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Côte d'Ivoire : Fonction Publique - " Nous sommes convaincus que nous aurons la prime parce que la volonté populaire s'est exprimée " (Théodore Gnagna Zadi)
Abidjan.net TV
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23/10/2024
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News
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00:00
Nous sommes confiants sur l'avenir, n'est-ce pas, de la demande actuelle qui est exprimée.
00:04
Le président de la République l'a fait beaucoup.
00:06
Et voilà pourquoi nous lui faisons confiance.
00:08
Et nous savons qu'il va encore régler la question de la prime.
00:11
C'est ce qui nous rend confiants, c'est le résultat que vous venez d'indiquer.
00:14
Parce que nous sommes témoins et acteurs de ces acquis.
00:30
Je voudrais préciser avant toute chose que depuis le dernier congrès de notre organisation,
00:39
la plateforme nationale s'appelle désormais la Confédération syndicale,
00:43
plateforme nationale des travailleurs de Côte d'Ivoire.
00:46
Cela dit, je voudrais indiquer que je suis mal placé pour faire un bilan d'une grève que je n'ai pas lancée.
00:52
Donc il faut peut-être s'adresser à ceux qui l'ont fait.
00:56
Pour ceux qu'on a tous vu et lu, étant entendu que certains de nos camarades,
01:00
membres de nos confédérations sont retrouvés dans cette grève,
01:03
il est bon tout de même de noter que selon nos camarades, la grève a été un succès
01:08
et qu'elle a été suivie à plus de 80% dans l'ensemble du pays.
01:13
Donc c'est ce que j'ai pu dire au regard, n'est-ce pas, de leur propre rapport et du bilan qu'ils en ont fait.
01:26
Je pense qu'a priori le gouvernement a raison de le dire puisque dans l'accord portant grève sociale,
01:33
le gouvernement s'est engagé à améliorer de façon continue les conditions salariales des travailleurs,
01:39
notamment des fonctionnaires.
01:41
Et tout le monde sait qu'à l'issue de cet accord déjà, à la fin du mois d'août 2022,
01:47
le gouvernement a commencé, n'est-ce pas, à exécuter sa part de contrat
01:51
en payant les améliorations salariales qu'il a eues.
01:54
Et en contrepartie, les syndicats s'étaient engagés, n'est-ce pas, à privilégier le dialogue social
01:59
comme moyen de régler les contradictions qui pourraient advenir tout au long de cette grève sociale.
02:05
Donc a priori, le gouvernement a raison, dès lors que nous n'avons pas privilégié le dialogue, de le dire.
02:10
Mais ce qu'il faut également noter, c'est que nous sommes tous conscients,
02:14
en disant qu'il faut privilégier le dialogue, que des défis se posera à nous.
02:18
Et que cinq ans de trêve, ce n'est pas rien.
02:21
Et qu'au cours de cette période-là, on allait être confrontés à quelques préoccupations,
02:26
à des manières fortes d'exprimer des préoccupations.
02:28
Donc nous faisons face à cela.
02:30
Mais cela ne remet pas en cause l'architecture de la trêve sociale.
02:33
Et je dis souvent, je prends une image, c'est comme un mariage.
02:36
Dans un mariage, tant que le contractant n'a pas décidé de rompre le mariage, il est en vigueur.
02:41
C'est vrai qu'il peut arriver que les parents du marié ou de la mariée posent des problèmes,
02:47
mais cela ne remet pas en cause le mariage en lui-même.
02:49
L'accord portant trêve sociale est un partenariat, est un mariage.
02:54
Et pour nous, donc, il n'est pas remis en cause.
02:57
Dès lors que les huit signataires n'ont pas remis en cause l'accord.
03:00
Mais ce à quoi nous sommes confrontés, c'est une interpellation forte qui nous invite à être éveillés.
03:06
Que cet accord-là n'a pas mis fin aux préoccupations, aux problèmes des travailleurs.
03:10
Et que nous ne devons pas dormir sur nos lauriers.
