Emmanuel Macron reconnaît l'échec du durcissement de la politique des visas, qui a surtout pénalisé les « bonnes personnes » sans atteindre ses objectifs sécuritaires. Depuis 2010, le taux de refus est passé de 10,7 % à 17 %, impactant l'attractivité de la France, les échanges culturels et économiques, et les relations diplomatiques avec des pays africains.