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Olivier Faure : "Aucune personnalité du PS" n'entrera dans le gouvernement de Michel Barnier
France Inter
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06/09/2024
Olivier Faure, premier secrétaire du Parti socialiste, réagit à la nomination à Matignon de Michel Barnier, un "déni de démocratie", selon lui.
Plus d'informations : https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/l-invite-de-8h20/l-invite-de-8h20-du-we-du-vendredi-06-septembre-2024-9534977
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00:00
Le grand entretien d'Inter, ce matin, après la nomination de Michel Barnier à Matignon.
00:05
Vos questions, chers auditeurs ? Vos réactions au 0145 24 7000 ou sur l'application France Inter ?
00:12
Vous êtes déjà nombreux à vous interroger sur les conséquences de cette arrivée de Michel Barnier
00:18
à l'hôtel de Matignon au micro d'Inter ce matin.
00:21
Avec Marion Lourdes, nous recevons deux invités successivement.
00:25
Dans quelques minutes, ce sera la ministre démissionnaire Aurore Berger.
00:29
Mais d'abord, au micro d'Inter, le premier secrétaire du Parti Socialiste, Olivier Faure.
00:34
Bonjour.
00:35
Bonjour à vous.
00:36
Merci de répondre à nos questions.
00:37
Est-ce que vous avez des regrets ce matin ?
00:39
Vous avez bloqué Cazeneuve, vous vous retrouvez avec Michel Barnier.
00:44
Ali Baddou, cette fable, il va falloir l'assurer, arrêter de la propager.
00:48
Où avez-vous vu que le Parti Socialiste avait le pouvoir de nommer ou de bloquer qui que ce soit ?
00:53
Si c'était le cas, si le PS avait ce pouvoir-là, ce serait Lucie Cassez qui serait en ce moment à Matignon.
00:59
Et donc, il faut arrêter avec cette idée qui est répandue par le chef de l'État lui-même,
01:03
qui cherche à se déculpabiliser, à faire porter la responsabilité de cette nomination incongrue,
01:09
qui est un vrai déni démocratique, sur la gauche, comme si la gauche avait pu choisir
01:14
de renoncer au pouvoir pour préférer Michel Barnier.
01:18
C'est une absurdité.
01:19
Beaucoup d'auditeurs, indépendamment du président de la République,
01:21
mais beaucoup d'auditeurs qui vous interrogeront sur ce sujet précisément,
01:25
vous n'avez aucun sentiment de responsabilité ce matin, Olivier Faure.
01:29
Mais vous croyez vraiment que c'est moi qui nomme le Premier ministre ?
01:32
Est-ce que vous le pensez ?
01:33
Non, mais vous pouvez présenter les motions de censure.
01:36
Oui, bien sûr.
01:37
Et vous pouvez menacer de censurer, par exemple, Bernard Cazeneuve.
01:40
Ce n'est pas ce que nous avons fait.
01:41
Nous avons fait l'inverse, nous avons expliqué,
01:44
et c'est le sens de ce qu'a dit le bureau national du Parti Socialiste cette semaine,
01:48
que nous jugerions chaque Premier ministre qui serait nommé sur la base à sa nombre de points.
01:52
Donc vous n'auriez pas censuré Bernard Cazeneuve ?
01:55
Sans doute que nous ne l'aurions pas fait, puisque j'imagine qu'homme de gauche,
01:59
il serait venu en expliquant qu'il voulait abroger la réforme des retraites,
02:03
qu'il voulait augmenter le SMIC, qu'il voulait réindexer les salaires sur les prix,
02:07
et ainsi de suite, auquel cas nous ne l'aurions pas censuré, c'est une évidence.
02:09
Vous imaginez un seul instant que nous pourrions censurer une politique de gauche ?
02:13
Sans doute, ça veut dire sans aucun doute, ou ça veut dire peut-être ?
02:16
Mais ça dépendrait de ce que Bernard Cazeneuve obtiendrait.
