Un ingénieur et un chimiste, âgés d’une quarantaine et d’une cinquantaine d’années, travaillant au CNRS, ont reconnu être les auteurs du jet d'engins explosifs contre le consulat de Russie à Marseille. Un acte de protestation, au moment de la commémoration des trois ans du début du conflit russo-ukrainien, qui suscite des interrogations autour de l’organisme public de recherche.