Rumeurs transphobes sur Brigitte Macron : deux femmes condamnées pour diffamation. Paris/France - 12 Septembre 2024
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00:00Musique d'ambiance
00:16Musique d'ambiance
00:47Reculez s'il vous plaît, sinon personne ne rentre.
00:49C'est très simple, reculez.
00:51Ne restez pas dans la salle.
00:52Madame, c'est français ?
00:54Reculez, reculez, reculez, reculez.
00:56Allez-y.
00:57Monsieur dame, reculez s'il vous plaît.
00:59Allez-y, reculez s'il vous plaît.
01:00Allez, de l'autre côté.
01:02Monsieur dame, reculez s'il vous plaît.
01:05Allez, reculez s'il vous plaît.
01:07Allez, allez.
01:08Reculez s'il vous plaît.
01:10Reculez s'il vous plaît.
01:11Allez, allez.
01:12Reculez s'il vous plaît.
01:13...
01:39Eh bien là, c'est le verdict du fameux procès de Brigitte et Jean-Michel Trenu
01:46contre Natacha Ray et Amandine Roy
01:49pour une affaire que la presse d'État appelle de transphobie
01:54et qui est en réalité une affaire d'une obscure accusation
01:59d'avoir qualifié des documents d'État civil de flots,
02:04quelque chose comme ça.
02:05Mais, voilà, cette affaire a été instrumentalisée
02:09pour qu'on la qualifie dans la presse d'État de la Macronie
02:12et des milliardaires comme une affaire de transphobie,
02:16ce qui n'est pas le cas.
02:17Donc, on attend le verdict.
02:19Je ne sais pas les termes judiciaires.
02:21Est-ce que Amandine Roy et Natacha Ray vont être relaxés ?
02:24Je ne sais pas si on dit relaxés.
02:26Est-ce qu'il y aura une absence de jugement, etc.
02:29Et là, on s'amusera de ce que dira la presse
02:31qui a parlé de transphobie alors que ce n'est pas le cas.
02:34Et puis, s'il y a une condamnation,
02:35de toute façon, on sait qu'il y aura appel.
02:37De toute façon, je crois que dans les deux cas,
02:38il y aura peut-être appel.
02:39Mais, voilà.
02:40Donc, il y a beaucoup plus de monde que lors du procès
02:42qui a eu lieu le 19 juin, si mes souvenirs sont bons.
02:46Et là, normalement, ça doit être assez rapide
02:48puisque le verdict, ça ne dure pas aussi longtemps
02:51que le procès qui avait duré 6 heures
02:53et qui avait été précédé d'un autre procès.
02:55En tout, ça avait duré à peu près 1h30.
02:57Alors, on était sortis à 11h30 du soir.
02:59Voilà.
03:00Donc, tout le monde est là.
03:01Il y a les avocats.
03:02Il y a beaucoup plus de journalistes que la dernière fois.
03:08Tous les grands brigitologues sont là.
03:10D'ailleurs, je peux annoncer en exclusivité sur ta chaîne
03:13qu'il y a un grand congrès secret,
03:15donc tu ne le diras pas,
03:16de brigitologie qui aura lieu cet après-midi
03:18avec les plus éminents brigitologues de la Terre.
03:21On annonce la venue de Xavier Poussard
03:24qui doit venir dans une voiture.
03:26Notre raban, je lui ai envoyé M. Poutine discrètement.
03:30Il sera habillé en femme pour franchir la frontière
03:32et échapper aux milices de la Macronie.
03:36Candace Owens est annoncée.
03:38Voilà.
03:40Claude Eifframerie est là.
03:41Donc, on va faire un congrès de brigitologie.
03:44Les actes seront publiés
03:46pour l'édification des petits et des grands
03:48de France et de Navarre.
03:50Voilà.
03:52Merci.
03:55Honneur aux invités.
04:00Honneur aux invités.
04:13Bonjour.
04:14Je suis François d'Anglehans,
04:16l'avocat de Natacha Ray.
04:18Il s'est produit la même pantalonnade
04:23qu'à la cour d'appel de Caen,
04:25à savoir que Natacha Ray a été déclarée coupable
04:29en violation de la loi sur la presse
04:32puisque les discours qui étaient poursuivis,
04:36aucun des 18 discours qui étaient poursuivis
04:40n'imputent un fait précis
04:43ni à Mme Brigitte Tronieux
04:46ni à M. Jean-Michel Tronieux.
04:49C'est une situation extravagante.
04:52Les condamnations sont relativement faibles,
04:57mais je vais aller tout de suite faire appel.
