Les autorités américaines sont sorties de leur silence au sujet du chercheur français qui s'est vu refuser l'entrée sur le territoire américain début mars. Le département de la Sécurité intérieure a nié le fait que la décision d'expulser le scientifique en mission pour le CNRS était liée à de prétendus propos critiques contre Donald Trump. Le ministre de l'Enseignement supérieur, Philippe Baptiste, avait indiqué qu'il aurait été renvoyé parce que des communications personnelles hostiles à la politique de Donald Trump sur la recherche avaient été retrouvées lors d'une fouille de ses appareils électroniques.