Le Premier ministre décale son déplacement à Mayotte à lundi. Deux semaines après le cyclone Chido, il est compliqué pour les sinistrés de trouver des solutions. Les effectifs de gendarmerie patrouillent sur le terrain pour tenter de leur venir en aide. Chaque jour, ces gendarmes patrouillent dans les villages sinistrés, au contact des habitants. Débris entassés, électricité coupée, nourriture et eau rationnées… de nombreux Mahorais attendent encore de l’aide.
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00:00Chaque jour, ces gendarmes patrouillent dans les villages sinistrés, au contact des habitants.
00:11Débris entassés, électricité coupée, nourriture et eau rationnée, de nombreux
00:17Mahorais attendent encore des aides.
00:19A seulement quelques kilomètres, cette école primaire est transformée en centre
00:29d'hébergement d'urgence. Ici, la plupart des rescapés ont tout perdu et confient
00:35leur détresse aux forces de l'ordre.
00:37Nous on est là parce qu'on n'a nulle part où aller, on n'a rien pour reconstruire.
00:43Nous n'avons pas de matériaux pour le faire et nous n'avons pas d'argent pour les acheter.
00:49Des préoccupations auxquelles les gendarmes tentent de répondre comme ils le peuvent.
00:56Avec le cyclone, ça a changé, les besoins ont changé, on est plus présents, on a des
01:03patrouilles H24 sur la commune de Congo, donc oui, on est vraiment présents.
01:08Au total, plus de 1600 effectifs de police et de gendarmerie ont été déployés sur
01:13l'île depuis le passage du cyclone.