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Censure : "C’est dans les mains de ceux qui ont fait le choix du pire", affirme Marc Fesneau
France Inter
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03/12/2024
La séance de questions au gouvernement prévue dans l'après-midi à l'Assemblée promet d'être tendue, alors que les députés seront appelés dans la semaine à se prononcer sur une motion de censure qui a toutes les chances d'être approuvée
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00:00
4h48, Sonia Devillers, votre invitée, est députée du Loire-et-Cher et président du groupe Les Démocrates à l'Assemblée Nationale.
00:07
Voilà, un des quatre piliers de ce qu'on appelle le bloc central, sur lequel est censé s'appuyer le gouvernement tant qu'il y en a un.
00:14
Bonjour Marc Fesneau.
00:16
Bonjour.
00:16
Justement, la gauche et le Rassemblement National, on l'a dit et redit, ont déposé des motions de censure.
00:21
Le Rassemblement National s'est engagé à voter tous les textes.
00:24
Pensez-vous, alors pensez-vous ce matin, que le gouvernement Barnier va en effet tomber ?
00:28
Écoutez, ce n'est pas dans les mains des groupes qui soutiennent le gouvernement Barnier,
00:32
c'est dans les mains, comme l'ont très bien dit d'ailleurs Dominique Seux et Patrick Cohen à l'instant,
00:35
de ceux qui ont fait le choix à la fois du pire et de l'irresponsabilité.
00:39
Il est encore temps de se ressaisir, parce qu'il y a des conséquences.
00:43
Alors, ce n'est pas l'apocalypse...
00:44
Ceux qui ont fait le choix du pire et de l'irresponsabilité, vous mettez tout le monde dans le même sac ?
00:47
Vous mettez les quatre parties de gauche, enfin les quatre formations de gauche et vous mettez...
00:50
Le juge de paix, pardon, ça va être mercredi dans la journée ou jeudi matin.
00:55
C'est là qu'on va voir ceux qui, dans la situation difficile dans laquelle est le pays,
00:59
dans un contexte mondial... Vraiment, je n'ai pas envie de rentrer dans l'apocalypse,
01:03
mais dans un contexte européen et mondial qui est un contexte compliqué,
01:06
qui ont par leur vote la capacité ou non à rajouter du chaos à une situation déjà difficile.
01:12
Et donc, j'ai toujours espéré, je l'ai dit d'ailleurs au moment de la déclaration de Politique Générale,
01:16
je l'ai dit à la fois à Michel Barnier, parce que le message il était pour nous,
01:19
Bloc Central, et pour ceux qui autour pouvaient, non pas simplement soutenir,
01:23
c'est plus compliqué que ça, je sais que c'est compliqué de s'affranchir,
01:25
le modem s'est affranchi il y a très longtemps avec François Bayrou, de son alliance historique avec la droite,
01:30
et je sais ce qu'il en a coûté à l'époque, et donc c'est compliqué la liberté.
01:33
Mais quand même dans des moments comme ceux-là, qui sont des moments importants pour le pays,
01:36
qu'on puisse s'affranchir, j'avais envoyé ce message-là lors de la déclaration de Politique Générale,
01:40
en disant qu'il faut parler, y compris à ceux avec lesquels on n'est pas d'accord,
01:43
pour essayer de trouver des terrains d'entente.
01:44
Avec un mot qui n'est pas un gros mot, qui est un mot du vocabulaire français,
01:47
qui s'appelle le compromis.
01:49
Nous n'y sommes pas, mais peut-être qu'il y a des signaux qui peuvent être envoyés encore,
01:52
ne serait-ce que déjà en ne votant pas cette motion de censure.
01:54
Mais ça veut dire quoi ? Ça veut dire que Marine Le Pen peut faire volte-face ?
01:57
Non, mais ce n'est pas à Marine Le Pen que je m'adresse, puisque je rappelle qu'au mois de juillet...
02:01
Oui, mais Michel Barnier, lui, s'est adressé à Marine Le Pen.
