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« Il y a un désordre dans l'ensemble du pays et à l'Assemblée, personne ne pense à la France là bas ! » : Emmanuel Macron interpellé par une habitante de 81 ans à Colmar
Europe 1
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03/02/2025
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🗞
News
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00:00
11h-13h, Pascal Praud sur Europe 1.
00:03
Alors vous pourrez réagir au propos d'une dame de 81 ans, vous l'avez peut-être entendu hier à Colmar,
00:08
devant Emmanuel Macron, le chef de l'État était présent dans la commune pour les 80 ans de la Libération.
00:14
Et elle a interpellé assez vivement le Président de la République. Écoutez cet échange.
00:19
Est-ce que vous pourriez pas remettre un peu d'ordre dans ce pays ? C'est un foutoir pas possible.
00:24
Moi j'ai 81 ans, j'ai jamais vu un foutoir pareil.
00:27
Et est-ce que vous pourriez pas dire aux députés d'être un peu plus disciplinés ?
00:31
Parce que c'est pas possible, tout le monde crie, tout le monde parle.
00:34
On est dans un pays magnifique, monsieur.
00:37
Et les Français ne savent plus qu'il est beau ce pays.
00:39
Alors il y en a qui le savent, heureusement.
00:41
Alors moi je le sais encore.
00:42
Mais s'il vous plaît, monsieur, avant de quitter la France, remettez de l'ordre.
00:46
Il y a un désordre, moi j'arrive plus à suivre, j'ai pas connu ça dans ma vie.
00:51
Vous n'avez pas quitté la France ou quoi ?
00:52
Non, pas du tout.
00:53
Restez, si vous pouviez rester.
00:55
Mais je reste, d'abord.
00:57
Avant de partir, faites un beau nettoyage.
00:59
Parce que quand on regarde le hémicycle, il y a un foutoir là-dedans.
01:04
Mais tout le monde crie.
01:05
Mais pourquoi tout le monde crie ?
01:06
On n'attend pas son tour pour parler.
01:08
Et puis vous savez, les députés ils pensent qu'à eux, à leur poste.
01:12
Mais personne ne pense à la France.
01:15
La France avant tout.
01:17
Mais faites quelque chose.
01:19
C'est monstrueux la France.
01:20
On a une image dans le monde, on est minables.
01:23
Elle n'a pas tout à fait tort cette dame.
01:25
Alors il dit non évidemment, il est président de la République.
01:28
Et puis comme il est un peu responsable de ce qui se passe, et notamment avec cette dissolution.
01:31
C'est sûr qu'il se fait vertement d'ailleurs parler par cette dame.
01:36
Faudrait la retrouver cette dame de 81 ans.
01:39
Monsieur Olivier Guenec.
01:40
Est-ce que vous pourriez vous charger de cela ?
01:42
Ah oui, tout à fait, ne vous inquiétez pas.
01:43
Est-ce qu'on pourrait l'avoir avant 13h ?
01:46
Oui, pourquoi pas.
01:48
Mais c'est cette dame qu'il faut retrouver.
01:50
Oui, mais pas de soucis, je vais chercher.
01:52
Est-ce que de m'embaucher jusqu'à 9h du matin ?
01:54
Oh là là !
01:55
Vraiment, c'est ça que vous auriez dû faire hier dimanche ?
01:58
Oui, j'aurais dû, pardonnez-moi.
01:59
Mais bien sûr, avoir un réflexe.
02:01
J'ai même plus le droit à une vie privée.
02:02
Non, vous êtes privé de vie privée.
02:04
Audrey, bonjour Audrey de Lyon.
02:07
Oui, bonjour Pascal, merci pour tout ce que vous faites.
02:10
Et merci d'être pas déconnecté contrairement à tout le reste de l'ensemble médiatique.
02:16
Ça fait du bien et heureusement que vous êtes là et toute l'équipe de Roten.
02:19
Vous êtes gentille, mais on n'est pas le seul évidemment.
02:22
On est beaucoup, toute notre équipe et toute la rédaction d'Europe 1 est sur la même ligne.
02:26
Absolument.
02:27
Que nous on essaye de rapporter, de témoigner de la réalité, c'est assez simple.
02:31
Cette dame, elle est vraiment bien.
02:33
C'est un peu une icône.
02:34
Elle a 81 ans, mais je trouve qu'elle a la flamme qui est un peu éteinte en ce moment dans les, entre guillemets, nouvelles générations.
