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Interview Brut : Didier Deschamps
Brut
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25/03/2025
"Les gens ne me connaissent pas."
Sa vie en dehors des terrains, l’homophobie dans le football, l’éducation de son fils Dylan… Didier Deschamps se livre en interview pour Brut.
Retrouvez le documentaire "Didier face à Deschamps" vendredi 11 octobre à 22h55 sur TF1
Catégorie
🥇
Sport
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Afficher la transcription complète de la vidéo
00:00
Les gens ne me connaissent pas. Ils me connaissent à travers ce qu'ils peuvent voir de moi.
00:04
Toutes les discriminations, quelles qu'elles soient,
00:07
elles n'ont pas de place, ce n'est pas dans le football, c'est dans le sport en général.
00:11
Quand on se voit déjà rire, et bien là, pas de travail.
00:14
J'ai payé aussi.
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Je suis passé par là.
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Bonjour Didier Deschamps.
00:20
Bonjour.
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Merci d'accorder cette interview à Brut.
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Vous êtes originaire de Bayonne.
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Là-bas, c'est plus une terre de rugby.
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Comment vous en êtes arrivé au football ?
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Par le rugby.
00:31
J'ai joué au rugby aussi.
00:32
J'étais très sport, j'ai fait un peu tous les sports.
00:34
J'ai fait de l'athlétisme, du cross, du handball.
00:37
J'ai joué au rugby, mais je préférais par-dessus tout le football.
00:42
Donc voilà, j'ai choisi à un moment.
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Il a fallu que je choisisse très tôt puisque j'avais 14 ans
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et j'ai été sollicité pour intégrer un centre de formation.
00:51
J'ai dû prendre la décision de modifier ma trajectoire,
00:55
c'est-à-dire d'abord études pour voir après ce que j'aurais pu faire.
01:00
Mais là, c'était un choix déjà important très tôt
01:03
d'intégrer le centre de formation de Nantes.
01:06
Il a dû en baver quand même, certainement.
01:10
Plus qu'on ne pense.
01:11
Parce que pour arriver où il est arrivé,
01:14
il a fallu qu'il en bave.
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Non, je ne peux pas dire que j'en ai bavé.
01:21
Lui, il en a certainement plus bavé que moi.
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Pour d'autres raisons, parce qu'il fallait nourrir la famille,
01:26
il fallait travailler, des fois sacrifier le week-end
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pour qu'on ait suffisamment pour bien même.
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Moi, je n'en ai pas bavé, ça fait partie, j'ai choisi.
01:38
On ne peut pas tout avoir dans la vie à partir du moment où on fait le choix
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de rentrer dans un centre de formation, de tout faire pour être professionnel,
01:45
d'aller le plus haut possible.
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Mais ça implique aussi d'avoir une hygiène de vie, un cadre de vie
01:52
qui est différent, forcément.
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Ils vont en remettre encore.
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Maîtrise, on ne s'énerve pas.
02:00
La élite, ça pousse, ils arrivent en retard.
02:02
Les soirées, là-bas, ils te cartonnent.
02:04
Rien du tout.
02:06
Bon, ça ne sert à rien, ne faites pas de gestes alarmiques.
02:10
Surtout pas.
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Mais vous pouvez lui parler.
02:13
La quasi-totalité des personnes qui disent me connaître,
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me connaissent à travers ce qu'ils peuvent voir de moi.
02:22
Quand je suis dans mon rôle de sélectionneur ces dernières années
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ou avant quand j'étais joueur, mais ce n'est pas forcément
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ce que je suis dans ma vie au quotidien.
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Justement, l'exposition, c'est deux époques différentes.
02:36
À l'époque, il n'y avait pas les réseaux sociaux.
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Aujourd'hui, on voit quasiment en temps réel la vie des joueurs.
02:42
Pour le plus grand bonheur de tout le monde,
02:45
quand ça se passe bien, c'est merveilleux.
