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Bruno Retailleau prend la parole face à la presse après l'attentat de Mulhouse
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22/02/2025
Bruno Retailleau prend la parole face à la presse après l'attentat de Mulhouse.
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00:00
Avec Michel, madame la maire de Mulhouse, avec le préfet, avec l'ensemble des parlementaires qui sont autour de moi
00:08
et qui ont dépassé, si j'ose dire, leurs appartenances pour qu'on puisse faire bloc,
00:14
je suis venu pour témoigner au nom du Président de la République, au nom du Premier ministre, de notre reconnaissance,
00:20
avec un message de gratitude que j'ai voulu adresser notamment aux policiers municipaux de Mulhouse.
00:27
Ils ont fait un travail extraordinaire, extraordinaire de courage.
00:32
Les choses se sont jouées de façon extrêmement brève, dans un délai très très court,
00:37
puisque l'individu est allé pointer comme il devait le faire puisqu'il était assigné à résidence
00:43
et il avait une obligation quotidienne de pointage au commissariat.
00:48
Il arrive à 14h26, mais il ne va pas pointer.
00:52
On voit que, déjà, il y a une dimension sans doute psychologique dans ce dossier-là.
00:58
Il repart et tout va se jouer finalement en une dizaine de minutes, entre 15h40 et 15h50.
01:08
Il agresse des agents du stationnement de la mairie de Mulhouse.
01:14
Il va blesser très grièvement l'un d'entre eux, l'un des trois.
01:19
Je suis entretenu tout à l'heure avec les deux autres.
01:22
L'un avait reçu un coup au thorax, mais il est sorti de l'hôpital et leur camarade est encore à l'hôpital.
01:28
Il a été touché à la fois au thorax et puis à la horte.
01:32
Aujourd'hui, au moment où je vous parle, sa vie n'est pas en danger, mais il est grièvement blessé.
01:37
Et donc, on est à 15h40.
01:40
Ensuite, il va rencontrer, on ne sait pas encore si, la victime qui est décédée, 69 ans, de nationalité portugaise.
01:49
On ne sait pas s'il s'est trouvé par hasard sur son chemin ou on ne sait pas s'il a fait un acte de bravoure en s'interposant.
01:58
L'enquête devra sans doute le déterminer.
02:01
Et puis, les policiers municipaux à 15h50, donc 10 minutes après les premiers coups, vont l'intercepter.
02:10
Ce que je veux dire, c'est qu'ils l'ont fait avec un sang-froid absolument remarquable, absolument remarquable.
02:17
Parce que l'individu, évidemment, était très, très dangereux.
02:19
Il était armé notamment d'un couteau, mais aussi d'un tournevis.
02:23
Et il s'est dirigé vers un policier qui a sorti son arme.
02:26
Il a sorti son arme, mais il n'a pas tiré.
02:28
Il n'a pas tiré parce que son camarade l'a prévenu.
02:31
Il y avait un environnement, il y avait l'heure, beaucoup de monde, le marché.
02:35
Et il a préféré ranger son arme et ils l'ont neutralisé avec une matraque.
02:40
Ça témoigne d'un très grand professionnalisme.
02:42
Ça témoigne d'un grand sang-froid et de beaucoup de courage.
02:46
Et c'est à ce titre, en ayant encore une fois une pensée pour cette personne, 69 ans, portugaise, qui est décédée,
02:55
sa famille qui va connaître la douleur.
02:58
Mais je veux vraiment ce soir rendre hommage aux policiers municipaux.
03:02
J'étais hier en Drôme et je ne cesse de dire que la question de la sécurité du quotidien,
03:08
c'est une question du continuum de sécurité qui intéresse tout le monde,
03:13
les gendarmes, les policiers nationaux, mais aussi les policiers municipaux.
03:17
Et là, évidemment, on l'a vu de façon flagrante.
03:22
C'était déjà ce message que je voulais apporter aux côtés de Mme le maire,
03:27
du côté du préfet et des parlementaires à ces policiers qui ont été extrêmement valeureux.
03:37
Écoutez, c'est un individu qui est arrivé irrégulièrement, illégalement sur le territoire français en 2014.
03:47
Il va se maintenir pendant plusieurs années. Il va être interpellé en 2023,
03:52
quelques semaines après le massacre du Hamas du 7 octobre 2023.
03:59
Il va être interpellé et ensuite condamné pour apologie du terrorisme.
04:03
Il va écopé de six mois de prison. Il ne va pas faire la totalité de ces six mois.