02:40
Et elle parle de la France à Emmanuel Macron.
02:44
Pardonnez-moi, mais Emmanuel Macron ne parle pas de la France.
02:47
Il ne parle que de la République ou de l'Europe.
02:50
Non, mais vous avez parfaitement raison.
02:52
Mais qu'est-ce qu'il faut faire ?
02:54
Parce que la difficulté, c'est qu'elle lui parle par exemple de l'hémicycle.
02:58
Mais la responsabilité de la bordélisation de l'hémicycle, c'est cette dissolution.
03:02
Et la dissolution, c'est Emmanuel Macron.
03:04
Que voulez-vous qu'il réponde ?
03:06
Alors déjà, il y a certaines choses qu'il peut faire rien que par symbole.
03:10
Déjà, démontrer la puissance de la France au lieu de tout le temps s'écraser.
03:14
Je vais prendre un exemple parmi tant d'autres.
03:16
Mais rien que la liberté d'expression.
03:18
Boilem Sansal est devenu un symbole de la liberté d'expression.
03:22
Et là, je ne comprends pas son silence.
03:24
Je ne comprends pas pourquoi il répond à des tiktokers.
03:26
Je me sens mal d'être en France.
03:27
Et vous savez, pourquoi est-ce qu'il y a une perte de la natalité ?
03:29
Pourquoi est-ce que moi, je n'ai qu'un enfant ?
03:31
Parce que justement, il y a une telle insécurité,
03:35
il y a un tel schisme entre deux cultures en France
03:39
que je veux mettre mon enfant dans une école privée.
03:41
Ça coûte de l'argent, je n'en ai pas beaucoup, je suis hyper taxée, etc.
03:44
Donc voilà ce qui se passe.
03:46
Donc j'aimerais bien qu'il utilise des symboles finalement.
03:48
C'est pourquoi Bruno Ronaillot s'est fait, entre guillemets, un peu connaître
03:52
sur le devant de la scène.
03:54
Parce qu'il dit des mots, il prend des actions assez fortes.
03:58
Et on attend ça de Emmanuel Macron,
04:00
pas qu'il soit dans le PMU et qu'il fasse des petits clins d'œil ?
04:03
Non mais j'entends tout ce que vous dites.
04:05
Et je pense qu'il y a beaucoup de gens qui peuvent se reconnaître
04:08
dans ce que vous avez exprimé à l'instant.
04:10
Notamment la fermeté, et on le voit bien avec l'Algérie.
04:13
Il y a eu une déclaration ce matin du président Teboun,
04:16
le président algérien, qui a des mots assez durs sur la France,
04:20
sur Emmanuel Macron, sur Boalem Sansal.
04:22
Il dit notamment « Boalem Sansal n'est pas un problème algérien,
04:27
c'est un problème pour ceux qui l'ont créé. »
04:29
Jusqu'à présent il n'a pas livré tous ses secrets.
04:31
C'est quand même des phrases qui sont effrayantes, disons-le.
04:35
Vous comprenez bien que la sémantique,
04:40
la manière de parler de ces personnes, en tout cas de ce président,
04:45
elle est digne d'un dictateur.
04:47
Ce n'est jamais de leur faute.
04:48
Ils prennent sans cesse une position victimaire,
04:51
de manière à pointer du doigt.
04:53
Et en l'occurrence, quand on regarde les faits,
04:56
pourquoi est-ce que Boalem Sansal a été emprisonné ?
04:59
Parce qu'ils n'ont pas apprécié ce qu'il a dit sur l'Algérie, entre autres.
05:07
Et nous, on doit garder des Boalem qui parlent comme ça,
05:11
de manière véhémente, avec violence,
05:13
qui sont des vrais dangers pour la population en France.
05:16
Donc là, pour le coup, si on n'est pas sur le deux-poids-deux-mesures,
05:19
vous comprenez tout ce que représente Boalem Sansal
05:24
en termes de symboles et surtout par rapport à cette Algérie
05:30
qui ne nous aime pas et qui exalte les passions anti-France en France.
05:35
Et je pense que même les personnes qui sont issues de l'immigration
05:38
ne veulent pas être assimilées à cette image violente et véhémente.
05:44
Alors je vous propose d'écouter Emmanuel Macron qui a répondu à cette dame.
05:48
Je partage ce que vous dites, mais les députés sont élus par le peuple.