02:04
Il a fait le choix de parler avec elle, il a fait le choix de négocier avec elle,
02:07
il a fait le choix de faire des concessions à Marine Le Pen,
02:09
il a fait le choix de la citer expressément elle et personne d'autre dans son communiqué,
02:15
hier, où il s'engage finalement à ne pas dérembourser les médicaments.
02:19
Pardon, les mesures sur l'électricité, les mesures sur le déremboursement des médicaments,
02:23
les mesures sur les retraites, ça a été posé à la fois par des groupes comme le mien,
02:26
et ça a été posé par la gauche.
02:28
Alors pourquoi est-ce que dans le communiqué d'hier, Michel Barnier ne cite qu'une seule personne,
02:34
c'est Marine Le Pen ? Au point que Marine Tondelier, l'écologiste, a réagi en disant la honte.
02:41
On ne peut pas à la fois ne rien faire pour s'extraire de la tutelle, d'une certaine façon,
02:46
dans laquelle nous sommes tous de Marine Le Pen, parce que c'est ça la vérité.
02:50
Elle a 145 voix à l'Assemblée Nationale, c'est un quart de l'Assemblée Nationale.
02:54
Nous avons fait un front républicain le 7 juillet, ça ne se termine pas le 7 juillet,
02:57
parce que sinon avec 145 voix et un quart de l'Assemblée Nationale,
03:00
vous voyez bien qu'elle fait danser tout le monde.
03:02
Pourquoi elle fait danser tout le monde ? Parce que personne n'est capable de se dire,
03:05
on n'est pas d'accord sur un certain nombre de sujets, mais on peut être d'accord sur un certain nombre d'autres.
03:08
Et donc ne critiquons pas seulement l'attitude de Marine Le Pen,
03:13
critiquons aussi ceux qui, mais essayons-nous aussi de faire la part du chemin,
03:16
mais critiquons aussi ceux qui ne sont pas capables de dire,
03:19
continuent à nous affranchir de Marine Le Pen.
03:21
Parce que Michel Barnier aujourd'hui, n'importe qui demain, c'est le même sujet.
03:24
Vous voyez bien le jeu que joue Marine Le Pen, elle joue à la confusion, à l'irresponsabilité,
03:28
et en fait elle n'est jamais dans cette configuration responsable de rien.
03:32
Pour qu'elle soit responsable de tout, il faut que...
03:35
Pour qu'elle soit responsable de tout, il faut que chacun prenne ailleurs la part du compromis qu'il faut faire.
03:42
D'accord, Michel Barnier il a fait des compromis avec la gauche,
03:44
Michel Barnier il a donné des gages à la gauche...
03:46
Mais pardon, le déremboursement des médicaments, la question sur les retraites,
03:49
la baisse de la taxe sur l'électricité ou le maintien de la taxe à son niveau,
03:53
c'est signé en faveur de l'extrême droite vous considérez ?
03:57
Boris Ballot, président du groupe Socialiste, il a adressé une lettre cinglante à Michel Barnier...
04:01
Dimanche !
04:02
Dimanche, voilà.
04:03
Il n'est jamais trop tard pour ne rien faire.
04:06
C'est-à-dire ?
04:07
Non mais je veux dire, il ne faut pas se moquer du monde.
04:09
Il y a une CMP conclusive.
04:12
Le texte est soumis le lundi, et Boris Ballot dit
04:15
« Mon Dieu, j'ai encore une idée dimanche, mais pourquoi pas lundi matin tant qu'on y est ? »
04:19
Je veux dire, il faut qu'on sorte des faux-semblants.
04:21
Il faut que chacun sorte des faux-semblants.
04:23
En fait vous accusez les socialistes, c'est-à-dire que les socialistes ont fait barrage,
04:26
vous voyez bien...
04:27
ont été inertes, ont refusé le dialogue, et ils ne se réveillent que maintenant, c'est ça que vous dites ?
04:31
Écoutez, quand vous avez un courrier le dimanche pour une CMP conclusive le lundi,
04:34
j'ai l'impression que le mot de « oui, il ne se réveille que maintenant » n'est pas complètement inapproprié.