04:07
Il va être libéré 50 jours avant le terme de sa peine.
04:14
Ensuite, évidemment, puisque l'individu va être libéré,
04:18
notre administration va le retenir dans un centre de rétention administrative.
04:25
Vous connaissez la durée, 90 jours au maximum.
04:29
On tente d'obtenir un laissé-passer consulaire de la part de l'Algérie,
04:33
puisqu'il n'y a aucun doute, il est né en Algérie.
04:36
Ses parents, d'ailleurs, sont repartis en Algérie.
04:40
Notre administration, à dix reprises, va relancer les autorités algériennes,
04:44
notamment le consulat, pour obtenir un laissé-passer consulaire
04:47
que nous n'obtiendrons jamais.
04:49
Arrivé à 90 jours, on tente de prolonger, puisque c'est la loi,
04:53
de 30 jours supplémentaires.
04:55
Dans un premier temps, le juge de liberté va l'accepter.
04:58
Dans un second temps, ce sera annulé.
05:01
Il sera libéré par la cour d'appel de Paris.
05:07
À partir de là, on n'a plus qu'une seule solution,
05:10
c'est l'assignation à résidence.
05:12
Il sera donc, par le préfet, assigné à résidence.
05:15
Il aura une obligation journalière quotidienne
05:19
de passer au commissariat pour pointer.
05:23
Et la suite, je viens de l'expliquer.
05:33
C'est ce que j'ai indiqué.
05:35
Je l'ai indiqué, je le dis clairement.
05:39
Voilà un attentat.
05:42
Le président de la République l'a dit le 1er,
05:44
qui est un attentat terroriste.
05:46
Le terrorisme islamiste a à nouveau frappé la France,
05:51
après avoir frappé, il y a quelques semaines, d'autres pays,
05:54
l'Allemagne et d'autres pays aussi.
05:57
Mais c'est aussi, je le redis, je n'ai pas peur de le dire,
06:02
le fait de désordres migratoires qui causent ces dégâts aussi.
06:07
On le voit bien dans ce cas-là, de façon assez éclatante.
06:12
J'en tire de leçon vis-à-vis d'Algérie,
06:16
puisqu'on octroie beaucoup, beaucoup, beaucoup de visas.
06:21
La France a tendu la main.
06:24
Quels que soient les plais parfois vifs de l'histoire,
06:27
aucun pays, aucun pays,
06:30
quelle que soit l'histoire, qui peut nous séparer,
06:33
n'a un droit de tirage pour humilier la France.
06:36
Je suis partisan, puisque la méthode douce a été utilisée,
06:42
avec l'Algérie, de poser un rapport de force.
06:46
Le droit international, les relations entre les pays, les nations,
06:50
mais là, notamment avec le régime algérien, c'est la réciprocité.
06:55
Il n'applique pas un certain nombre d'accords
06:58
que nous avons passés avec eux.
07:00
Pourquoi est-ce que nous, on serait plus royaliste que le roi ?
07:04
Donc moi, je suis pour ce rapport de force,
07:07
parce que je vois bien qu'on a des individus dangereux
07:10
qui devraient être en Algérie et qui sont sur le sol français.
07:14
Ensuite, je pense qu'on doit changer les règles.
07:18
Comment est-ce que les Français peuvent comprendre cette situation ?
07:22
Je résume.
07:24
Un individu qui, pendant des années,
07:26
s'est maintenu irrégulièrement sur le territoire français.
07:32
Un individu qui était condamné par la justice française
07:37
pour apologie du terrorisme.
07:40
Et un individu qui avait un profil psychologique particulier,
07:45
puisqu'il avait fait l'objet, dans le cadre de son arrestation,
07:48
d'une expertise, avec donc un expert judiciaire,
07:52
qui avait détecté un profil schizophrène.
07:57
Donc, profil psychologique, irrégulier, condamné.
08:02
Est-ce que les Français peuvent comprendre que ces individus
08:05
peuvent se déplacer librement sur le territoire ?
08:08
Moi, je pense, je l'avais dit en répondant à une question d'actualité
08:11
il y a quelques jours à l'Assemblée nationale,
08:13
je pense que pour ces individus-là,
08:15
jusqu'à ce qu'ils repartent dans leur pays,
08:17
on devrait les maintenir en rétention.
08:19
Il y a eu plusieurs tentatives qui ont été faites en 2009, en 2020,
08:23
et plus récemment, pour instituer des peines de rétention,
08:28
de sûreté, judiciarisées d'ailleurs,
08:31
mais elles ont été à chaque fois censurées par le Conseil constitutionnel.