05:53
Et donc si le peuple est sensible à ce que vous dites,
05:55
il n'y aura plus les députés qui font le désordre.
05:57
Mais il ne faut pas généraliser.
05:59
Vous avez autour de moi des parlementaires qui ne se comportent pas comme ça.
06:03
Mais quand on regarde, il n'y a plus de discipline en France.
06:07
L'image de la France à l'international est remarquable.
06:10
Après les Jeux Olympiques et Paralympiques.
06:12
Et Notre-Dame, c'est ça l'image de la France.
06:14
L'image de la France à l'international est remarquable.
06:17
Il faut le dire vite.
06:19
Et puis souvent, je n'ai pas vocation à dire du mal de la France.
06:23
Je n'ai pas vocation à dire du mal du Président de la République.
06:25
Donc je suis toujours ennuyé d'avoir cette position-là.
06:28
Croyez-le et soyez certains qu'à chaque fois qu'on critique le Président de la République
06:35
sur des choses importantes, au fond ça nous fait mal.
06:38
Parce qu'au-delà de tout, au-delà du fait qu'on soit journaliste, éditorialiste, commentateur,
06:43
on est d'abord français et tous on est reliés par quelque chose.
06:47
C'est un amour de notre pays.
06:49
Un amour de son histoire.
06:50
Un amour de sa culture.
06:51
Un amour de son passé.
06:53
Donc ça m'ennuie un peu, bien sûr.
06:55
Mais c'est vrai qu'on traverse une période particulière
06:58
et qu'on a tous le sentiment de vivre un moment dit de bascule.
07:04
Tous on a le sentiment comme cette dame d'être dans une séquence qu'on n'a jamais connue.
07:10
C'est le sentiment que j'ai.
07:11
Moi j'ai 60 ans, je n'ai pas souvenir d'une telle violence verbale, d'une telle radicalisation.
07:17
Je vais vous citer un dernier exemple.
07:19
C'est quand même pour vous montrer la radicalisation telle qu'elle se met en place aujourd'hui.
07:24
Il y a un jeune homme qui s'appelle, je vais vous donner exactement son nom,
07:30
Gwen Thomas Alves.
07:32
Et visiblement ce jeune homme, il est cofondateur et premier président de l'USL Syndicat
07:40
qui est un étudiant en sciences politiques.
07:42
Bon, et bien qu'a-t-il déclaré ?
07:45
Alors vous me direz, ce n'est qu'un homme, qu'un syndicaliste étudiant.
07:51
Et parfois on sait bien qu'à cet âge-là, il y a quelque chose de beaucoup plus, comment dire, radical.
07:59
Il a dit, pour affaiblir la France insoumise vers PCF et PS,
08:03
on laissait l'extrême droite gagner à Villeneuve-Saint-Georges, on en parlera sans doute tout à l'heure,
08:07
30 000 habitants plongés dans la pénombre du fascisme.
08:11
30 000 habitants plongés dans la pénombre du fascisme.
08:14
Je rappelle qu'hier c'est quelqu'un des Républicains qui a gagné la mairie de Villeneuve-Saint-Georges.
08:22
Donc bien sûr, moi je n'ai jamais connu ça, même dans les années 70 où le PC était haut,
08:27
le parti communiste n'avait pas cette violence verbale.
08:31
On est aujourd'hui dans un climat, au moins dans la parole, de guerre civile.
08:37
Donc ça nous est insupportable Audrey, absolument insupportable.
08:41
Vous avez tout à fait raison.
08:43
Et personnellement moi ça m'attriste et ça me fait de la peine.
08:46
Moi ça me fait peur surtout, et ça me fait peur pour mes enfants.
08:49
Et puis en plus quand M. Mélenchon parle comme il le fait,
08:53
comme un tyran, oui on a peur et c'est surtout, il y a un combat idéologique des mots.
08:58
Les mots sont forts et puissants et agressifs.
09:01
Et quand on est dans une société qui veut justement discuter et être dans la nuance,
09:07
et bien c'est quand même celui qui va exalter les passions,
09:10
donc la peur, la colère, qui j'ai l'impression est le plus écouté.
09:13
Mais de toute façon Emmanuel Macron n'écoute pas.
09:15
Vous avez vu, il parlait au-dessus de la dame quand même.
09:17
Mais c'est intéressant ce que vous avez dit,
09:19
parce que effectivement, j'ai pas voulu le dire non plus,
09:22
mais il n'écoute pas.
