François Bayrou a annoncé mercredi 26 février vouloir « réexaminer la totalité des accords » qui lient Paris et Alger dans un délai de quatre à six semaines. Une référence claire aux accords de 1968 entre la France et l'Algérie. Il a également annoncé qu'il allait « présenter au gouvernement algérien une liste “d'urgence” de personnes qui doivent pouvoir retourner dans leur pays et qu['ils considèrent] comme particulièrement sensibles ».