02:46
C'est le monde d'aujourd'hui.
02:48
C'est la multiplication des médias et avec les réseaux sociaux,
02:52
avec le côté positif qui permet d'avoir des images,
02:56
des émotions qu'on n'aurait pas pu avoir avant,
02:59
en instantané, quasi en instantané.
03:03
C'est le monde d'aujourd'hui.
03:04
Je ne me bats pas contre ça.
03:05
Ça fait partie de la vie, même si moi, personnellement,
03:09
je n'y suis pas et je n'y serai pas parce que je n'ai pas d'intérêt.
03:15
Je n'ai pas de plaisir à y être ou de faire partager.
03:18
Mais c'est une question de génération aussi.
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Les jeunes d'aujourd'hui, c'est montrer ce qu'ils font,
03:24
avec qui ils sont, où ils sont.
03:26
Moi, je préfère ne pas savoir où je suis, avec qui je suis.
03:32
Voilà, mais c'est le monde d'aujourd'hui.
03:34
Je ne vais pas lutter contre ça.
03:36
Ça fait partie de la vie médiatique aujourd'hui.
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En tenant compte de l'évolution de cet aspect
03:46
de la multiplication des médias et des réseaux sociaux,
03:49
qui fait qu'aujourd'hui, la discrétion est de plus en plus réduite, bien évidemment.
03:56
Et comment on gère ça d'un point de vue groupe ?
03:59
On l'a vu en 2018, à la Coupe du Monde,
04:00
on suivait quasiment en temps réel tout ce qui se passait.
04:03
Comment vous, en tant que sélectionneur, vous arrivez à mettre un peu la limite ?
04:05
J'ai déjà confronté à ça en 2014, à la Coupe du Monde au Brésil.
04:11
Interdire, c'est impossible pour moi.
04:15
Je ne m'en voyais pas interdire parce qu'ils ont enlevé une liberté.
04:17
Ils ont cette liberté-là.
04:19
Après, le plus important, c'est de pouvoir cadrer
04:22
pour qu'ils ne se mettent pas en difficulté,
04:24
qu'ils ne mettent pas le groupe en difficulté,
04:26
ce que représente l'équipe de France, la fédération et ce maillot blanc-rouge.
04:31
Et des fois, quelque chose qui peut faire rire sur le moment,
04:34
avec le temps et très vite après,
04:36
peut être quelque chose qui peut devenir très vite une polémique.
04:40
Je vais prendre un exemple, je l'ai toujours pris,
04:44
où on était au Brésil en 2014, pendant la Coupe du Monde,
04:48
où les joueurs avaient des temps libres.
04:49
On était dans un camp de base plutôt agréable, où il y avait des piscines.
04:52
Ils peuvent se prendre en vidéo autour de la piscine.
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Ils ont un moment de relâche.
05:00
Il n'y a rien de mal.
05:01
Mais les supporters français qui sont en France et qui voient ça,
05:05
et si ça se passe mal le match qui suit,
05:09
ils disent mais ils n'ont que ça à faire, de faire de la bronzette
05:11
et rien faire autour de la piscine.
05:13
C'est un exemple, mais c'est la réalité.
05:15
Donc, quand ils parlent d'eux ou qu'ils se mettent, eux,
05:21
en image, entre guillemets,
05:24
après, libre à eux en faisant attention à ce qu'ils peuvent mettre aussi comme commentaire,
05:29
mais surtout pas mettre en difficulté ou partenaire ou adversaire ou l'institution,
05:35
parce que l'institution, elle est au-dessus de tout, de toute façon.
05:38
Ma mère le disait tout le temps, si tu veux, on joue au baby-foot ensemble.
05:41
Elle lui dit mais laisse-le gagner, parce que moi, je pleurais quand je perdais.
05:43
Et il lui dit non, c'est comme ça qu'il apprendra.
05:44
Maudit lag !
