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«Après Dieu» : Richard Malka est l'invité de Culture médias
Europe 1
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23/01/2025
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🗞
News
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00:00
Bon voilà, après ce petit point, je suis très heureux de rencontrer ce matin un avocat,
00:06
avocat notamment de Charlie Hebdo, infatigable défenseur de la liberté d'expression.
00:11
Bonjour Richard Malka, merci beaucoup d'être avec nous ce matin et merci surtout pour ce
00:16
livre Après Dieu, un livre intelligent, nuancé, sur un sujet ô combien délicat, puisque
00:23
vous nous parlez des religions.
00:25
Mais alors d'abord il faut expliquer que ce livre il fait partie d'une collection,
00:28
Ma nuit au musée, dont le principe est de permettre à un auteur de passer une nuit
00:32
dans un musée de son choix pour ensuite partager ses réflexions.
00:36
Et alors vous, vous n'avez pas choisi un musée, vous êtes allé au Panthéon, là où reposent
00:41
les grands héros français.
00:43
Qu'est-ce qui vous est passé par la tête Richard Malka ?
00:46
Pourquoi ce choix ?
00:48
Parce que le problème d'être athée en fait, c'est qu'il faut trouver du sens ailleurs.
00:54
Et pour le coup, aller au musée Picasso ou au Louvre, ça n'aurait pas eu beaucoup de sens pour moi
01:04
d'aller parler de toile, d'art, même si j'adore ça.
01:07
Je trouvais que, quitte à faire cette collection qui est vraiment un véhicule merveilleux,
01:14
il fallait que j'y trouve, il fallait que ça résonne avec moi.
01:18
Et donc le Panthéon, Voltaire, Hugo, Zola, Jaurès, me permettent de les interroger
01:25
pour approfondir ce sujet de la religion.
01:29
Ça me paraissait être le bon choix.
01:31
Effectivement, vous vouliez notamment en parler à Voltaire, à qui vous vous adressez dans ce livre.
01:36
Un homme qui, comme vous, défendait la liberté d'expression, combattait les fanatismes
01:41
et qui pensait d'ailleurs vivre les dernières heures du fanatisme religieux.
01:47
Oui, on était au siècle des Lumières, il y avait un mouvement incroyable vers les libertés
01:53
et il pensait véritablement que c'était la fin du fanatisme, que ça allait disparaître,
02:00
que l'infâme, comme il l'appelait, allait reculer à tout jamais, que la raison allait triompher.
02:07
Il était très optimiste.
02:09
Oui, il s'est un peu trompé. Et c'est là-dessus que j'interroge justement.
02:13
Il n'aimait pas Voltaire, les religions, mais il était quand même croyant.
02:17
Vous expliquez ?
02:18
Il était déiste.
02:19
Il croyait en un grand horloger du monde, c'est ça ?
02:21
C'est ça.
02:22
Il disait quelle religion à l'époque ?
02:25
Alors, son obsession, c'est le christianisme.
02:28
C'est ça.
02:29
En fait, tout ce qu'il écrit...
02:30
C'est la religion dominante de l'époque.
02:32
Même quand il parle de l'islam avec sa pièce de théâtre, Mahomet et le prophète,
02:38
c'est pour parler de christianisme.
02:41
Quand il parle de judaïsme, il en parle aussi,
02:43
mais c'est toujours pour passer par ce qu'il reproche au judaïsme d'avoir enfanté le christianisme.
02:49
Donc il ramène tout au christianisme,
02:51
religion qui oppresse à l'époque les écrivains, les artistes et toute la société,
02:58
qui est son obsession.
03:00
Il veut la combattre.
03:01
Parce qu'on lui dit qu'il a fallu douze personnes pour fonder cette religion,
03:05
et il répond qu'il n'en faudra qu'un pour l'anéantir.
03:08
C'est son obsession.
03:10
Il se bat contre le christianisme, qu'il considère être un conte pour enfants.
