Souvent accusée de tropisme russe, Marine Le Pen est revenue dans les colonnes du « Figaro » sur le positionnement d’Emmanuel Macron concernant la « menace » russe. Alors que pour la première fois en trois ans de guerre en Ukraine s’ouvre la perspective d’une paix, la cheffe des députés RN a dénoncé le message « étrange » d’Emmanuel Macron dans l’urgence qu’il exprime. Accusant le chef de l’État d’être depuis 2017, le « président du désarmement de notre souveraineté », Marine Le Pen estime qu’aujourd’hui le premier danger pour la France n’est pas la Russie, mais le fondamentalisme islamiste.