08:37
Je pense que, je le redis, je le redis,
08:40
mes propos avaient parfois causé polémique,
08:43
mais quand la règle de droit ne protège pas les Français,
08:47
alors il faut changer la règle.
08:48
Le droit, il est fait pour protéger la société,
08:51
pour protéger nos compatriotes.
08:53
Donc ça veut dire que vous appelez à une réforme constitutionnelle aujourd'hui, très clairement ?
08:56
Je pense que, je ne sais pas s'il y a besoin de réforme constitutionnelle,
09:01
mais je pense qu'il faut qu'on s'interroge en tout cas.
09:03
Il n'est plus possible d'avoir des individus dangereux
09:07
pour lesquels on n'a plus de solution,
09:09
parce que la seule solution que nous avions,
09:11
après avoir épuisé toutes les autres solutions du droit,
09:15
des solutions juridiques,
09:17
la solution c'était l'assignation à résidence.
09:19
Mais on voit bien que quand vous vous assignez à résidence,
09:22
quand vous avez une obligation de passer une fois dans la journée dans un commissariat,
09:28
vous pourriez d'ailleurs doubler, tripler le passage au commissariat,
09:31
que l'individu peut parfaitement vous échapper.
09:33
Mais retenons que, d'ailleurs, le parquet national antiterroriste a été saisi.
09:39
Ça signifie que cette dimension du terrorisme,
09:41
elle est clairement acceptée et endossée par le PNAT.
09:46
Mais retenons aussi que la dimension psychiatrique de l'individu
09:53
est sans doute une autre cause d'explication.
09:57
Et justement, qu'est-ce qui vous dit aux Français
09:59
qu'ils n'arrivent pas à comprendre qu'un tel acte puisse encore se poser sur le territoire ?
10:02
Ce que je dis aux Français, je l'ai dit,
10:04
vous avez à une heure près, j'ai la nouvelle, la fabuleuse nouvelle,
10:10
que grâce à un travail exceptionnel de nos enquêteurs,
10:13
de la justice française, des autorités roumaines,
10:16
j'ai même appelé mon homologue tout à l'heure,
10:20
ministre de l'Intérieur roumain, pour lui dire un grand merci
10:24
parce qu'on a interpellé Amra.
10:26
Donc d'un côté, il y a un volontarisme.
10:28
Des mois et des mois d'enquête.
10:29
Croyez-moi, très régulièrement, on me faisait le point sur cette enquête-là.
10:33
Vous n'imaginez pas les techniques,
10:35
vous n'imaginez pas les efforts qui ont été déployés
10:39
sur un individu qui était très, très dangereux.
10:42
Ce volontarisme d'ailleurs, nous l'avons traduit,
10:45
nous allons le traduire dans la loi.
10:46
Parce que la loi contre la criminalité organisée,
10:49
qui a fait l'objet d'un vote unanime au Sénat,
10:52
comporte des dispositions, notamment avec un parquet,
10:56
avec une chaîne judiciaire.
10:57
On a le parquet antiterroriste,
10:59
on aura demain un parquet anti-criminalité organisée.
11:02
Mais le cas Amra, justement,
11:04
le cas Amra, on n'avait pas détecté tout de suite un profil si dangereux
11:08
parce qu'il avait commis des faits qui avaient été éclatés
11:12
dans plusieurs ressorts judiciaires.
11:14
Demain, quand on aura un seul parquet,
11:16
on aura une meilleure coordination, une meilleure efficacité.
11:19
Donc pour répondre à votre question, d'un côté, voyez,
11:21
on a ce volontarisme, on essaie de bouger,
11:23
on essaie de changer la loi quand il faut la changer,
11:25
notamment en matière de criminalité organisée.
11:27
C'est le cas d'Amra.
11:29
Et de l'autre, il y a ce que j'appelle l'impossibilisme.
11:33
Pour moi, justement, il faut bousculer cet impossibilisme juridique
11:38
parce que les Français attendent de nous qu'on les protège.
11:41
Voilà.
11:47
Écoutez, je me suis entretenu avec les policiers.
11:51
Quand on voit ce courage,
11:53
ça efface toutes les autres polémiques.
11:55
Moi, ce que je souhaite,
11:57
c'est que le terrorisme islamiste frappe dans beaucoup de pays.
12:01
Il fait des morts. On n'en a pas terminé.