05:00La condamnation, c'est 500 euros d'amende avec sursis.
05:04Et puis, il faut verser solidairement
05:088000 euros de dommages et intérêts
05:11à Mme Brigitte Tronieux, épouse Macron,
05:15et puis 5000 euros de dommages et intérêts
05:19à M. Jean-Michel Tronieux.
05:25Et puis 1500 euros pour les frais d'avocat
05:29à chacune de ces deux personnes.
05:36Nous sommes dans une situation équivalente
05:40à ce qui s'est passé devant la cour d'appel de Caen
05:44puisque, devant la cour d'appel de Caen,
05:47Natacha Ray a été déclarée coupable
05:50au visa de 7 passages
05:53qui ne sont pas des passages qu'elle a prononcés,
05:56qui ne sont pas des discours qu'elle a prononcés,
05:59mais des discours qui ont été fabriqués
06:02par les partis civils au moment
06:05de la rédaction de la citation à comparette.
06:08Donc, nous sommes dans une configuration,
06:11en tout cas, à la cour d'appel de Caen,
06:14dans une configuration d'escroquerie au jugement.
06:17Et Natacha Ray a fait appel
06:20pour informer un pourvoi en cassation
06:23contre la décision de la cour d'appel de Caen.
06:26L'affaire est pendante devant la cour de cassation
06:29et le rapporteur qui s'occupe du dossier,
06:32qui s'appelle Mme Florence Merloz,
06:35qui, je crois, sauf erreur de ma part,
06:38est originaire de Savoie,
06:41comme le nouveau Premier ministre Michel Barnier,
06:44eh bien, cette conseillère rapporteure
06:47que la citation doit être jetée à la poubelle
06:50sous prétexte que Natacha Ray n'aurait pas signé son mémoire,
06:53ce qui est totalement faux,
06:56et sans avoir analysé ses moyens de cassation.
06:59Donc, Natacha Ray a décidé
07:02de récuser la conseillère,
07:05la conseillère Florence Merloz,
07:08et puis elle va engager
07:11une procédure, sur citation directe,
07:14une procédure pour escroquerie au jugement,
07:17puisque, comme je vous le dis, devant la cour d'appel
07:20de Caen, elle a été déclarée
07:23coupable, non pas sur des discours
07:26qu'elle a prononcés, mais sur des discours
07:29qui ont été fabriqués par les prétendus
07:32partis civils, qui font partie
07:35des personnes
07:38qui sont en relation
07:41avec la famille de Brigitte Tronieux,
07:44les épousières.
07:47Je crois qu'à l'audience, personne,
07:50ni M. Jean-Michel Tronieux,
07:53ni Mme Brigitte Tronieux ne sont venus,
07:56et petit détail qui est intéressant,
07:59c'est que, devant la cour d'appel de Caen,
08:02Natacha Ray avait cité comme témoin
08:05Mme Brigitte Tronieux,
08:08épouse Macron, et M. Jean-Michel Tronieux.
08:11Ces deux personnes ne sont pas venues,
08:14et en principe, dans ce genre de situation,
08:17le président de la cour d'appel de Caen avait
08:20l'obligation de renvoyer l'affaire et
08:23de faire comparaître devant la cour d'appel de Caen
08:26ces deux personnes par la force
08:29publique. Mais pour ces personnes, apparemment,
08:32il existe des passe-droits, on peut dire
08:35qu'il s'agit d'une justice républicaine,
08:38mais on peut presque dire une justice de francs-carts
08:41républicains, puisque les lois ne sont plus
08:44appliquées dans ce pays.
08:47Parce que j'ai envie d'avoir foi dans la justice de mon pays,
08:50j'ai envie d'avoir foi dans mon pays tout court.
08:53Et vous ne l'avez plus, j'imagine.
08:56En ce moment, c'est un petit peu compliqué.
08:59Mais de toute façon, le but, c'est de respecter les procédures,
09:02on ne pourrait plus sortir, par exemple, la fille de Mitterrand
09:05si on avait été en 2024.
09:08Je suis encore en vie, mais c'est parce que
09:11j'ai fait en sorte de rester en vie.
09:14Je ne suis pas suicidaire, mais je me suis arrangée pour que ça ne fonctionne pas.
09:17On va dire ça comme ça.
09:20Ce que je trouve dommage, c'est que moi, à la base,
09:23je n'ai jamais prétendu être journaliste.
09:26J'ai jamais prétendu être journaliste,
09:29j'ai jamais approprié le travail de Natacha Ray,
09:32ni plus tard de Xavier Poussard et des autres personnes qui ont tiné.
