Invitée à travailler sur le sport à l’occasion des jeux olympiques 2024 dans le cadre d’une résidence de création, Violaine Lochu interroge cette pratique comme zone d’empowerment et de collectivité. Portant une attention particulière aux sons, gestes et rites entourant le sport contemporain, l’artiste transpose son expérience au sein de différents clubs sportifs, dans une fiction en s’inspirant des arts martiaux. Faisant vivre une communauté de vocalistes de combat fictive au sein de la galerie, cette dernière se transformera en une vaste installation dans laquelle se déploieront performances, pièces sonores, vidéos et dessins-costumes.