02:18
Et la façon dont nous avons construit notre propre discours,
02:21
c'était de dire que nous mettions sous pression le chef de l'État,
02:24
parce que nous n'étions pas prêts à simplement cautionner un casting,
02:28
nous voulions savoir pourquoi faire.
02:29
C'est quand même la moindre des choses.
02:31
Nous avons été élus par des gens le 7 juillet.
02:33
Ils nous ont demandé des choses précises.
02:35
Ils ont demandé le pouvoir d'achat,
02:36
ils ont demandé à faire en sorte que les services publics fonctionnent,
02:39
ils ont demandé à ce qu'on puisse remettre ce pays debout.
02:42
Eh bien, ils n'ont pas demandé simplement à avoir des noms.
02:46
Ils veulent que derrière les noms, il y ait une politique qui soit conduite.
02:48
Et donc la meilleure façon, y compris de soutenir n'importe quel Premier ministre
02:52
qui serait arrivé à Matignon venant de la gauche,
02:55
c'était de continuer à porter ces exigences-là.
02:57
Sans exigences, ça n'a aucun intérêt.
03:00
Alors, Olivier Faure, Michel Barnier, c'est un homme de consensus.
03:03
Il est présenté comme un gaulliste social.
03:04
C'est lui qui a négocié le Brexit et l'épineuse
03:07
que la question de la frontière irlandaise, qui était quand même délicate.
03:10
Donc, c'est un homme de négociation.
03:13
Il dit qu'il fera preuve de beaucoup d'écoute,
03:15
qu'il faudra respecter tout le monde, tous les partis.
03:18
Pourquoi est-ce que, a priori, le Nouveau Front Populaire,
03:21
et donc vous, vous ne lui donnez pas sa chance,
03:23
pourquoi vous dites déjà que vous allez censurer son gouvernement ?
03:26
Mais tout simplement parce que c'est une trahison démocratique.
03:29
Comment ça ?
03:30
Mais tout simplement parce que vous avez des Français qui ont voté
03:33
et qui ont placé en tête le Nouveau Front Populaire.
03:36
Et vous avez maintenant un Premier ministre qui est issu du parti
03:39
qui a fait le score le plus faible.
03:41
Il a fait 6% et c'est lui maintenant qui va nommer le gouvernement.
03:44
Mais qui va gouverner avec tout le monde, en tout cas, c'est ce qu'il dit.
03:46
Mais gouverner avec tout le monde, quand il dit ça, à qui s'adresse-t-il en réalité ?
03:51
À la gauche ? Non, à l'extrême droite.
03:53
Dont il a très bien compris que sa survie dépendait d'elle.
03:56
Et donc, les clins d'œil ne sont pas tout à fait à l'endroit où vous indiquez.
04:00
Les clins d'œil, ils sont pour Marine Le Pen qui est celle qui, au fond,
04:03
a décidé de qui serait Premier ministre.
04:06
Puisqu'elle a dit que celui-là, elle ne le censurerait pas forcément.
04:09
Alors qu'elle l'avait dit pour tous les autres.
04:11
Mais l'entourage du Premier ministre fait savoir
04:14
qu'il a pris contact avec des personnalités de gauche.
04:17
Écoutez, il ne doit pas me considérer comme une personnalité de gauche
04:20
puisqu'il n'a pas contacté.
04:21
Dépêche AFP, ce matin, Olivier Faure, certaines personnalités de gauche
04:25
ont été contactées. D'autres échanges devraient suivre, y compris avec la France Insoumise.
04:30
Car Michel Barnier entend rassembler et respecter tout le monde.
04:33
Est-ce que vous prévoyez d'exclure toute personnalité du PS
04:36
qui rentrerait dans son gouvernement ?
04:38
Non mais attendez, je pense qu'aucune personnalité du PS
04:41
ne rentrera dans son gouvernement. Donc je n'ai aucun doute là-dessus.
04:45
Vous n'avez aucune preuve en tout cas.