09:35Jamais, je ne me le suis permis.
09:38Moi, j'ai juste ouvert ma chaîne, qui était modeste à l'époque,
09:41à quelqu'un pour qu'elle puisse exposer son travail.
09:44Donc, ça n'avait aucune connotation de Mitterrand.
09:47C'était juste de la générosité, en fait,
09:50de la charité, de la générosité.
09:53Voilà comment ça se passe en France.
09:56Il y a d'autres choses qui se sont passées qui sont pires depuis.
09:59Je ne suis pas étonnée.
10:02Je trouve ça dommage.
10:05J'aurais préféré ressortir de ce tribunal en étant fière
10:08et reconnaissante en me disant que la justice a fait le droit.
10:11Bon, on va continuer.
10:14C'est la première mi-temps, le match n'est pas fini encore.
10:17On va avoir espoir.
10:20Non, puisqu'ils s'imaginent qu'on va chialer et faire carpette.
10:23Dernière chose.
10:26On m'a fait la reproche la dernière fois de ne pas avoir évoqué
10:29maître Enoki en disant maître
10:32et d'avoir par cela manqué de révérence
10:35et de la politesse élémentaire dans un tribunal.
10:38J'ai commencé par saluer maître Enoki en disant
10:41bien maître Enoki, les yeux dans les yeux.
10:44Il a fait exprès de m'ignorer avec mépris.
10:47Alors, côté petite leçon de morale, on verra ça plus tard.
10:51Bonjour à tous.
10:54Aujourd'hui, c'était le délibéré.
10:57C'est-à-dire que le 19 juin, ça a été assez prolongé
11:00parce qu'il y avait eu d'autres affaires avant.
11:03Le 19 juin, ça a duré jusqu'à 23 heures.
11:06Mais en ce qui concerne les délibérés, sauveur de ma part,
11:09c'est une tradition et non une obligation.
11:12On commence par les verdicts.
11:15Je savais qu'on passerait dans le début.
11:18Mais ça, c'est juste un détail organisationnel.
11:21Et en ce qui concerne les décisions,
11:24c'est carton plein, mais contre nous.
11:27Solidairement, selon l'expression juridique utilisée.
11:33On nous accuse d'avoir diffamé.
11:36On nous demande des indénisations,
11:39des dommages d'intérêt.
11:42Toutes les questions de nullité qui ont été soulevées,
11:45qu'elles soient constitutionnelles ou procédurales.
11:48Je m'excuse pour le vocabulaire, j'ai peut-être pas le bon.
11:51Tout ça, ça a été rejeté.
11:54Au carton plein, ils nous ont mis la totale.
11:57Voilà.
12:05C'est bizarre, hein ?
12:08Oh, c'est bizarre.
12:11Je ne dis rien d'autre.
12:14De toute façon, la décision était déjà prise avant.
12:17Puisque quand nous sommes sortis tous ensemble le 19 juin,
12:20il a été décidé dès la sortie du tribunal le 19 juin
12:23que de toute façon, s'il y avait condamnation,
12:26nous ferions appel.
12:29Je ne suis pas surprise.
12:32J'aurais préféré être agréablement surprise.
12:35Mais je ne suis pas surprise, nous ne sommes pas anéantis.
12:38La décision de l'appel a déjà été prise.
12:41Est-ce que vous observez ça aux décisions que nous allons prendre conjointement
12:44avec nos avocats respectifs pour pouvoir déposer les documents officiels ?
12:47Non, c'est-à-dire que c'est difficile,
12:50étant sur un dossier qui est aussi vide,
12:53aussi enflé de vide,
12:56c'est difficile de ne pas y voir une orientation ou des pressions.
12:59Parce que ça peut être aussi quelque chose qui relève de la pression.
13:02Je ne vais pas condamner d'avance,
13:05moi, de mon côté, la justice.
13:08Ça peut être une question de pression.
13:11Mais c'est difficile, sur un dossier aussi creux,
13:14de se retrouver avec une condamnation totale.
13:17Aujourd'hui, je suis là pour soutenir
13:20les deux femmes qui ont été accusées à tort,
13:23puisqu'elles ont mené une enquête
13:26qui a été datée, documentée.
13:29C'est un vrai travail de recherche.
13:32On n'a pas la réponse.
13:35On n'a pas traité le vrai fond du sujet.
13:38Nous voyons bien que c'est pour cacher plusieurs méfaits.
13:41Bien sûr que ce fait-là va...
13:44Mais il faut quand même découvrir
13:47que le monde ne ressemble pas à ce qu'on croit.