03:12
Et que nous devons faire en sorte que les préoccupations qui ont été laissées en suspens trouvent des solutions.
03:16
C'est cette lecture-là qu'il faut faire pour ne pas très rapidement tirer des conclusions
03:20
qui pourraient nous enfermer, n'est-ce pas, dans des conclusions qui ne sont pas bonnes.
03:26
Donc voilà un peu ce que je peux dire sur ce que le gouvernement a dit concernant cette grève.
03:39
Nous avons confiance au gouvernement ivoirien.
03:41
Nous avons confiance au président de la République qui, en mètre d'occasion,
03:44
nous a démontré sa capacité à faire des choses au-delà de nos espérances.
03:49
Et je peux rappeler simplement qu'en 2022, nous avons signé un accord
03:53
qui va coûter au gouvernement ivoirien plus de 1 000 milliards.
03:56
Nous n'en expérions pas tant.
03:58
Mais ce qui est d'ailleurs extraordinaire, c'est que dès la fin du mois d'août,
04:02
le président a donné instruction pour que cela se fasse.
04:05
Il a institué en Côte d'Ivoire, pour la première fois, un treizième mois
04:09
qui est payé au tiers pour l'instant pour tous les fonctionnaires.
04:12
Il vient d'instituer pour les retraités une prime exceptionnelle de rentrée scolaire,
04:18
typo 300 000 retraités.
04:21
Alors un tel homme, pour nous, nous avons confiance en lui.
04:25
Nous avons confiance au gouvernement dans sa capacité à trouver des solutions.
04:28
Nous sommes comme des enfants qui demandons.
04:30
Nous ne nous posons pas la question comment le père va faire.
04:32
En tout état des causes, nous attendons de lui qu'il apporte une réponse à nos pleurs,
04:36
à nos appels, à notre cri de coeur.
04:38
Je pense que c'est ainsi qu'il faut voir la chose.
04:40
Nous, en tant que syndicalistes, on n'a pas les moyens techniques pour faire des calculs.
04:43
Nous comptons sur le gouvernement pour nous apporter des réponses.
04:46
Je pense que ce travail a commencé à être fait pour voir un peu ce qu'il peut être fait.
04:50
Donc nous sommes confiants dans ce gouvernement, dans le président de la République
04:54
et nous pensons que des solutions seront trouvées à cette préoccupation.
05:05
C'est vrai que les débats tournent autour de cela,
05:07
et je dis qu'il y a des techniciens pour le faire.
05:09
Nous, nous avons émis une demande, nous voulons une prime.
05:12
Et cette prime-là est demandée par 17 ministères sur les 33 que nous comptons dans notre pays.
05:19
Parce que le constat a été fait de ce qu'il y a sur les 33 ministères,
05:23
16 ministères où il y a des primes trimestrielles qui sont déjà payées.
05:27
Et que sur les 33, il y a 17 qui n'en ont pas.
05:30
Donc nous avons demandé une évaluation globale de ces ministères
05:33
pour voir ce qui se va coûter à l'État.
05:36
Et ce travail est en train d'être fait, et je pense que les techniciens sont au travail.
05:39
Et nous, nous avons simplement tendu la main.
05:41
On attend qu'on y mette ce que nous avons demandé.
05:53
Je pense qu'une telle appréciation n'est pas nouvelle dans notre pays.
05:56
Moi-même qui suis devant vous, j'ai conduit la plus grande grève,
06:00
puisqu'elle était transversale dans notre pays en 2016 et 2017.
06:04
Et les mêmes propos nous ont été attribués.
06:06
Je pense qu'on nous a taxés de tous les noms d'oiseaux.
06:10
Et on a même dit que nous étions manipulés.
06:12
Donc ça, ce n'est pas nouveau.
06:14
Et même plus loin dans l'histoire de notre pays, dans les années 80,
06:17
le président Oufo Bouani aussi avait traité nos aînés
06:20
d'être manipulés par Kadhafi, par la Russie, etc.