03:14
Que Jésus soit le fils de Dieu, c'est une aberration pour lui.
03:20
Il est absolument croyant.
03:22
Il dit que si la religion n'existait pas, il faudrait l'inventer.
03:26
Il pense que sans religion, l'humanité sombrerait dans la sauvagerie et la barbarie,
03:31
sans éthique et sans morale.
03:33
Il pense que c'est une nécessité, la croyance en Dieu,
03:36
mais pas le corpus religieux qui va avec.
03:39
Vous faites le parallèle avec aujourd'hui Richard Amalka,
03:42
et vous expliquez que vous-même vous respectez tous les croyants,
03:46
mais que le mot respect est devenu l'ennemi de nos libertés.
03:51
On utilise le mot respect pour faire taire toute critique des religions, c'est ça ?
03:56
Vous avez raison, je respecte tous les croyants,
03:59
mais pas toutes les croyances.
04:01
Même aucune croyance.
04:03
C'est ça la ligne de démarcation,
04:05
c'est qu'on respecte les êtres humains.
04:07
On ne respecte pas ni les idées, ni les croyances, en aucun cas.
04:11
On les critique, sinon ça devient des dogmes, des idolatries.
04:14
Sinon, précisément, ces croyances et ces idéologies,
04:17
c'est de s'imposer aux autres, d'imposer un modèle de société,
04:21
de dire aux gens comment ils doivent s'habiller,
04:24
qui peuvent aimer, ne pas aimer,
04:26
à quelle heure ils doivent se réveiller,
04:28
combien de fois par jour ils doivent prier.
04:30
Que vous fassiez, que vous vous imposiez tout ça, libre à vous.
04:33
Mais mon problème c'est à partir du moment où vous cherchez à l'imposer aux autres.
04:37
Et donc, pour faire avancer ce dogmatisme,
04:44
parfois on utilise le mot respect.
04:46
En fait, respect, ça veut dire ne critique pas ma religion.
04:49
C'est ça, c'est utilisé dans ce sens-là.
04:52
C'est toxique, c'est dangereux.
04:54
Ça, c'est un véhicule de l'oppression, en fait.
04:57
Les gens pensent que c'est lutter contre la discrimination,
05:01
d'imposer le respect,
05:03
mais c'est un respect au sens mafieux du terme.
05:05
Il y a un phénomène de clans, de tribus, de communautés,
05:13
et je parle de toutes les communautés,
05:16
de tous les clans et de toute réligion,
05:18
qui utilisent ce terme pour imposer la censure,
05:23
pour empêcher la critique,
05:25
et donc pour faire avancer l'oppression religieuse,
05:27
les chaînes de la religion.
05:29
Et l'oppression dont vous parlez, en particulier dans ce livre, Richard Amalka,
05:32
même si vous parlez bien sûr de toutes les religions,
05:34
vous parlez surtout de l'islam,
05:36
et vous nous expliquez qu'aujourd'hui,
05:38
l'un des moyens de faire taire les récalcitrants,
05:41
c'est de les traiter d'islamophobes.
05:43
Pour vous, Richard Amalka,
05:45
cette peur a conduit une partie de la classe politique
05:47
à se soumettre à ce que vous appelez le fascisme religieux.
05:50
Alors, j'invente rien.
05:52
C'est Salman Rushdie et bien d'autres.
05:54
En fait, le terme islamophobie,
05:56
comme le terme respect, comme le terme offense,
05:59
si on veut ne jamais être offensé,
06:04
il faut rester entre gens qui pensent exactement la même chose.
06:08
Le débat, l'altérité,
06:10
c'est précisément de discuter avec l'autre,
06:12
d'être parfois heurté, bousculé,
06:14
et puis parfois, c'est comme ça qu'on s'enrichit,
06:16
et puis qu'on complexifie son raisonnement.
06:18
Et puis parfois, ça allume des petites lumières,
06:21
et des années plus tard, vous vous dites,
06:23
en fait, il avait raison.
