« Il y aura du sang sur les murs » : en coulisses, les « cocus » de Barnier aiguisent leurs lames. « Comme beaucoup d'entre vous, j'ai les doigts qui fourmillent… » se délectait Marine Le Pen en début de semaine devant les députés du Rassemblement national, faisait référence à une possibilité d’appuyer sur le bouton nucléaire : celui de la censure.Ainsi va le gouvernement de Michel Barnier, contraint de composer avec un chantage assumé et une menace permanente de voir sa date de péremption se précipiter.