04:47
Ce qui est assez étonnant, c'est ce que vous dites de Bernard Cazeneuve.
04:49
Quand on regarde le vote du bureau national du PS,
04:52
vous disiez qu'il y aurait une censure automatique.
04:55
Et ce n'est pas nous qui l'inventons.
04:57
Je cite le maire socialiste de Rouen, Nicolas Meyer-Rossignol,
05:01
qui déclarait la chose suivante.
05:02
« La gauche a préféré se draper dans la posture de l'intransigeance stérile
05:06
plutôt que de chercher des compromis utiles. »
05:09
Vous n'avez pas l'impression d'avoir refusé justement cette politique du consensus ?
05:13
Mais où avez-vous vu que le Parti socialiste avait parlé de censure automatique de Bernard Cazeneuve ?
05:18
C'est une fable totale.
05:19
C'était mardi soir au bureau national du PS.
05:22
Jamais le PS n'a dit ça.
05:23
Donc c'est quand même une fantaisie de votre part.
05:26
Mais je suis désolé de vous dire que ça n'a jamais été dit, ni écrit, ni prononcé.
05:30
Deuxième vote sur l'amendement de soutien à Bernard Cazeneuve
05:33
et la censure non automatique du groupe PS.
05:35
38 contre 33 pour amendement rejeté.
05:39
Ça y ressemble quand même.
05:40
Mais pas du tout.
05:41
Le texte, je ne sais pas, il faut qu'à un moment,
05:44
vous êtes journaliste, vous puissiez lire ce qui a été adopté.
05:47
Qu'est-ce qui a été adopté ?
05:48
Nous avons rappelé qu'ils étaient, en fait, les résultats du mois de juillet.
05:52
Là, je lis vraiment très spécifiquement ce sur quoi vous avez voté.
05:56
Moi, je vous dis de lire le texte qui a été adopté.
05:59
Le texte qui a été adopté, il dit précisément
06:02
que tout Premier ministre qui sera nommé sera jugé sur dix critères.
06:07
Et les dix critères sont des critères de fond.
06:08
La question n'est pas de savoir qui, mais de savoir pourquoi faire.
06:12
C'est la seule question qui nous intéresse.
06:13
Et c'est la seule question qui, en réalité, intéresse les Français.
06:16
Avoir quelqu'un de gauche.
06:18
Gabriel Attal était présenté comme quelqu'un de gauche.
06:20
Elisabeth Borne, comme quelqu'un de gauche.
06:22
Ça ne les a pas empêchés de mener une politique de droite.
06:24
Donc, la réalité, c'est que moi, je ne veux pas savoir simplement
06:27
qui va à Matignon, mais quelle politique il mène.
06:30
C'est quand même pas compliqué à comprendre.
06:32
Et c'est quand même fantaisiste de pouvoir à chaque fois raconter
06:35
que nous avons bloqué qui que ce soit.
06:36
Le PS n'a pas ce pouvoir et la responsabilité
06:39
incombe uniquement au chef de l'État qui s'est placé de lui-même
06:43
sous la coupe de l'extrême droite, puisque c'est désormais elle
06:45
qui est celle qui fait les rois ou les reines.
06:48
Mais c'est ça qui est étonnant, Olivier Faure.
06:49
Vous dites, on va se baser sur une politique.
06:51
En même temps, vous nous parlez de censure du gouvernement Michel Barnier
06:54
avant même qu'il ait fait son discours de politique générale.
06:56
Et pourtant, hier, Michel Barnier, il a promis de garder l'école comme priorité.
07:00
L'accès aux services publics qui est un de vos thèmes.
07:02
La sécurité au quotidien.
07:04
Il a parlé aussi de l'immigration.
07:06
Il promet des changements.
07:07
Il promet des ruptures.
07:08
C'est ce que vous souhaitez, une rupture avec la politique d'Emmanuel Macron.
07:11
Est-ce que vous ne le croyez pas ?
07:14
Moi, je souhaite une rupture, oui, mais pas une rupture pour aller plus à droite.
