Revue de Presse du 10 Janvier 2025 avec Mouhamed Alimou Ba

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00:00la pression des Descartes amènes, payé.

00:02Oui, soumise à la puissance de feu potentielle des kak-kak, l'état du

00:06Sénégal met la pédale douce, il se réagit ses songes de vitesse qu'on

00:10sente du coup du quotidien.

00:12Qu'est-ce qui s'est passé ? Le journal nous dit que pour éviter d'avoir à gérer la

00:15colère de ces jeunes,

00:17le ministère des transports a multiplié les sites de vérification

00:20technique des motos, notamment à Dakar, de la mise en place des

00:23commissions itinérantes dans les dépôts

00:26dans les départements plus incordants, les communes. Facilitation

00:30aussi

00:31de la légalisation des pièces au niveau des commissariats de police et

00:34brigades de gendarmerie.

00:36Ce qui est salé du quotidien note que finalement c'est tout le monde qui

00:40gagne. La grande vieille Descartes amène a failli déborder pour atteindre des

00:43dimensions incontrôlables.

00:45Mais heureusement que tout le monde a fini par se rendre compte que peu de gens

00:48ont intérêt.

00:50A laisser la colère monter, s'étendre, après tout relève le commentateur un

00:54pouvoir qui a profité de la colère de la populace pour s'installer.

00:58C'est qu'il ne faut pas la laisser devenir hors de proportion. Mais le

01:02pouvoir ne peut pas non plus donner l'impression de céder à la pression

01:05populaire

01:06de le changement de mode de gestion dans l'affaire des motocyclistes.

01:10Ainsi tout le monde gagne et l'Etat ne perd pas.

01:13Relève encore la publication.

01:16Mais hélas, constate que tout le monde n'en a pas la même compréhension.

01:19Division chez les Descartes amène,

01:22écrit du coup Vox Populi, la guerre de positionnement entre partisans des

01:25soft-peuves et ceux de la ligne dure, finalement.

01:28Les kakak, de toute façon, ne lèvent pas les pieds, croix s'avacrent ou alphatries.

01:32Et à ce jeu, ces yamayasonkos qui risquent de perdre la face ou au songe

01:36s'aligner.

01:37C'est le moyen le plus sûr de perdre un électorat.

01:40Le journal Observateur pointe en tout cas les éventuels impacts négatifs de

01:44cette révolte. A lire l'entretien avec Hans-Oman Abad, je suis le

01:48président de l'union nationale des mototaxis.

01:51L'enquête lui fait focus sur les tensions axées,

01:54les plus axées de fièvre sur le marché avec

01:57la montée des prix malgré une enveloppe de 53 milliards de

02:01francs et francs.

02:02Le journal constate que cette enveloppe, vous le savez, était

02:06destinée à alléger le coût de la vie. Eh bien,

02:08les ménages souffrent toujours face aux tensions.

02:10Les grossisses contournent les lois alimentant. Un commerce parallèle

02:14lucratif. Les promesses d'autosuffisance alimentaire tendent à se

02:18matérialiser

02:19parallèlement.

02:21Dans le journal Le Soleil, la filière lait local

02:25ne se porte pas mieux.

02:27Note encore mon confrère à lire. Donc, dans le journal Le Soleil,

02:32ce dossier fait par le confrère, la période des vaches maigres,

02:37à l'heure de l'objectif proclamé de souveraineté alimentaire, le lait local

02:41fait face à de nombreux défis qui plombent son essor

02:44avec près de 4 millions de bovins au Sénégal. Deuxième

02:47plus grand importateur de lait en Afrique de l'Ouest, le Sénégal, bien

02:51sûr. La filière dominée par l'élevage extensif.

02:55Le pastoralisme subit la loi des importations de l'Union européenne.

02:59Les acteurs livrent des pistes de solution à l'heure que le ministre de

03:03l'élevage se dit favorable

03:05à une augmentation des taxes sur le lait

03:07importé.

03:08Note encore la publication.

03:12En première page du journal Tribune, les conséquences de la récolte

03:15catastrophique d'Arachide au Sénégal. La mauvaise campagne agricole amplifie

03:20l'exode rural. Tous en ville à la recherche de travail et de meilleures

03:23conditions de vie.

03:25Aux jeunes qui avaient l'habitude de partir en ville, se sont ajoutés les

03:28femmes et les pères de familles dans le désarroi.

03:30Le confrère note que les jeunes paysans du bassin Arachidier, du Cahors, du

03:34Guelph,

03:34du Niambourg, du Fouta, obligés de rallier

03:37les centres urbains pour survivre.

03:40En première page du journal L'Asse, les projections fantaisistes contre

03:44performance des finances manquent de transparence de la loi des finances.

03:48La politisation à outrance de l'administration sénégalaise, la

03:51méthode Sonko-Yomai inquiète.

03:53Le journal écrit que l'élaboration de la loi des finances 2025 à partir

03:57des évolutions favorables de celles de 2024, alors qu'ils ont produit un

04:01déficit abyssal, fait grincer les dents

04:03dans les régies financières. Ce procédé

04:06se procéderont

04:08aux yeux de certains agents de l'administration avec les bonnes

04:11pratiques qui devraient objectivement

04:13exposer, entre autres, la méthode d'estimation des recettes potentielles

04:17pour l'année

04:18en cours et la méthode de calcul des recettes effectivement perçues en 2024.

04:23En conséquence, note le grand frère, selon toujours,

04:27c'est l'administration sénégalaise, le budget de ces agents de

04:31l'administration sénégalaise en conséquence. Donc, ils disent que le

04:34budget 2025 donne

04:35l'image d'une comédie dramatique et pathétique.

04:39Dans le journal Soussa,

04:41tous ces mangas qui créent la polémique autour de ces 22 millions de

04:44Français distribués à des pacifiants,

04:49c'était destiné donc à payer, plutôt à éponger la dette des

04:53étudiants de Ziganchor. Donc, à éponger la dette des étudiants de

04:56Ziganchor. Le journal note que son moyen de défense est celui-ci.

05:01Eh bien, il dit donc que c'est la fondation

05:05de l'ananas qui a aidé. On a une rubrique secours et aide.

05:10Note-t-il encore à lire en page intérieure? A lire aussi dans le journal

05:15Soussa,

05:15l'initiateur du groupe des forces spéciales, Morgay, qui parle.

05:19Oui, Morgay se rappelle au souvenir des pacifiants. Entre-temps,

05:22avec le fondateur des forces spéciales, il dit que c'est moi qui ai créé le

05:26groupe WhatsApp pour le nommer forces spéciales, tout comme je pouvais

05:29l'appeler les Amazones et les danseuses. Mais il se trouve dans une situation

05:33difficile. Il dit,

05:34ma maman est traumatisée par cette histoire. J'avais une famille, mais ma

05:38femme m'a quitté.

05:39J'ai même perdu mon boulot.

05:41Eh bien, il se rappelle au souvenir des pacifiants.

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