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Nouvelles révélations dans l'affaire Amadou Sall_ _une de ses proches citée dans..._
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25/02/2025
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00:00
La communication d'avance.
00:01
Il faut imposer un débat par la force de l'autre.
00:05
Si tu ne réussis pas, tu seras incontournable dans l'opposition sénégalaise.
00:11
Nous allons voir notre dernier point avant de passer à l'autre.
00:16
L'observateur a dit qu'il n'y a pas de salle ici.
00:22
Ce que l'on peut retenir à titre d'information, c'est qu'il n'y a pas de salle.
00:28
Au-delà de sa personne, c'est vrai qu'il s'agit d'un dossier de rapport scientifique.
00:35
Il s'agit déjà d'un pôle judiciaire financier.
00:37
Il y aura peut-être des enquêtes.
00:40
Avant ça, il y avait un autre homme qui travaillait avec lui.
00:44
Il était dans ses affaires mais il n'a pas confirmé qu'il n'y a pas de salle.
00:50
Mais prochainement, on peut attendre une convocation pour savoir ce qui se passe.
00:56
Il y a beaucoup d'informations sur lui mais on ne peut pas démentir ces informations.
01:06
On l'a donné à l'observateur mais il n'y a pas d'information sur lui.
01:14
Il est resté avec ses patrons car il a travaillé avec de nombreuses sociétés.
01:22
Il a investi 797 millions d'euros dans une société anonyme.
01:28
Mais l'observateur insiste qu'il n'y a pas d'information sur lui.
01:34
Le rapport de 91 milliards de dollars est en cours d'évaluation.
01:39
On verra ce qui se passe dans quelques jours car il y a déjà des enquêtes sur le pôle judiciaire financier.
01:45
On ne peut pas dire qu'il est resté avec ses patrons.
01:50
On peut pas dire qu'il est resté avec ses patrons car on ne peut pas discréditer l'observateur quotidien.
02:00
Il n'y a pas d'information sur lui et le pôle judiciaire financier va le confirmer.
02:07
D'abord, le cas d'Amou Dossal.
02:10
Pour le cas d'Amou Dossal, j'ai confiance en les deux.
02:15
Mais je ne sais pas ce qui va se passer.
02:21
Pour le cas d'Amou Dossal, on avait parlé de complicité et de blanchement.
02:26
Mais je ne sais pas ce qui va se passer.
02:31
C'est un rapport qu'on peut laisser pour le pôle judiciaire.
02:36
Mais si on l'analyse sur l'âme politique,
02:41
je pense qu'on a des responsabilités sur ce sujet.
02:47
Les bénéficiaires de décrets présidentiels.
02:52
Certains pensent qu'ils devraient y aller depuis le début.
03:00
Je pense que politiquement, on ne peut pas laisser les bénéficiaires y aller.
03:05
Ils n'ont jamais eu de décret présidentiel, ni d'interview, ni d'acte politique.
03:11
Ils n'ont jamais eu de décret présidentiel, ni d'acte politique, ni d'interview, ni d'acte politique.
03:16
Même si c'est le fils du président Macky Salle.
03:19
Parce qu'il y a son avant aussi.
03:22
Il a dit qu'il devait prendre le fils du président Macky Salle pour s'y contenter.
03:27
Mais sur quelle base?
03:30
Je ne vais pas parler de politique.
03:33
Si Karim Ouad avait eu beaucoup de bénéficiaires au départ,
03:37
c'est parce qu'il avait des postes de responsabilité qui l'occupaient.
03:46
Mais les bénéficiaires de ces postes,
03:50
des décrets de nomination, des rapports,
03:55
ils n'ont jamais eu de poste de responsabilité.
04:05
Donc, il n'a pas été capable de s'occuper de ces postes.
04:08
Les présidents essayent autant que possible
04:13
de faire en sorte que leurs enfants ne soient pas obligés de gérer les affaires publiques.
04:17
Ils ne sont pas là parce qu'ils ne sont pas compétents
04:21
non pas parce qu'ils n'ont pas de légitimité
04:24
mais c'est pour ne pas les exposer davantage.
04:27
Si le président de l'arbonne s'est mis à l'effort, il n'aurait jamais eu de fils.
04:31
Mais malgré tout ça, il n'aurait jamais eu d'enfants.
04:36
Donc, il n'y a pas d'argent.
04:39
Personne n'a de l'argent.
04:41
Donc, j'ai l'impression qu'il n'y a pas d'argent.
04:47
Je veux dire que politiquement, je ne crois pas qu'ils aient des postes de responsabilité.