13:50Il faut se méfier des apparences,
13:53parce que les apparences sont souvent très trompeuses.
13:56Aujourd'hui, si on arrive à soulever un peu
13:59cette poupée russe,
14:02ouvrir un peu cette boîte de Pandore,
14:05ça risque de nous démontrer dans quel monde réel
14:08la réalité, qu'on y vit.
14:11Mais pas celle qui est gérée par les médias,
14:14par les films, par la musique, par ce contrôle total.
14:17Le contrôle total, c'est même de faire passer
14:20du vert pour du bleu ou du bleu pour du vert.
14:23Aujourd'hui, on sait que tout est inversé.
14:26L'homme est devenu une femme, la femme est un homme.
14:29La gauche est devenue l'extrême droite.
14:32Tout est mélangé, nous perdons un peu les pédales.
14:35Il serait important que ce fait-là soit fait,
14:38parce qu'enfin, nous connaîtrons
14:41les tenants et les aboutissants
14:44de qui nous dirige.
14:47En fait, ça serait un peu balai-masque.
14:50Mais quelque part, je dois vous dire
14:53que c'est quand même balai-masque.
14:56C'est pas vrai, mais on vous le prouve quand même.
14:59Vous voyez, ça s'appelle une accusation inversatoire.
15:02C'est tout injuste et vous faites de la négation
15:05pour vous annoncer des choses.
15:08En fait, ils vous le font tout le temps,
15:11sur absolument tout.
15:14Tout est en langage inversé.
15:17Je suis là en espérant que vous vous rendez compte
15:20que nous sommes passés à un monde
15:24et que, oui, ces marionnettes nous emmènent
15:27vers une nouvelle forme de société.
15:30Il faut savoir que ça montre bien
15:33non seulement que Brigitte Macron
15:36ressemble quelque part à un certain culte
15:39qui est un mélange de l'homme et de la femme
15:42qu'on appelle Baal, la bête.
15:45Donc, mi-homme, mi-femme, à tête de bouc.
15:48On est dans ce temps-là.
15:52En fait, ceci est fait pour nous dévertir
15:55afin qu'on regarde...
15:58On appelle ça une opération espadon.
16:01C'est regarder qu'est-ce qui se passe là-bas
16:04afin d'installer beaucoup d'autres choses.
16:07En attendant que nous sommes tous fixés
16:10sur Brigitte est-elle Jean-Michel ou Brigitte,
16:13je pense que suite à tous les faits documentés,
16:16un travail de professionnel a été établi.
16:19La question est plus que posée
16:22et les réponses sont plus que claires.
16:25D'ailleurs, on ne les a pas attaquées là-dessus.
16:28En fait, c'est un aveu sans être un aveu.
16:31Je n'ai pas rentré dans d'autres détails.
16:34Par contre, ça permet de cacher toute la...
16:37Vous savez que je parle d'une manière mystique.
16:40Nous avons malheureusement la Reine Rouge
16:43et son armée qui sont en train d'être installées
16:47Ce procès n'est là que pour dissimuler
16:50ce qui se passe en France et dans toute l'Europe,
16:53voire à travers le monde entier,
16:56qu'est l'installation d'une nouvelle forme de société,
16:59un nouvel être humain et une nouvelle forme d'être
17:02où le mensonge règne et l'illusion.
17:05Je suis là afin d'apporter ma lumière,
17:08mon amour à toutes les personnes qui m'entourent
17:11et en espérant ne pas trop dire
17:14parce que ce n'est pas...
17:17Méfiez-vous des apparences.
17:20Parce que les gens, l'habit ne fait pas le moine,
17:23c'est pas parce que vous mettez...
17:26L'habit ne fait pas le moine.
17:29Aujourd'hui, on prend les anges pour des démons,
17:32les démons deviennent des anges, on le sait très bien.
17:35Aujourd'hui, ce procès révèle encore une fois,
17:38malgré tous les autres procès, on l'a vu, revu,
17:42l'histoire se répète toujours.
17:45C'est une histoire sans fin, basée sur le mensonge et l'illusion.
17:48Je vous remercie.
17:51Comme la politique d'aujourd'hui, nous allons vers un plan,
17:54un mal dont on ne prononce pas le nom.
17:57Courage à tous,
18:00parce que ceci peut aussi cacher
18:03d'autres rituels, on peut dire,
18:06d'autres méfaits qui sont tout aussi importants.
18:10C'est une illusion.
18:13C'est en fait l'histoire du sage
18:16qui va entre la lune et vous regarde le doigt.
18:39Sous-titrage Société Radio-Canada