05:45
Ce qu'on retient beaucoup dans la construction de parkour, c'est la haine de la défaite.
05:50
Clairement, vous ne lâchez jamais rien, même quand vous jouez avec votre fils.
05:54
C'est encore le cas, ouais.
05:57
Non, après, c'est plus ma vision de l'éducation.
06:01
Je ne dis pas que c'est la bonne pour tout le monde,
06:06
et mon fils reconnaît aujourd'hui que c'est quelque chose qui lui sert
06:10
et qui lui a servi et qui lui sert et qui lui a forgé un mental.
06:15
Parce que moi aussi, j'ai été éduqué comme ça et d'être dans l'adversité,
06:27
ça oblige à aller puiser au plus profond de soi.
06:31
Les qualités psychologiques, mentales sont très importantes aussi
06:35
dans le sport de haut niveau, à qualité égale.
06:39
Forcément, après, c'est le mental qui fait la différence.
06:43
Mais ce qui ne veut pas dire que certains papas peuvent éduquer leur fils
06:48
d'une autre manière et que le fils ne réussisse pas très bien sa vie.
06:54
C'est une vision d'une forme d'éducation qui peut réussir avec certains enfants
07:02
mais qui peut ne pas être la bonne avec d'autres aussi.
07:05
Le mental, justement, vous passez de Nantes à Marseille,
07:08
il y a très longtemps, avec une grosse pression.
07:11
Des exigences, pression, pression, ça me vient random.
07:14
Ça aussi, c'est un terme...
07:15
Oh, avec pression, c'est pareil.
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Oui, c'est des mots qui arrivent à la pression, non, c'est de l'adrénaline.
07:22
Tout ce qui est négatif, moi, je n'aime pas.
07:24
Pression, stress...
07:26
Non, c'est de l'adrénaline, de l'excitation.
07:29
Après, il y a comment on appréhende l'environnement extérieur
07:33
qui peut avoir plus ou moins d'influence sur sa façon d'agir, de réagir.
07:41
Mais ce n'est pas de la pression, c'est de l'exigence.
07:44
Soit on veut rester là où on a toujours l'ambition d'aller plus haut.
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Si on va plus haut, il y a plus d'exigence, il y a plus d'attente.
07:52
Il faut toujours plus...
07:53
Ou on se contente de se dire, c'est très bien et j'en reste là.
07:56
Ça peut convenir, mais quand on veut toujours...
07:59
Quand on fait quelque chose de bien, on peut toujours faire mieux.
08:03
Quand c'est très bien, on peut toujours.
08:04
Il y a toujours la possibilité de s'améliorer, de faire mieux,
08:09
même si ça a permis de réussir ou de gagner.
08:13
Ce n'est pas se contenter de ce qu'on a fait,
08:16
c'est s'enrichir, se nourrir de ce qui a été bien fait,
08:19
mais pouvoir encore améliorer certaines choses.
08:23
Et dans le sport de très haut niveau, il y a la formule, les détails.
08:29
Mais c'est souvent des détails, l'accumulation de détails.
08:32
Moi, je pars du principe 1%, 2%, ce n'est pas grand-chose.
08:35
Mais ces 2%-là, je préfère les mettre de l'autre côté
08:37
plutôt que de les donner à l'adversaire.
08:41
À Marseille, il y a une rencontre, c'est celle avec Bernard Tapie.
08:44
On dit souvent que dans le football moderne,
08:46
il y a de moins en moins de dirigeants forts en gueule ou charismatiques.
08:51
C'est réduiteur de dire ça.
08:53
Est-ce que c'est deux époques différentes ?
08:54
Oui, aussi.
08:55
Ce n'est pas possible de faire les choses comme ça aujourd'hui.
08:59
C'était une autre période, une autre génération.