06:24
Si vous voulez ne jamais être heurté,
06:26
c'est la définition.
06:27
Il faut vivre dans une grotte.
06:28
C'est la définition de la liberté d'expression.
06:30
C'est ceux qui heurtent, qui choquent, qui blessent.
06:32
C'est la définition orwellienne de la liberté d'expression.
06:35
Si c'est que pour dire aux gens ce qu'ils ont envie d'entendre,
06:37
ça n'a aucun sens.
06:38
Et puis, c'est pas très grave d'être heurté, blessé, choqué.
06:41
Il y a des choses plus graves dans la vie.
06:43
On n'est pas des petites choses fragiles.
06:46
On débat.
06:48
On argumente.
06:50
Et puis, on réfléchit.
06:53
Mais on ne peut pas vivre dans une société
06:55
où l'autre vous empêche de penser,
06:58
de vous exprimer,
07:00
de dire ce que vous pensez.
07:01
Le vrai respect, c'est ça.
07:02
C'est de dire aux gens ce que vous pensez
07:04
et éventuellement de les critiquer.
07:06
Quand vous avez un ami qui fait quelque chose
07:09
qui ne vous plaît pas, que vous jugez mal,
07:11
vous lui dites.
07:12
C'est ça le respect.
07:13
C'est pas se coucher.
07:14
C'est pas abandonner tous nos droits.
07:17
Et donc, effectivement, je traite de ces nouveaux mots
07:22
qui sont pour moi les mots du mal.
07:24
Et votre livre, Richard Malka, Après Dieu,
07:27
il nourrit vraiment ce débat.
07:28
On va continuer à en parler dans un instant.
07:30
On revient tout de suite sur Europe 1.
07:32
Vous écoutez Culture Média sur Europe 1,
07:34
9h30, 11h avec Thomas Hill
07:36
et avec Richard Malka ce matin
07:38
pour votre nouveau livre,
07:40
Richard Malka, Après Dieu,
07:42
qui est disponible aux éditions Stock.
07:44
Un livre dans lequel j'ai appris énormément de choses,
07:46
notamment sur l'histoire du Panthéon lui-même.
07:49
Je ne connaissais pas du tout l'histoire du Panthéon
07:51
qui a été construit au départ
07:52
pour être un édifice religieux.
07:54
Vous nous expliquez que c'est Louis XV
07:56
qui a lancé sa construction
07:58
pour remercier Dieu de l'avoir sauvé
08:00
d'une terrible maladie, c'est ça ?
08:02
Oui, il était à l'article de la mort
08:04
après une campagne militaire.
08:05
Il était très jeune, il avait la trentaine.
08:08
Et les médecins le soignaient à coups de saignée.
08:11
Évidemment, ça ne marchait pas vraiment.
08:13
Ça le rendait encore plus malade.
08:15
Il reçoit l'extrême onction.
08:17
Les églises sonnent les cloches
08:19
parce qu'il n'y avait plus aucun espoir.
08:21
Et là, il fait une promesse, il dit
08:23
si j'en sors, si je m'en sors vivant,
08:25
je ferai construire la plus grande basilique de Paris
08:28
sur la montagne de Sainte-Geneviève
08:30
en l'honneur de Sainte-Geneviève.
08:32
Et en désespoir de cause,
08:34
on fait appel à un médecin
08:36
de la ville où il se trouve,
08:37
mais c'est un médecin juif,
08:39
qu'il le resoigne en trois jours.
08:41
Et donc, il y a une véritable résurrection de Louis XV.
08:44
En fait, ça ne devrait pas être une basilique,
08:46
mais ça devrait être une synagogue.
08:48
Sauf qu'on l'a planqué ce médecin.
08:50
Alors, on l'a planqué,
08:52
parce que ça ne pouvait pas être un juif
08:54
qui ait sauvé le roi très chrétien.
08:56
Ce n'était pas possible.
08:58
Donc, on a dit que c'était un médecin de régiment.
