photo. Quand
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le photographe prend la photo, l'appareil est configuré pour faire un push FTP, basique,
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mais là, on est sur un réseau point-à-point, fermé. Et la photo arrive, alors dans le cadre des Jeux
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de Paris, c'était à la Porte Maillot, au Palais des Congrès, où le centre de presse était installé.
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Chaque agence, dans un espace qui lui est dédié, des équipes techniques, les photos arrivent,
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les équipes éditoriales font la sélection, republie pour mettre aux enchères les photos.
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Et c'est comme ça que vous pouvez avoir des photos, je vais aller un peu trop vite,
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mais je vais vous la montrer juste après, des photos un peu percutantes. Ce service,
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il est basé sur l'ODN. Et une des grosses nouveautés sur Paris 2024, ça a été la
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privé de 5G. On l'a mis en place sur quelques sites, à destination de deux populations,
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les médias, donc presse et broadcaster. Presse pour leur apporter de la mobilité sur le terrain
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de jeu. Directement, imaginez-vous sur le Stade de France, bien évidemment, on n'a pas couvert en
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Wi-Fi le terrain de jeu, on couvrait les zones à couvrir. Et ce terrain de jeu, lui, était couvert
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avec de la 5G privée et permettait de la mobilité aux photographes. Voilà, la petite photo que tout
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le monde connaît, crédit AFP, c'est pas truqué, c'est pas photoshopé, peut-être deux ou trois
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ajustements de couleur, mais voilà, c'est typiquement le genre de photo qui remontait
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via ce réseau Presse Plus. 15 minutes. Merci.
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