04:55
Ils n'ont jamais eu de décret ni de poste de responsabilité.
04:59
Ils sont tous là-bas.
05:03
Je ne crois pas qu'ils n'ont jamais eu de décret ni de poste de responsabilité.
05:10
Mais politiquement...
05:12
Oui, c'est ce qu'il faut faire.
05:16
C'est ce qu'il faut faire, c'est ce qu'il faut juger.
05:20
Mais politiquement, par rapport aux principes qu'ils nous ont apportés
05:24
de dire que le président de l'arbonne n'a pas d'argent
05:29
même si le président n'est pas capable de le faire.
05:32
Donc, il a aussi donné la demande de l'argent.
05:37
Il n'a pas besoin de l'argent pour l'argent.
05:40
Est-ce que ça peut être justifié si on pense qu'il n'y a pas d'argent?
05:44
Oui, si il n'y a pas d'argent.
05:46
Je suis toujours dans le cadre de la politique.
05:49
Si il n'y a pas d'argent, on peut le garder.
05:53
Mais il faut aussi qu'il y ait des rapports scientifiques.
05:59
Si on n'a pas de rapports scientifiques, on ne peut pas dire qu'il n'y a pas d'argent.
06:03
Il y a des rapports scientifiques mais si on n'en a pas d'argent
06:09
on ne peut pas poser des questions.
06:12
Il y a des rapports scientifiques qui disent qu'on ne peut pas avoir d'argent.
06:17
Mais si on a pas d'argent, on ne peut pas avoir d'argent.
06:23
C'est ce que je pense pour le moment.
06:26
Est-ce que vous partagez la même opinion avec Mohamed?
06:31
Quand on a posé le débat, mon père a dit qu'il y avait beaucoup de questions sur Amadou Salle.
06:40
On a parlé avec l'observateur et il nous a dit qu'il y avait des complices.
06:50
Je n'ai pas de problème avec les gens comme Mohamed Diallo, Omar Pène ou Abdoulaye.
06:58
On va définir l'essentiel de la question.
07:06
C'est bon, on peut même commencer.
07:11
Ce que je veux savoir c'est comment ça s'est déroulé.
07:17
Je sais bien que c'est un agenda injuste mais je veux savoir si la procédure est correcte.
07:24
C'est ce qui me dérange.
07:26
C'est ce qu'on a vécu en 2012.
07:28
Tu es là pour te faire croire mais tu n'as qu'à te faire croire.
07:33
Après, tu vas perdre des critiques si tu n'as pas de politique.
07:37
Tu es là pour te faire croire mais tu n'as qu'à te faire croire.
07:46
Mais Amadou Salle n'a pas d'enfant dans sa famille.
07:50
On ne peut pas faire de la politique parce qu'on n'a jamais voulu faire de la politique.
07:55
On ne peut pas fusionner les deux.
07:59
On ne peut pas jouer l'équilibre et la justice va perdre de sa valeur.
08:04
Il faudrait la laisser de l'autre côté.
08:07
C'est bien ça que nous faisons.
08:09
Si on veut faire de la politique, on va la perdre.
08:12
On va faire juste des justices et si les politiques ne font pas de la politique, on va la perdre.
08:19
Ce n'est pas juste parce qu'on n'a jamais voulu faire de la politique.
08:24
Si les politiques ne font pas de la justice, on va la perdre.
08:27
C'est une obligation car c'est ce qu'on t'a donné politiquement.
08:32
Mais si on ne fait pas de la politique, on va la perdre.
08:38
C'est le point de vue de Mohamed Diallo, je vois le contraire.
08:42
On va la perdre politiquement.
08:47
On ne sait pas ce qui est vrai et ce qui n'est pas.
08:52
En tant qu'homme politique, si je peux entrer dans le champ de la justice
08:57
je ferai tout mon possible pour qu'il n'y ait pas de manipulation.
09:03
C'est ce que j'ai engagé politiquement.
09:06
Pourquoi? Parce qu'il ne peut pas se protéger devant les faits.
09:11
La justice va tout faire pour démonter ce qu'elle a fait.
09:18
On doit être des observateurs pour mettre la politique devant la justice.
09:23
On va mélanger les choses.
09:25
On doit être des observateurs pour tirer des conclusions.
09:29
C'est ce qu'on doit faire.
09:30
Si on veut observer avec la politique, on a un problème.
09:35
Si on peut trouver un autre rapport, on peut s'intéresser à quelqu'un d'autre.
09:39
On doit toujours rester sur la même logique.