12:03
L'an dernier, voyez, on a déjoué neuf attentats,
12:06
neuf attentats terroristes grâce à nos services,
12:09
grâce à une nouvelle organisation de l'État.
12:12
On a des victoires et puis parfois on a des échecs.
12:15
Il faut les assumer. Il ne faut pas s'en satisfaire.
12:18
Et à chacun de ces échecs, il faut en tirer des leçons.
12:21
Et c'est en tirant des leçons de ces échecs qu'on va progresser.
12:25
On a fait des immenses progrès depuis dix ans.
12:28
Quand la France a été frappée, il y a dix ans, 2015,
12:31
avec les attentats qui ont mené de Charlie Hebdo
12:34
et à la fin de l'année, le 13 novembre, au Bataclan.
12:37
Et la France s'est réarmée.
12:39
Il faut que la France se réarme encore
12:42
pour faire en sorte que ces individus-là,
12:44
qui sont vraiment incontrôlables,
12:46
puissent être retenus tant qu'on ne les expédie pas
12:49
dans le pays qui doivent les reprendre.
12:52
Les ressortissants de ces pays, c'est le droit international,
12:55
la Convention de Chicago, c'est le droit que nous avons avec l'Algérie,
12:58
un accord que nous avions passé en 1994.
13:01
Il est clair, cet accord.
13:03
Quand il y a un ressortissant, un national,
13:06
le pays d'origine doit le reprendre.
13:08
C'est tout ce que je peux dire.
13:10
Une question sur l'aspect psychiatrique,
13:12
parce que vous avez souligné vous-même
13:14
qu'il y avait cet aspect dans le dossier.
13:16
Il y a beaucoup d'annonces pour la sécurité,
13:18
pour les services de police, de gendarmerie,
13:20
encore il y a avec le plan de sécurité du quotidien.
13:22
Par contre, sur la psychiatrie, on a l'impression
13:24
qu'il y a beaucoup de difficultés dans les services de police.
13:26
Vous avez raison.
13:28
On a un hôpital qui est fragilisé,
13:31
mais au sein de cette fragilisation,
13:34
vous le savez parfaitement,
13:36
et je ne suis pas ministre de la Santé,
13:38
mais mon collègue Yannick Noder pourrait vous le dire aussi bien
13:40
que je vais vous le dire,
13:42
mais la filière psychiatrique est très fragilisée.
13:45
Très fragilisée.
13:47
Que ce soit pour les jeunes, pour les adolescents,
13:49
les pédopsychiatres, ou que ce soit pour des allustes.
13:52
C'est la raison pour laquelle, très franchement,
13:54
quand on a des profils aussi dangereux,
13:56
condamnés pour apologie du terrorisme,
13:58
avec des profils qui ont fait l'objet d'investigations,
14:03
d'expertises judiciaires,
14:05
et qu'on a cette dimension schizophrénique,
14:09
moi je suis, pardon,
14:11
mais pour essayer d'isoler ces individus.
14:14
Parce qu'on ne sait pas faire autrement.
14:18
Ça ne veut pas seulement dire plus de moyens,
14:20
ça veut dire des règles différentes.
14:22
Des règles différentes.
14:24
Des règles différentes pour pouvoir les retenir
14:26
quand on a une superposition,
14:28
parce que là il y a quand même, il a prononcé,
14:30
Hala Ouakbar.
14:31
Donc cette dimension du terrorisme,
14:33
il ne faut pas tout psychiatriser.
14:35
Il y a cette dimension du terrorisme islamiste,
14:38
et puis l'autre dimension.
14:40
Mais quand vous ajoutez cette situation d'irrégularité,
14:43
ce profil psychiatrique,
14:45
et en plus une condamnation,
14:48
qu'est-ce qu'il faut de plus ?
14:50
Qu'est-ce qu'il faut de plus ?
14:52
Moi j'ai un ami qui est décédé,
14:55
qui a été assassiné,
14:57
il y a quelques années.
14:59
Celui qui l'a assassiné,
15:01
il est resté plus de dix ans,
15:03
irrégulièrement, sur le territoire.
15:05
Il a incendié la cathédrale de Nantes,
15:08
et il avait un profil, là encore, psychiatrique.
15:11
Il n'était pas en hôpital psychiatrique,
15:13
pas en prison, en situation régulière.
15:16
Donc je suis bien placé pour savoir
15:18
qu'il faut bouger les règles maintenant.
15:20
Ça suffit.
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