En 1930, l'écrivain et intellectuel Azorín dénonce une calomnie qui s'est propagée pendant près de six décennies : la vie et les oeuvres de l'archevêque espagnol Antoine-Marie Claret, fondateur des missionnaires clarétains, ont été falsifiées par les ennemis de l'homme d'Eglise. Azorín, homme de gauche et foncièrement anticlérical, tente de rétablir la vérité sur la vie de celui qui fut archevêque de Cuba et confesseur de la reine Isabelle II. Il met notamment en lumière son opposition à l'esclavage...