09:41
Je crois que j'ai vu le contraire.
09:47
Mais la politique est à nous tous.
09:51
Je te jure que je n'ai pas vu ce qui s'est passé au Royaume-Uni.
09:57
Je crois qu'on doit confirmer ce qui s'est passé au Royaume-Uni.
10:00
Il y a des gens qui se sont trompés de la vérité.
10:05
Je ne suis pas d'accord avec ça.
10:08
Tout le monde s'est trompé de ce qui s'est passé au Royaume-Uni.
10:15
Il n'y a pas de temps pour parler de ce qui s'est passé au Royaume-Uni.
10:19
Ce qui s'est passé au Sénégal, on ne peut pas l'expliquer.
10:24
D'accord, j'ai pris le temps de lire ce rapport.
10:33
Je ne veux pas entendre ce discours.
10:38
C'est un discours que je veux entendre mais je l'ai appris à l'épreuve de l'erreur.
10:45
L'opposition a fait le choix.
10:49
Après, on peut se poser des questions.
10:53
C'est pourquoi on se pose ces questions.
10:55
Justement pour ne pas que la politique de Mbiru s'accroche à ce niveau.
11:04
Si elle s'accroche à ce niveau, elle n'a pas de raison d'être là.
11:08
Elle n'a pas le droit de s'occuper d'elle.
11:10
C'est ce qui s'est passé au Royaume-Uni.
11:14
Si on avait pris le temps de lire ce qui s'est passé au Royaume-Uni...
11:21
Tu sais bien que tu n'as pas d'agenda pour le judiciaire financier.
11:26
Si tu veux définir ton agenda, c'est pas un problème.
11:30
Laisse-moi y aller.
11:32
C'est pour cela que tu n'as pas d'agenda pour le judiciaire financier.
11:37
Pourquoi tu dis que tu n'as pas d'agenda?
11:40
Tu vas choisir.
11:42
Pourquoi tu dis que tu n'as pas d'agenda pour le judiciaire financier?
11:46
Ne m'intéresse pas à l'agenda pour le judiciaire.
11:49
Je n'ai pas de problème.
11:51
La rédition des comptes elle-même.
11:53
Je suis un observateur, je ne juge pas les politiciens.
11:56
C'est une politique que le président de la république
12:01
s'est réunie avec Aïchaat pour définir
12:04
la rédition des comptes par rapport au rapport qu'on a reçu.
12:09
Le président de la république définit cette politique.
12:14
Mais il n'y a pas d'agenda pour le judiciaire.
12:18
Dès lors qu'il y a cette politique définie par le président de la république
12:21
et qu'il y a une rédition des comptes par rapport à ce que l'on a reçu
12:25
on peut activer le parquet et le judiciaire.
12:32
Mais si Aïda, Dégueul, Aoufale et les autres
12:38
se retrouvent ici à Babacar Kébé
12:40
tu pourrais poser des questions.
12:45
Pourquoi Aoufale n'est pas là?
12:47
Je ne sais pas si c'est elle qui définit les comptes dans l'émission
12:54
ou si c'est la légitimité qui l'a perdue.
13:00
Mais elle définit les grandes lignes, n'est-ce pas?
13:04
Ou est-ce que c'est elle qui l'a obligée de le présenter?
13:10
On en arrête là.
13:11
Et après, elle suit ma logique.
13:13
Exactement, c'est tout.
13:15
Pour te dire que le président de la république définit les comptes
13:19
mais après, le judiciaire financier n'a pas de légitimité.
13:26
C'est de ça que je parle.
13:29
Par exemple, je vais te donner des exemples.
13:34
Je vais te donner des exemples.
13:39
Je vais te donner des exemples.
13:42
Le chef de l'administration du Sénégal m'a appelé
13:45
et il m'a dit que c'était la dernière campagne de Farbongom.
13:48
Quand on est allé voir l'élection législative, Farbongom n'était pas là.
13:52
C'est lui qui était là?
13:54
Oui, mais je ne l'ai pas annoncé.
13:58
Le pôle judiciaire a fait 162 arrestations en 4 mois.
14:05
Je t'en prie, je t'en prie.
14:09
Je te parle de faits et d'informations.
14:11
Ne traverses pas l'effet, je t'en prie.
14:15
Je t'en prie.
14:17
Le pôle judiciaire a fait 162 arrestations en 4 mois.
14:23
Il y a 1,5 milliard d'arrestations et tu me dis que c'est Farbongom qui a commencé.
14:26
Je t'en prie, je t'en prie.
