Boris Vallaud raconte son écœurement de la « politique politicienne » et de la « dictature de l'urgence médiatique où il faut prendre parti ». « La politique me fascine autant qu'elle me dégoûte », écrit-il dans son ouvrage « En permanence. Ces vies que je fais miennes ». Ses amis au PS le pressent de se positionner dans la bataille pour la direction du parti face à Olivier Faure, voire pour l'Élysée.