06:23
Donc ça, ça fait partie, n'est-ce pas, du discours des hommes politiques en général.
06:28
Et ça, ça ne nous émet nulle guerre.
06:32
Ce qu'il faut noter, c'est que, est-ce que la préoccupation est légitime ?
06:35
Oui, elle est légitime parce qu'elle touche à une frange importante de la population des travailleurs.
06:40
Est-ce que, je dirais, l'adhésion à cette demande la montre bien
06:45
que c'est une préoccupation à prendre en compte ?
06:47
Et au niveau de l'opinion, on voit qu'il y a des députés, des journalistes,
06:50
tout le monde trouve que c'est nécessaire d'attribuer une prime aux enseignants,
06:55
particulièrement parce qu'ils sont là où l'État n'est pas.
06:58
Ils sont là où il n'y a pas de lumière. Ils sont là où il n'y a pas de route.
07:01
Et donc ça, je pense qu'au plan de la légitimité, de la justification de cette revendication,
07:06
il n'y a rien à dire. Et c'est ce qu'il faut regarder.
07:08
Sinon, la question politique, elle n'est pas nouvelle.
07:10
Tous les régimes, moi j'ai fait grève sous tous les régimes,
07:12
y compris même le régime militaire de Robert Ndiaye.
07:15
J'étais dans la grève qui a demandé le décrochage.
07:18
Nous avons été reçus chez le général Ndiaye.
07:20
En 2000, il nous a même menacé de nous arrêter, mais nous avons continué à nous battre.
07:25
Donc les enseignants sont des gens engagés.
07:27
Il faut prendre en compte ce qu'ils demandent et apporter des réponses.
07:30
Donc ces qualificatifs et ces appréciations-là, je pense, ne sont pas nouvelles.
07:35
Et il faut s'en défaire pour regarder le fond du débat, s'il est le plus important.
07:40
Je pense. Les camarades, nous les connaissons.
07:42
Ils sont issus de nos organisations.
07:44
Ils ne sont manipulés par quiconque.
07:47
Ils sont justement manipulés par la faim, par la volonté de voir leurs conditions s'améliorer.
08:01
Je vous remercie.
08:02
Je suis d'ailleurs membre de ce comité parmi les huit syndicalistes qui ont été nommés dans ce comité consultatif.
08:08
Pour nous, le comité consultatif est un organe important.
08:11
Parce que pour comprendre le contexte, il faut savoir que dans le dispositif de la trêve sociale,
08:16
nous avons des organes à la base qu'on appelle les comités sécuritaires de discussion,
08:20
qui ont pour mission de faire en sorte que le débat se fasse au niveau local.
08:25
Parce que ce que nous avons observé lors de la première trêve sociale,
08:28
c'est que ce sont les secteurs d'activité qui ont perturbé, comme c'est le cas aujourd'hui, la trêve sociale.
08:34
Donc nous avons mis en place un dispositif pour que le débat se fasse dans les ministères.
08:38
C'est vrai, il est arrivé que certains ministères ont mis du temps à mettre en place des comités sectoriels.
08:43
Et même quand ils les ont mis en place, le dialogue n'a pas été productif.
08:46
Les camarades ont eu l'impression que c'était du dilatoire.
08:49
Donc ça, ça donne le sentiment qu'on veut les tourner en rond, les mener en bourrique,
08:52
pour attendre des années et des années.
08:54
Donc ça, c'était le premier dispositif.
08:56
Le deuxième dispositif, c'est le comité consultatif de la fonction publique,
08:59
qui dans l'accord devait être mis en place depuis le 30 mars,
09:03
depuis le 31 avril, pardon, je pense, le 31 avril 2023.
09:09
Vous voyez que ce comité a mis du temps aussi à être mis en place.
09:13
Cela a laissé du mou et la place à tous ceux qui n'avaient pas confiance au dispositif.
