Philippe Jost n'oubliera jamais le général en chef du chantier de Notre-Dame de Paris, Jean-Louis Georgelin, dont il était l'adjoint et dont il a repris le flambeau. « La mort du général, ce fut évidemment un grand choc, même si l'on sait que ce catholique convaincu envisageait sa fin avec sérénité », confie Philippe Jost au « Point ». « Cette tragédie a permis d'affermir les liens, de consolider ce que j'appelle “l'esprit Notre-Dame”, fait d'entraide, de solidarité et de volonté d'aller de l'avant », ajoute-t-il.