09:07
De faire des pieds collés, ce qui marchait il y a 10 ans, il y a 20 ans,
09:10
ne marche pas forcément aujourd'hui
09:12
parce qu'on n'a pas les mêmes personnes en face,
09:15
avec les mêmes centres d'intérêt,
09:16
ils ne fonctionnent pas de la même façon.
09:19
Il y a un maître mot dans tous les domaines professionnels.
09:23
Quand on est un dirigeant ou on a une responsabilité, c'est s'adapter.
09:28
S'adapter au contexte, s'adapter aux personnes qu'on a en face de soi
09:32
avec leur caractère, leur personnalité différente.
09:36
Ça a marché à ce moment-là parce que tout était réuni certainement
09:42
de par la personnalité des uns et des autres,
09:45
et au même moment, refaire la même chose à un autre endroit,
09:48
ce n'est pas forcément que ça aurait à coup sûr bien marché aussi.
09:52
Ce front parlé, est-ce qu'il n'est plus possible aujourd'hui ?
09:55
C'est la vie aujourd'hui, malheureusement.
09:58
Aujourd'hui, chaque mot peut avoir des conséquences très importantes.
10:07
Aujourd'hui, la communication prend une place essentielle
10:11
et le moindre mot peut amener...
10:15
Non, je m'adapte, c'est comme ça.
10:18
C'est pour ça qu'il faut faire très attention à la maîtrise,
10:24
mais de notre côté, je ne vais pas dire que je le subis,
10:27
mais l'environnement médiatique sportif va dans cet excès-là
10:33
où on va plus dans tout ce qui est le plus agressif, le plus violent.
10:39
Ce n'est pas une bonne chose, ce n'est pas comme pousser une gueulante,
10:42
ce n'est pas forcément aussi crier plus fort que tout le monde.
10:46
On peut dire les choses sans pour autant monter les décibels.
10:52
Ce qui est le plus important, c'est le choix des mots, pour moi,
10:56
et l'adéquation entre ce qu'on dit et le visage.
11:02
Vous avez souvent évoqué votre fierté de jouer pour l'équipe de France.
11:08
Est-ce qu'aujourd'hui, vous trouvez que ce sentiment de fierté nationale,
11:12
il existe encore chez les jeunes générations ?
11:14
Il est très fort.
11:16
Il est revenu très fort.
11:17
À un moment, ça va avec la courbe des résultats
11:22
et l'historique de l'équipe de France,
11:25
mais aujourd'hui, depuis quelques années, oui.
11:28
Vous avez senti des moments où c'était plus compliqué ?
11:31
Plus ou moins, mais c'est par rapport à ce qui a pu se passer,
11:34
avec des périodes plus ou moins difficiles,
11:37
et cet attachement, et ce que représente ce maillot.
11:42
L'importance que peuvent avoir les joueurs quand ils ont ce maillot,
11:45
les devoirs qu'ils ont vis-à-vis des supporters,
11:49
notamment de la nouvelle génération.
11:52
Je n'aime pas le mot exemplaire, être exemplaire.
11:56
Ça veut dire que personne n'a le droit à l'erreur,
11:58
mais ce sont des exemples.
12:00
Et dans les exemples, il y a de bons et de mauvais exemples.
12:03
Il vaut mieux avoir de bons exemples pour les jeunes.
12:05
Personne ne sera jamais au-dessus d'un collectif.
12:08
Et tous les joueurs qui peuvent être importants
12:10
sont importants à travers un collectif.
12:12
Et à un moment, dans un sport collectif,
12:16
il y a toujours des équilibres à avoir,
12:20
des équilibres purement spécifiques sur le terrain,
12:24
des équilibres sociaux aussi,
12:27
ce qui m'amène, avec mon staff, à beaucoup réfléchir,
12:33
discuter, changer, à un moment, à prendre des décisions,
12:36
comme je l'ai fait, je les assume à chaque fois,
12:40
mais il y en a qui n'ont pas été d'accord,
12:43
qui ne seront pas d'accord, mais ça, ça fait partie,
12:45
mais ça ne me gêne pas.