04:38
Je dis juste qu'il n'est pas trop tard pour ne rien faire.
04:40
Michel Barnier leur avait tendu la main ?
04:42
Non mais, Michel Barnier, ça a été très bien rappelé par Patrick Cohen,
04:45
quand il est nommé au gouvernement comme Premier Ministre,
04:48
le PS dit « je ne veux pas le voir avant...
04:51
je ne veux pas voir le Premier Ministre avant la déclaration de politique générale ».
04:55
On avisera sur la déclaration de politique générale.
04:58
On se retrouve dans une situation où c'est Marine Le Pen qui dit « je vais faire voter la motion de censure de la gauche »
05:05
et c'est la faute de la gauche.
05:07
Non, je dis... Attendez, d'abord, la gauche a sa propre responsabilité,
05:10
elle n'est pas obligée de voter une motion de censure.
05:12
Je n'en fais pas une unité.
05:14
Vous écouterez, vous relirez ce que j'ai dit lors de la déclaration de politique générale.
05:18
J'ai dit « veillons à ouvrir aussi les bras, si je peux dire, à la gauche »,
05:22
parce qu'on a peut-être des choses en partant.
05:24
Je constate que ça n'est pas le cas, mais il n'est pas trop tard pour bien faire.
05:27
Parce que quoi qu'il se passe, mercredi ou jeudi, chute du gouvernement Barney ou pas,
05:32
et on fait quoi le lendemain ?
05:34
On continue ce petit cirque ridicule, et donc on a besoin de se ressaisir.
05:38
Il va falloir qu'une partie de la gauche s'extirpe et s'arrache de la domination,
05:43
pour ne pas dire de la tutelle, et je sais ce que c'est d'être sous la tutelle.
05:46
Mais je sais ce que c'est que de pouvoir s'en arracher.
05:48
C'était il y a 15 ans pour nous.
05:50
Et donc il faut que la gauche, dans ses responsabilités, la gauche de gouvernement.
05:53
Celle qui veut gouverner, pas celle qui veut être spectateur.
05:55
Je traduis, le modem c'est arracher à la tutelle du RPR et des Républicains.
05:59
Historiquement l'UDF de la droite, et donc on a pris notre indépendance.
06:02
Et donc vous invitez les socialistes à s'arracher à la tutelle de Jean-Luc Mélenchon et de la France Insoumise.
06:07
Je les assure que c'est tellement mieux et plus confortable d'être sur ces convictions.
06:10
Et si ils s'arrachent à la tutelle de Jean-Luc Mélenchon et des Insoumis,
06:14
Mais c'est pour le bien du pays aussi !
06:15
Vous êtes prêts à faire un compromis, une alliance ?
06:17
Mais bien évidemment qu'on est capable de parler avec les sociodémocrates,
06:20
avec la gauche modérée, avec une partie des écologistes.
06:22
Si le gouvernement tombe mercredi, il faut un prochain gouvernement.
06:25
Qui pour le diriger ?
06:26
Moi je ne suis pas dans la politique-fiction.
06:28
Moi je fais en sorte que le gouvernement Barnier tienne.
06:30
Parce que je considère...
06:31
François Bayrou !
06:32
Non mais je ne suis pas là venu sur France Inter ce matin.
06:36
Vous expliquez que donc j'attendais la chute de Michel Barnier.
06:38
On peut tendre la main aux socialistes.
06:39
Mais ça n'est pas qu'une question d'hommes.
06:41
Évidemment que François Bayrou est dans cette disposition d'esprit.
06:44
Je suis son premier vice-président moderne, je chemise avec lui.
06:46
Il est dans cette disposition d'esprit parce que Jean-Philippe Tanguy,
06:48
qui est vice-président du Rassemblement National hier, a dit
06:51
François Bayrou a toujours été très respectueux avec vous.
06:54
Je ne prends pas mes ordres chez Jean-Philippe Tanguy.
06:56
Et François Bayrou non plus.
06:58
Donc vous voyez, on ne va pas danser.
07:00
Tandis que le chat joue avec les souris.
07:02
Donc moi je ne suis pas une souris.
