Devant le Parlement européen, lundi 13 janvier, Mark Rutte, nouveau secrétaire général de l'Otan, n'y est pas allé par quatre chemins. « Nous sommes en sécurité maintenant. Nous ne le serons pas dans cinq ans. » Son message aux Européens est sans ambiguïté : il faut agir, vite et fort. L'isolement de la Russie auquel la diplomatie travaille depuis trois ans ne s'est pas produit.