12:48
Je suis là pour choisir, autrement, je ferais un autre métier.
12:51
Quand on ne choisit pas, on n'a pas de problème,
12:54
tout le monde est d'accord.
12:55
Mais à partir du moment où on choisit,
12:56
on parle toujours de ce qui nous concerne.
12:59
Quand je fais une sélection,
13:01
on va toujours me parler de ce que je n'ai pas pris.
13:02
Mais si j'avais pris ce que je n'ai pas pris,
13:04
on me parlerait de ce que je n'aurais pas pris aussi.
13:06
Ce n'est pas très clair,
13:07
mais vous m'avez compris quand même.
13:09
Et si, justement, il y avait un conseil à donner
13:11
à cette jeune génération,
13:12
dans le comportement, dans l'attitude à avoir ?
13:15
Il n'y a pas de conseil.
13:17
Ils sont comme ils sont,
13:18
avec des centres d'intérêt différents,
13:20
modes de fonctionnement différents,
13:22
mais pourquoi voir que le côté négatif,
13:24
elle a aussi beaucoup, beaucoup de qualités,
13:27
cette jeune génération,
13:29
qu'on n'avait peut-être pas la mienne et celle d'avant.
13:33
Aujourd'hui, ils veulent tout, tout de suite.
13:35
Ils ont cette faculté.
13:37
S'il y a besoin de partir, d'aller à l'étranger,
13:39
jeunes, il n'y a pas de souci.
13:40
Avant, c'était quelque chose qui était quand même...
13:42
On était quand même plus réticents.
13:45
Ils ont une énorme confiance en eux.
13:48
Il y a un sujet dont on parle beaucoup en ce début de saison,
13:50
c'est la lutte contre l'homophobie dans les stades.
13:52
Qu'est-ce que ça vous a inspiré ?
13:54
Je suis désolé, ce n'est pas l'homophobie,
13:57
c'est les discriminations.
13:58
Pourquoi ressortir l'homophobie plutôt qu'une autre,
14:00
ou le racisme ?
14:01
C'est toutes les discriminations, quelles qu'elles soient.
14:05
Elles n'ont pas de place, ce n'est pas dans le football,
14:07
c'est dans le sport en général.
14:09
S'il y a des choses qui se passaient, qui se passent,
14:12
c'est faire en sorte, en concertant un peu tout le monde,
14:16
pour que ça arrive moins dans un premier temps,
14:20
et en espérant que ça n'arrive plus.
14:23
Je ne voudrais pas ressortir, non pas que...
14:25
Après, c'est autrement mettre un curseur et dire
14:27
oui, mais cette discrimination-là est plus importante ou moins importante.
14:32
Toutes les discriminations, quelles qu'elles soient,
14:34
parce que le sport pour moi, et le football qui est le sport le plus populaire,
14:38
c'est certainement le meilleur moyen d'unir et de réunir les gens.
14:43
Et le fait d'arrêter un match, par exemple, est-ce que c'était une bonne idée ?
14:47
On a vu ces derniers temps, à partir du moment où il y a eu des...
14:48
Ce n'est pas des idées.
14:51
À un moment, c'est la responsabilité des instances de dire stop.
14:57
Après, moi, je peux avoir mon propre avis,
14:59
de dire là, il faut aller, là, il ne fallait pas.
15:02
Il y aura toujours des pours et des contres.
15:06
À un moment, quand on veut lutter contre quelque chose,
15:09
oui, il faut prendre des décisions, des décisions qui soient fortes.
15:12
Mais je ne suis pas là pour dire oui, là, il fallait le faire, là, il ne faut pas le faire.
15:16
Chacun peut avoir un avis et pas forcément détenir la vérité.
15:21
C'est au contraire réunir tout le monde
15:24
pour que ça arrive moins dans un premier temps,
15:26
jusqu'à ce que ça n'arrive plus du tout.
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