09:24
C'est-à-dire que même cette dame, il ne la laisse pas aller jusqu'au bout de sa phrase.
09:32
Et on peut considérer que c'est un détail, mais le détail n'existe pas.
09:36
Il veut parler.
09:38
Comme s'il pense, et c'est sans doute un des soucis d'Emmanuel Macron,
09:43
il pense qu'il résoudra tout par la parole.
09:46
Il pense qu'effectivement, d'ailleurs, il est plus brillant que bien d'autres,
09:49
il est plus doué que bien d'autres, plus articulé que bien d'autres,
09:52
plus intelligent que bien d'autres.
09:54
Mais la parole, on le voit bien, ça fait huit ans.
09:57
Et sa parole est en échec parce que ses actions sont en échec.
10:03
En fait, il domine, il censure en parlant au-dessus d'elle.
10:06
S'il parle au-dessus d'elle, elle ne peut pas parler.
10:08
Je suis d'accord avec vous.
10:10
En fait, ce que vous dites là, tous les gens l'ont ressenti.
10:15
Et je m'étonne que lui-même n'ait pas cette compréhension.
10:18
Et ça montre, à mon sens, son manque d'empathie.
10:23
C'est un homme qui ne comprend pas finalement les êtres.
10:28
En tout cas, qui ne comprend pas.
10:29
On ne va pas être définitifs.
10:31
Mais il ne semble pas comprendre.
10:34
Parce que je ne peux imaginer qu'il le fasse volontairement après huit ans.
10:38
Chacun voit, il y a une dame qui lui parle.
10:41
Écoute-la !
10:43
Heureusement que vous le faites vous Pascal et toute l'équipe.
10:46
Merci pour tout.
10:47
Moi, de temps en temps, on me dit que je coupe la parole aussi.
10:49
Mais je ne suis pas président de la République.
10:50
On vous dit ça ?
10:51
Pas encore.
10:54
Vous êtes de retour dans le studio.
10:56
J'ai toujours été là.
10:58
Vous étiez en régie ?
10:59
Oui, tout à fait.
11:00
Je suis bien présent.
11:01
Cérébralement très présent.
11:02
Cérébralement, c'est un mot qu'il faut utiliser avec des pincettes.
11:08
Vous êtes vraiment couché à 9h du matin dimanche ?
11:10
Ça, je vous l'ai dit en rentrée.
11:12
Comment pouvez-vous coucher à 9h du matin ?
11:15
Toute la nuit, vous dansez ?
11:17
Oui, jusqu'à 9h du matin.
11:19
Tout à fait, on s'est couché à ce temps-là.
11:21
Il y avait d'autres gens avec vous jusqu'à 9h du matin ?
11:23
Bien sûr.
11:25
Je peux vous dire que de 5h à 9h, on était une quinzaine.
11:28
Ça vous plaît ?
11:29
J'ai toujours eu l'impression que passé 3h du matin, il ne se passe plus rien.
11:33
Oui, parce que vous avez un âge plus avancé que le mien.
11:36
Non, même quand j'avais 18 ans, je n'ai jamais fait ça.
11:38
C'est exceptionnel.
11:39
De 3h à 7h, c'est l'apogée.
11:43
Vous aimez ce temps-là.
11:44
Vous, Géraldine, vous êtes rentrée à quelle heure ?
11:46
Je suis rentrée à minuit et demi, j'étais raisonnable.
11:48
Et à 9h, je faisais mon marché.
11:50
Elle a sorti une grosse prestation.
11:51
Énorme prestation de Géraldine.
11:54
Ça veut dire quoi ?
11:55
Ah non, mais magique.
11:56
J'en dirais pas plus.
11:57
Magique Gégé.
12:00
Nous, on dit tout à nos auditeurs.
12:02
Il est 11h45.
12:03
Vous, c'était Cendrillon le carrosse à minuit.
12:07
On est venu saluer monsieur.
12:08
À mon chéri.
12:10
Il veut me protéger, vous voyez.
12:13
Il veut vous protéger.
12:16
Elle n'a pas dû saouler.
12:20
Non, pas du tout.
12:21
Elle était prise de boisson.
12:24
Il ne faut pas le dire à ses parents.
12:25
Ses parents écoutent, paraît-il.
12:26
Elle n'a pas fumé.
12:28
11h45.
12:29
À tout de suite.
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