09:19
Donc c'est seulement il y a deux semaines que ce comité consultatif a été mis en place.
09:23
Donc il a mis du temps et ça a donné le sentiment qu'il y avait un problème.
09:27
Parce que les comités sectoriels traitent uniquement des questions de gouvernance,
09:31
des questions qui n'ont pas d'impact financier.
09:34
Et c'est le comité consultatif qui est chargé de regarder toutes les questions à caractère financier,
09:38
de donner des avis, des analyses, des commentaires et de faire des propositions au gouvernement.
09:43
Donc cet organe central-là a mis du temps à être mis en place et je pense que cela peut être…
09:49
Et à la fin, n'est-ce pas, en haut du processus, il y a le comité de suivi de la trêve sociale qui est logée à la primature,
09:55
qui est chargé de veiller sur tous les organes et voir si tous les acteurs jouent leur rôle.
10:01
Ce comité d'ailleurs n'a pas encore été mis en place à ce jour.
10:03
Donc tout le dispositif de la trêve sociale n'a pas encore été mis en place.
10:07
Il est donc normal que certains acteurs estiment que leurs préoccupations sont laissées pour compte
10:11
parce qu'ils n'ont pas les cadres nécessaires pour qu'on en parle.
10:14
Donc pour nous, le comité consultatif, même s'il vient un peu tard, est une bonne chose
10:19
parce que c'est un comité qui va nous permettre de régler les questions importantes à caractère financier qui touchent la vie des fonctionnaires.
10:26
Et ce comité-là, pour nous, il va donc travailler sur la question de la prime, sur la question de la grille salariale,
10:35
l'indice référentiel et toutes autres questions qui pourraient lui être mises à disposition par les acteurs que nous sommes.
10:41
Donc je pense que c'est important parce que tout dialogue social a besoin de cadres de discussion.
10:46
C'est comme pour les footballeurs. On ne peut pas jouer au football en dehors des stades.
10:51
Et il faut donc des bonnes pelouses.
10:53
Et nous aussi, en tant qu'acteurs du dialogue social, on a besoin de bonnes pelouses,
10:56
c'est-à-dire des cadres de discussion qui peuvent nous donner l'opportunité de nous exprimer,
11:00
de faire le débat pour arriver à des résultats, des accords qui vont être appliqués.
11:04
Donc c'est un bon cadre que nous saluons et dans lequel nous sommes fiers d'être
11:08
et nous pensons que nous allons arriver à des solutions qui sont bonnes pour l'ensemble du corpus des fonctionnaires.
11:25
Je salue ces retombées parce que je suis un acteur, je ne suis pas un spectateur.
11:30
Je suis demandeur de certains acquis dont vous avez parlé.
11:34
Et je pense que depuis 2017, la plateforme nationale que je dirige a permis de changer le paradigme du dialogue social en Côte d'Ivoire,
11:43
a apporté beaucoup à la paix sociale en Côte d'Ivoire.
11:46
Et donc nous sommes très heureux que le gouvernement ivoirien ait compris la nécessité de maintenir cette architecture
11:53
et les résultats auxquels nous sommes parvenus.
11:55
C'est d'ailleurs pour ces résultats-là que nous sommes confiants sur l'avenir de la demande actuelle qui est exprimée.
12:00
Le président de la République a fait beaucoup pour les travailleurs depuis son avènement.
12:04
Il a débloqué les avancements, il a réglé le problème du stock des arriérés, le problème des bonifications indicielles,
12:09
il a récruté des journaliers, il a réglé la question de la retraite, ce qui n'était pas une préoccupation.
12:14
Et comme vous venez de le dire, il a fait ce que vous avez indiqué.
12:17
Pour nous, c'est très grand et voilà pourquoi nous le faisons confiance et nous savons qu'il va encore régler la question de la prime.
12:24
C'est ce qui nous rend confiants, c'est les résultats que vous venez d'indiquer.
12:27
Parce que nous sommes témoins et acteurs de ces acquis.