07:03
Je suis un responsable politique.
07:05
Je n'attends pas les oucas ou les bénédictions, si je peux dire,
07:09
de M. Tanguy ou des autres pour savoir ce que j'ai à faire.
07:11
Parce que sinon, on retombe dans le même piège.
07:13
Et donc j'invite à sortir de ce piège.
07:15
Revenons à des questions simples.
07:16
Est-ce que vous diriez, comme Dominique Seux vient de le dire dans son édito,
07:19
que Michel Barnier s'est trompé, qu'il a cru que Marine Le Pen bluffait ?
07:22
Non, je ne suis pas forcément à penser ça.
07:25
D'abord, tout le monde s'est interrogé sur l'attitude finale de Marine Le Pen.
07:30
Moi-même et nous tous, on a pensé qu'au fond,
07:32
elle faisait danser tout le monde pour qu'à la fin,
07:34
elle dise « bon, on vous laisse continuer un peu le temps qu'il faudra,
07:38
le temps qu'il m'arrange ».
07:39
Donc elle vous a tous baladé en fait ?
07:40
Je pense qu'elle a baladé un peu tout le monde, oui.
07:42
Mais j'invite à sortir de ça.
07:44
Parce que je trouve ça, pour la vie politique,
07:46
quand on a quelqu'un à l'Assemblée Nationale qui n'a que 25% des sièges,
07:50
extrêmement toxique.
07:51
Elle n'a pas gagné les élections.
07:53
Elle n'a pas gagné les élections parce que les Français, pas nous,
07:56
les Français ont décidé qu'elle ne gagnerait pas cette fois-ci les élections.
07:59
C'est particulièrement vrai aussi dans votre circonscription.
08:01
Vous aviez à peine 1% d'égard entre vous et la candidate Rassemblement Nationale.
08:06
Moi, je n'oublie pas de quoi je suis le produit.
08:08
Je suis le produit d'un front républicain,
08:10
mais pour qu'il y ait un front républicain au sens constructif,
08:12
il faut que chacun puisse sortir de ça.
08:14
En deux jours, est-ce qu'il y a encore des choses à faire ?
08:18
Est-ce que, concrètement, Michel Barnier peut proposer des choses
08:21
qui fracturent les voix de la gauche et qui récupèrent les socialistes ?
08:24
Est-ce que, concrètement, il a des choses encore à proposer à Marine Le Pen ?
08:27
Il a capacité encore à dire des choses à la gauche et aux Français
08:29
sur la trajectoire qu'il veut avoir sur les questions de PLFSS.
08:33
Il peut ?
08:34
Aujourd'hui, demain, après-demain, il peut proposer des choses à la gauche ?
08:37
Aujourd'hui, demain, jusqu'à la motion de censure.
08:39
Je pense que ce n'est pas inéluctable.
08:41
C'est à lui de le dire.
08:42
Il va s'exprimer devant les Français ce soir.
08:44
Donc, on verra ce qu'il a à dire.
08:46
Il me semble que je ne me résous pas au cas où.
08:48
Non, mais Marine Le Pen, ce n'est pas mon sujet, Marine Le Pen.
08:50
Vous comprenez ?
08:51
C'est ce que j'essaie de vous dire.
08:52
C'est le sujet pour beaucoup de monde.
08:53
Vous venez de le dire vous-même.
08:54
J'essaie de faire en sorte que ça ne soit pas notre sujet d'obsession.
08:57
Le sujet, c'est la question des Français.
08:58
Il peut céder sur la désindexation des retraites ?
09:00
Mais ce n'est pas le sujet.
09:01
On a un besoin d'équilibre budgétaire.
09:03
Il faut qu'on le tienne.
09:04
Et, par ailleurs, il faut qu'il trouve un équilibre.
09:07
C'est la responsabilité.
09:08
Mais il n'y a pas que le Premier ministre.
09:09
Il y a nous aussi, collectivement.
09:10
Merci Marc Fesneau.
09:11
Merci à vous.
09:12
Et merci Sonia De Villers.
09:13
Il est 7h57.
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