14:29
Quand le premier ministre a annoncé...
14:31
Je ne te parle pas d'un anonyme.
14:36
Quand le premier ministre a annoncé, le pôle judiciaire l'a connu.
14:43
C'est l'ancien ministre de l'élection?
14:47
Non, c'est Ousmane Sonko qui l'a annoncé.
14:50
Je te dis que c'est Ousmane Sonko qui l'a annoncée.
14:56
C'est Ousmane Sonko qui l'a annoncée.
14:59
Il ne l'a pas annoncée?
15:00
Il est allé voir la législation.
15:01
Je veux savoir ce que tu as dit.
15:05
Ecoute-moi bien.
15:08
C'est Ousmane Sonko qui est allé voir la législation
15:11
et a dit qu'il n'allait pas s'occuper de la politique.
15:17
Mais il n'a pas été occupé.
15:19
Je veux dire qu'il n'a pas été occupé mais il est allé voir la législation.
15:23
Donc, tu vas te déconnecter.
15:26
C'est pour ça que je l'ai expliqué carrément.
15:30
C'est pour ça que l'agenda du pôle judiciaire financier...
15:33
Tu ne peux pas me dire ce qui s'est passé.
15:36
Tu ne peux pas me dire ce qui s'est passé.
15:38
Attends que je te dise ce qui s'est passé.
15:41
Je te parle de faits car quand tu me dis qu'il n'y a pas de gros et de petits bonnets
15:49
le pôle judiciaire financier ne connait pas de petits bonnets.
15:52
Tu ne sais pas ce que je veux dire?
15:54
C'est pour la consommation générale.
15:57
Je ne peux pas te dire ce qui s'est passé.
16:00
C'est pour ça que tu dois tenir ta position car tu n'es pas un politique observateur.
16:04
Non, je n'ai pas de position.
16:06
Le pôle judiciaire financier ne connait pas de gros bonnets ou de petits bonnets.
16:09
Tu ne sais pas ce que je veux dire?
16:11
Je ne t'ai pas parlé du pôle judiciaire financier et des gros bonnets.
16:18
Je t'ai bien entendu.
16:21
C'est un gros bonnet qui a été occupé.
16:23
C'est ce que tu me dis?
16:24
Quand Ousmane Sonko a parlé à Mata
16:30
quel politique t'a-t-il convoqué pour qu'on l'arrête?
16:35
Je t'ai bien entendu, c'est pour ça que je t'ai dit que
16:40
si tu l'as rencontré, tu seras dans le casso.
16:43
Je ne parle pas de ce qui s'est passé politiquement.
16:47
C'est ce qui s'est passé quand Ousmane Sonko est allé voir Mata.
16:52
Je te parle de ce qui s'est passé quand Ousmane Sonko est allé voir Mata.
16:56
Je veux juste que tu me dises ce qui s'est passé.
17:00
Je n'ai rien à te dire mais ne change pas d'avis.
17:03
Si tu l'as rencontré, c'était bien avant les législatives.
17:08
Mais tu n'as pas parlé de ça.
17:12
Je veux juste te dire que tu connais bien les gros bonnets et les grands hommes politiques.
17:17
Je ne sais même pas.
17:20
Si tu l'as rencontré, tu ne devrais pas l'avouer.
17:26
Je ne t'ai pas parlé des gros bonnets par rapport aux politiciens.
17:32
Quel gros bonnet nous a-t-il convoqué?
17:35
Tu ne me parles pas de ce qui s'est passé politiquement.
17:37
Je n'ai rien à te dire et je veux juste que tu me dises ce qui s'est passé quand Ousmane Sonko est allé voir Mata.
17:41
Tu ne me parles pas du tout.
17:45
Tu n'as pas entendu?
17:48
Après le traversement, quand Ousmane Sonko a parlé à Mata
17:52
quel gros bonnet nous a-t-il convoqué?
17:56
Arrête de me dire ça.
17:58
Il a dit quel gros bonnet nous a-t-il convoqué.
18:00
Quand Ousmane Sonko a parlé à Mata, tu ne me parlais pas de ce qui s'est passé politiquement.
18:03
Merci, je ne t'ai pas parlé de ça.
18:07
Je ne t'ai pas parlé de ça et tu me parles de gros bonnets?
18:11
Je ne t'ai pas parlé du rectangle également.
18:15
Lager plus longer for the...
18:18
Merci beaucoup, dis-le-lui.
18:21
Tu as vraiment l'air d'un type qui parle de ce qui s'est passé.
18:36
Sous-titrage Société Radio-Canada
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