09:00
On a quand même
09:03
permis à ce médecin
09:05
de ne pas payer d'impôts.
09:07
C'était sa récompense.
09:11
On a fait des grandes fêtes à Paris
09:13
pour célébrer le médecin de régiment
09:15
qu'on a intronisé sauveur du roi de France.
09:19
Et finalement, ça n'a été ni l'un ni l'autre,
09:21
puisque ce bâtiment,
09:23
après du retard dans sa construction,
09:25
n'a jamais eu le temps d'être consacré.
09:27
Ça n'a jamais vraiment été une église.
09:29
Jamais.
09:30
Avant que les révolutionnaires prennent le pouvoir.
09:32
Et eux ont décidé d'en faire
09:34
une église
09:36
de la nouvelle religion civile.
09:38
Un temple laïc.
09:40
Et vous en parlez
09:42
de ce temple laïc dans ce livre
09:44
Richard Malka, Après Dieu,
09:46
c'est encore quand même dix ans
09:48
après les attentats de Charlie Hebdo.
09:50
J'imagine que ce n'est pas totalement un hasard.
09:52
Lors de la manifestation du 11 janvier 2015,
09:54
vous étiez Richard Malka
09:56
en tête de cortège.
09:58
Vous étiez soutenu par des millions de Français.
10:00
Et pourtant, vous dites dans ce livre
10:02
que vous ne vous êtes jamais senti aussi peu
10:04
à votre place. Pourquoi ça ?
10:06
Il y a quelque chose de lunaire.
10:08
Charlie Hebdo,
10:10
c'est le journal
10:12
iconoclase par excellence.
10:14
Il n'est pas fait
10:16
pour faire l'adhésion
10:18
de tous.
10:20
C'est un journal
10:22
à la marge.
10:24
C'est un journal non consensuel.
10:26
Et là, on se retrouvait
10:28
et évidemment on le comprenait,
10:30
ça nous faisait du bien,
10:32
soutenu par des millions
10:34
de personnes.
10:36
Une manifestation, il n'y en a jamais eu
10:38
dans l'histoire de ce pays.
10:40
Il n'y a jamais eu 4 millions de personnes
10:42
manifestant pour une cause.
10:44
Et donc on se retrouvait
10:46
être un symbole de consensus.
10:48
Et il y avait quelque chose
10:50
de vertigineux. C'était un retournement
10:52
de sens,
10:54
de l'histoire de ce qu'était
10:56
Charlie Hebdo qui était incroyable.
10:58
Et donc on était là,
11:00
il fallait être là.
11:02
Et ce soutien populaire était important.
11:04
Mais en même temps,
11:06
rien de ce qu'on était
11:08
ne nous amenait
11:10
à ce point-là.
11:14
Il y a quelque chose
11:16
dans l'histoire de l'univers qui déconne.
11:20
Donc effectivement, c'était très étrange.
11:22
Votre histoire avec
11:24
Charlie Hebdo, Richard Malkiel,
11:26
commence en 1992 quand vous avez rencontré
11:28
Philippe Val et la rédaction de Charlie Hebdo.
11:30
Vous êtes un tout jeune avocat, vous aviez 23 ans.
11:32
Ça faisait 6 mois
11:34
que vous étiez avocat.
11:36
Et vous avez eu un coup de cœur
11:38
pour l'équipe, pour la cause
11:40
de Charlie Hebdo, pour ce qu'il représente ?
11:42
Alors oui, il y a eu
11:44
une résonance. Ils venaient voir le cabinet
11:46
dans lequel je travaillais, ils ne venaient pas me voir moi
11:48
que personne ne connaissait.
11:50
Et oui, je suis entré en
11:52
résonance avec eux, mais parce que
11:54
ils avaient mon âge aussi.
11:56
Charbes, Luz, Ries.
11:58
Exactement de la même génération.
12:00
On a grandi ensemble.