12:40
Pour nous, nous donnons tout le temps nécessaire.
12:42
C'est vrai que nos camarades nous mettent la pression pour que cela se passe le plus tôt.
12:46
Mais il faut laisser le temps au temps, le dialogue, c'est dans la patience qu'il donne des fruits.
12:52
Parce que si une partie se sent sous pression, elle peut ne pas être productive.
12:57
Donc en tant que négociateur qui a donné, n'est-ce pas, des résultats dans ce cadre-là,
13:04
nous pensons qu'il faut faire confiance aux acteurs et nous donner le temps nécessaire pour apporter des réponses.
13:09
Parce que la question, comme je l'ai dit, elle n'est plus sectorielle.
13:13
Elle concerne toutes les catégories de fonctionnaires qui n'ont pas de prime.
13:18
Donc ça demande une large évaluation de la situation avec exhaustivité et également une évaluation financière
13:26
qui pourra donc laisser le temps au gouvernement pour qu'il puisse mettre en route les solutions nécessaires.
13:31
Donc pour nous, en tant qu'acteurs habitués au dialogue social,
13:34
en général, il ne faut pas aller au dialogue avec des a priori, avec des fermetures.
13:38
Il faut avoir un esprit totalement ouvert, être optimiste, faire confiance au partenaire
13:42
et, n'est-ce pas, jouer sa partition quand c'est là, c'est nécessaire.
13:45
Donc voilà, il peut être confiant. Nous savons que nous aurons la prime quand c'est le gouvernement seul qui peut nous le dire.
13:50
Nous sommes convaincus que nous aurons la prime parce que la volonté populaire s'est exprimée.
13:55
Et en général, quand nous sommes solidaires et que nous demandons fortement quelque chose, nous l'avons.
13:59
Et deuxièmement, parce que le président a montré qu'il peut donner et c'est un père qui donne qu'on demande.
14:04
Donc nous sommes confiants avec ces éléments-là que la prime sera octroyée.
14:08
Mais à quel moment ça, je ne peux pas vous le dire.
14:10
Mais l'appel que je voudrais lancer à nos camarades, c'est toujours de nous faire confiance.
14:14
Le mouvement syndical est une science.
14:18
C'est une science et j'ai toujours dit qu'après l'action, il faut passer à la réflexion
14:23
et aboutir à des propositions concrètes, argumentées, soutenables.
14:27
Le syndicalisme doit être plus brillant que, je dirais même, les acteurs de l'administration.
14:32
Il doit être plus pertinent que les gouvernants parce que devant les dossiers techniques, il doit être à la hauteur.
14:40
Et je pense qu'après l'action aujourd'hui, nos camarades doivent nous laisser le temps de travailler techniquement les dossiers
14:45
pour que nous soyons prêts pour les débats qui vont venir.
14:48
Donc je leur demande de nous faire confiance, de maintenir l'apaisement qu'on vient d'obtenir avec la fin de la grève
14:54
et de laisser le temps au temps et d'être patients pour que nous puissions obtenir ce à quoi nous avons le droit.
15:00
Au gouvernement, c'est également de faire confiance aux acteurs syndicaux que nous sommes
15:03
et de donner toute la place aux acteurs pour qu'ils jouent leur rôle.
15:07
Parce que le dialogue social, il doit faire en sorte que chacun se sente, n'est-ce pas, à l'aise.
15:14
C'est pourquoi nous lançons un appel au gouvernement en lui demandant, de sur soi, aux mesures de rétorsion, n'est-ce pas,
15:20
les sanctions, ponctions qu'il veut exercer après les trois jours de grève.
15:24
Nous pensons que ce ne serait pas une bonne chose.
15:27
Il faut qu'il fasse preuve, n'est-ce pas, de mensultude pour que nos camarades comprennent le sens du dialogue
15:34
et le sens du pardon exercé ici par le gouvernement.
15:37
Donc voilà un peu les appels que je voudrais lancer en vous disant merci pour cette opportunité.
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