La surprise du chef. Adrien Rabiot est arrivé lundi soir en Provence pour s'engager avec l'OM. Libre de tout contrat après la fin de son bail de cinq saisons à la Juventus Turin, l'ancien Parisien a pu toucher du doigt l'effervescence provoquée par l'annonce de sa signature chez les supporters. Plusieurs centaines d'entre eux ont fait le déplacement jusqu'à Marignane, patientant longuement pour saluer le "Duc", son surnom, à sa descente d'avion.
Escorté par la sécurité olympienne, Rabiot (29 ans) a pris le temps de les saluer et de dire quelques mots, non sans avoir droit à son premier "Aux Armes" et à une belle salve de fumigènes.
Il était 20h45, ce lundi, quand Adrien Rabiot est sorti du bâtiment de l'aviation générale dans un vacarme digne des grandes recrues. Son vol privé s'était posé quelques poignées de minutes auparavant sur le tarmac de l'aéroport de Marignane. Accueilli par Fabrizio Ravanelli et accompagné notamment de sa mère Véronique, qui gère ses intérêts depuis le début de sa carrière, le milieu international de 29 ans a pris un véritable bain de foule dans la lumière orange des fumigènes, dans la fumée et les chants à la gloire de l'OM, à la sienne et contre le PSG.
Formé à Paris, le "Duc de Boulogne" est sur le point de devenir un Olympien. Une perspective qui ravit très globalement les fidèles du Vel'. Parmi les quelque 400 supporters présents lundi soir, certains faisaient le pied de grue depuis près de 4 heures, le long des barrières érigées à la sortie du bâtiment de l'aviation générale.
"Il va apporter de l'expérience et ce côté technique, une complémentarité avec (Pierre-Émile) Hojbjerg. Ça ne me dérange pas qu'il soit ancien parisien, on en a déjà eu par le passé, comme (Gabriel) Heinze ou Lorik Cana", posait Grégory, avec sa compagne Audrey, arrivés les premiers sur place en provenance de Saint-Barnabé. Avant de monter en puissance : "Je pense qu'on va être champion."
Habitué des arrivées à l'aéroport et des abords de la Commanderie, Lucas, 19 ans, avait pris soin de déplier son siège de camping pour s'installer aux premières loges. "On a hâte qu'il signe, souriait-il. Le niveau du joueur fait passer l'éponge (sur le fait qu'il a porté le maillot du PSG, Ndlr). On espère que ça va nous apporter beaucoup de victoires et de stabilité."
Arrivés à bord d'une voiture immatriculée 75, parce qu'elle a été "achetée à Paris", ces Aubagnais ont mis, aussi, un point d'honneur à venir souhaiter la bienvenue à l'ancien milieu de la Juventus, parti libre. "Même si c'est un ancien Parisien, on est content, assure Éric, 24 ans, flanqué de ses deux petits-cousins Théo et Calvin. On va voir. S'il joue bien, ça va le faire. S'il arrive à faire sa place, ça peut bien se passer avec Hojbjerg au milieu. C'est à lui de faire ses preuves, il est grand hein !"
Escorté par la sécurité olympienne, Rabiot (29 ans) a pris le temps de les saluer et de dire quelques mots, non sans avoir droit à son premier "Aux Armes" et à une belle salve de fumigènes.
Il était 20h45, ce lundi, quand Adrien Rabiot est sorti du bâtiment de l'aviation générale dans un vacarme digne des grandes recrues. Son vol privé s'était posé quelques poignées de minutes auparavant sur le tarmac de l'aéroport de Marignane. Accueilli par Fabrizio Ravanelli et accompagné notamment de sa mère Véronique, qui gère ses intérêts depuis le début de sa carrière, le milieu international de 29 ans a pris un véritable bain de foule dans la lumière orange des fumigènes, dans la fumée et les chants à la gloire de l'OM, à la sienne et contre le PSG.
Formé à Paris, le "Duc de Boulogne" est sur le point de devenir un Olympien. Une perspective qui ravit très globalement les fidèles du Vel'. Parmi les quelque 400 supporters présents lundi soir, certains faisaient le pied de grue depuis près de 4 heures, le long des barrières érigées à la sortie du bâtiment de l'aviation générale.
"Il va apporter de l'expérience et ce côté technique, une complémentarité avec (Pierre-Émile) Hojbjerg. Ça ne me dérange pas qu'il soit ancien parisien, on en a déjà eu par le passé, comme (Gabriel) Heinze ou Lorik Cana", posait Grégory, avec sa compagne Audrey, arrivés les premiers sur place en provenance de Saint-Barnabé. Avant de monter en puissance : "Je pense qu'on va être champion."
Habitué des arrivées à l'aéroport et des abords de la Commanderie, Lucas, 19 ans, avait pris soin de déplier son siège de camping pour s'installer aux premières loges. "On a hâte qu'il signe, souriait-il. Le niveau du joueur fait passer l'éponge (sur le fait qu'il a porté le maillot du PSG, Ndlr). On espère que ça va nous apporter beaucoup de victoires et de stabilité."
Arrivés à bord d'une voiture immatriculée 75, parce qu'elle a été "achetée à Paris", ces Aubagnais ont mis, aussi, un point d'honneur à venir souhaiter la bienvenue à l'ancien milieu de la Juventus, parti libre. "Même si c'est un ancien Parisien, on est content, assure Éric, 24 ans, flanqué de ses deux petits-cousins Théo et Calvin. On va voir. S'il joue bien, ça va le faire. S'il arrive à faire sa place, ça peut bien se passer avec Hojbjerg au milieu. C'est à lui de faire ses preuves, il est grand hein !"
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00:0027 octobre, on se donne rendez-vous, allez pourquoi pas, passe décisif de Rabiot, tu
00:06butes, de Greenwood, et c'est carré, tout va bien.
00:09Honnêtement Rabiot, personne n'y pensait et à mon avis je pense qu'il va faire du
00:14bien.
00:15Un tel joueur international qui est à l'OM comme ça, gratuit, c'est beau, ça fait
00:21plaisir.
00:22Je suis choqué, je suis heureux, je suis choqué, je suis content, très content, très content
00:27avec un père méchant, méchant de joueur, belle-père, très content, gondombière
00:31dehors malheureusement, dommage mais bon.
00:34Il est passé par la Juventus, 6 ans qu'il est resté à la Juventus, titulaire, voilà,
00:40je pense que ça va le faire avec nous, avec un milieu qu'on a cette année, je pense
00:43que ça peut que le faire.
00:45Peut-être qu'il nous joue la Ligue des champions pour l'année prochaine, on va tout casser.
00:49Ça peut être un ancien parisien et tant qu'il mouille le maillot avec nous, on s'en
00:54fout, il y en a plein qui sont passés par Paris.
00:56Exactement, ils l'ont jeté, on le récupère, c'est bon, c'est parfait.
00:59Quand il a quitté Paris, il nous a fait un joli message en disant que la ferveur du
01:03vélodrome c'était autre chose qu'à Paris, donc nous ça ne nous dérange pas, à partir
01:07du moment où on dit qu'il faut mouiller le maillot sur le terrain, il n'y aura zéro
01:11problème avec lui, 100%.
01:13Tout le monde dit qu'il est fan de Marseille quand il était jeune, moi ça me fait plaisir,
01:18si un joueur mouille le maillot, il peut avoir joué n'importe où, s'il mouille, ça me
01:23va.
01:24Après, il y en aura d'autres, donc ce n'est pas trop un problème.