12:02
Et puis,
12:04
leur cause,
12:06
même si je n'y avais pas vraiment réfléchi avant,
12:08
instinctivement, naturellement,
12:10
j'étais assez en
12:12
adéquation avec leur esprit
12:14
frondeur, parfois potache.
12:16
Et puis,
12:18
leur amour de la liberté,
12:20
parfois de la transgression.
12:22
En tout cas, leur volonté
12:24
de ne respecter aucun
12:26
dogme, justement, aucun tabou,
12:28
aucun totem. C'est ça Charlie Hebdo.
12:30
On ne respecte pas les puissances, à commencer
12:32
par la mort, elle-même.
12:34
Ce qui est très étonnant, c'est qu'on se rend
12:36
compte qu'en 30 ans, parce que vous, vous avez vu l'évolution
12:38
des attaques contre Charlie Hebdo.
12:40
Au début, c'était plutôt des intégristes
12:42
catholiques, ou le Front National
12:44
qui attaquait certains des saints de Charlie.
12:46
Et aujourd'hui, il y a des gens qui accusent
12:48
Charlie Hebdo d'être réac.
12:50
C'est assez incroyable, ce renversement
12:52
en quelques années.
12:54
Alors, j'ai vécu la même chose pour la
12:56
laïcité, ou pour l'universalisme.
12:58
C'est-à-dire,
13:00
et maintenant pour la liberté d'expression.
13:02
C'est très inquiétant.
13:04
Toutes ces valeurs, qui sont historiquement
13:06
des valeurs de gauche.
13:08
Et ce n'est pas pour disqualifier la droite que je dis ça.
13:10
Et heureusement, la droite adhère à ces valeurs-là.
13:12
Mais c'est historiquement,
13:14
philosophiquement, la gauche qui a apporté
13:16
le camp progressiste, qui a apporté
13:18
ces valeurs.
13:20
Qui a abandonné la laïcité, par exemple.
13:22
Une partie de cette gauche
13:24
a exprimé un malaise,
13:26
une gêne, les a abandonnées.
13:28
Ensuite, elles ont été récupérées par la droite,
13:30
par l'extrême droite. Et là, plus personne n'en parle.
13:32
Et le mouvement s'accélère et s'accentue.
13:34
J'ai vécu ça.
13:36
Et on voit où ça nous mène,
13:38
cette catastrophe. Quand la gauche
13:40
abandonne ces thèmes-là.
13:42
En fait, la nature horreur du vide.
13:44
Donc, elles sont récupérées.
13:46
Et après, il ne faut pas se plaindre.
13:48
De voir ceux qui les récupèrent
13:50
avancer.
13:52
Ce n'est pas ça, la solution.
13:54
Donc, j'ai vu ça. Je le vois maintenant
13:56
pour la liberté d'expression.
13:58
Parfois qualifiée de valeur réactionnaire.
14:00
Et ça, c'est très inquiétant.
14:02
Parce que c'est le socle de toutes nos libertés.
14:04
Et je le voyais compris
14:06
dans mes procès. Avec une convergence
14:08
d'associations
14:10
d'extrême droite et d'extrême gauche
14:12
qui soutiennent exactement
14:14
la même chose. Quand il s'agit
14:16
de restreindre la liberté d'expression
14:18
avec des valeurs familiales,
14:20
des valeurs de protection
14:22
de l'enfance, ou féministes.
14:24
Il y a toujours des grands mots derrière
14:26
lesquels avance
14:28
la régression de la liberté d'expression.
14:30
Et c'est là où vous dites dans votre livre que tenir
14:32
une ligne de raison est devenu un chemin
14:34
de croix. Après Dieu, votre
14:36
nouveau livre Richard Malcas est disponible
14:38
aux éditions Stock. On vous le conseille
14:40
vraiment si vous voulez aller plus loin sur
14:42
ce sujet. Et puis nous, dans un instant, on va parler
14:44
d'une série à une série absolument
14:46
formidable avec Héloïse Gouin.
14:48
A tout de suite.
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