Dans le panthéon d’Apolline de Malherbe, André Breton croise David Guetta, « La Condition humaine » flirte avec « La Soupe aux choux », et l'étrangeté devient une boussole pour appréhender le monde. « Nadja » d'André Breton est le livre qui l’a le plus marquée. La journaliste l’a découvert durant ses études littéraires, avec un bac spécialisé en histoire de l'art et arts plastiques, puis hypokhâgne, khâgne et une maîtrise de lettres. « Ce livre m'a fascinée par son étrangeté […]. L'histoire, qui se déroule dans des lieux que je connaissais, […] m'a captivée par son atmosphère onirique. Cette étrangeté m'a ouvert à une nouvelle manière de voir le monde, entre réel et irréel. »