07:17
C'est ça que vous craignez ?
07:19
Mais ce n'est pas ce que je crains, là aussi.
07:21
Essayons de ne pas être tout simplement dans la spéculation.
07:25
Lisons, écoutons ce que disent les uns et les autres.
07:28
Michel Barnier, il n'est pas né hier.
07:30
Chacun l'a bien compris.
07:31
Il a donc des traces de son parcours et y compris de ce qu'il promeut.
07:35
Vous pensez à quoi, là ?
07:38
Je pense, par exemple, à ses votes passés
07:41
sur la dépénalisation de l'homosexualité,
07:44
sur le refus de rembourser l'IVG,
07:48
alors même que nous venons de nous-mêmes constitutionnaliser l'IVG.
07:52
Je pense aussi à ce qu'il dit sur l'immigration.
07:55
Je pense à ce qu'il dit sur les retraites.
07:57
En fait, lui, il n'est pas pour 64 ans, il est pour 65 ans.
07:59
Sur l'immigration, il veut même restreindre le droit d'asile,
08:03
restreindre les conditions d'arrivée pour le recoupement familial,
08:06
supprimer l'aide médicale d'État.
08:07
Franchement, est-ce que vous croyez que nous allons nous-mêmes
08:10
acquiescer à une telle politique ?
08:13
Je vois bien que le choix qui a été fait par le chef de l'État,
08:15
c'est de se mettre au barricentre des droites et de l'extrême droite.
08:19
Ça, c'est son choix, ça n'est pas le nôtre.
08:21
– Bonjour Alain et bienvenue sur France Inter.
08:24
– Oui. – Vous avez une question pour Olivier Faure.
08:27
– Bonjour Olivier Faure.
08:29
– Bonjour Alain.
08:30
– Vous avez un peu répondu déjà à tout ce que je souhaitais vous demander.
08:34
Moi, il me semble, vous avez un peu répondu déjà
08:37
avec des avancées, à mon avis, plutôt que de tomber sur Michel Barnier.
08:42
Il me semble que vous êtes aussi responsable de cette nomination
08:46
avec une intransigeance et des postures de parti,
08:50
alors qu'on avait quand même des avancées projet par projet
08:53
qui étaient possibles avec Bruno Cazeneuve sur le pouvoir d'achat,
08:57
sur les retraites, sur plein de choses.
09:00
Et donc, est-ce qu'il ne faudrait pas sortir un petit peu
09:03
des fonctionnements habituels des partis,
09:06
de cette intransigeance et de ces postures,
09:08
pour essayer d'avoir un peu une ouverture et justement de donner un peu,
09:13
de rendre un peu leur vote aux Français, aux Français de gauche
09:17
qui ont été majoritaires, les plus nombreux, pas majoritaires justement.
09:20
– Oui, les plus nombreux. – Voilà.
09:21
– Merci Alain pour votre intervention.
09:24
Vous voyez que ce ne sont pas seulement des fables de journalistes, Olivier Faure.
09:28
– Forcément, si vous le répétez antenne après antenne,
09:31
il est logique qu'il y ait des gens qui finissent par y croire.
09:33
Mais la réalité n'est pas celle-là.
09:34
Et donc, je le rappelle, je le répète,
09:37
si la gauche avait eu le pouvoir de décider à la place d'Emmanuel Macron,
09:41
elle aurait choisi Lucie Castex.
09:43
Maintenant, sur la question des compromis.
09:45
Moi, je suis d'accord pour des compromis.
09:47
Et d'ailleurs, c'est ce que nous avons répété tout l'été.
09:48
Nous sommes d'accord et je…
09:50
– Donc, les responsables ce matin, ce sont les journalistes ?
09:53
– Non mais attendez, ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit.
09:55
Je dis simplement qu'à force de répéter ce qui n'existe pas,
09:59
forcément, il y a des gens qui finissent par y croire.
10:01
Et qui finissent par se dire que peut-être vous avez des informations qu'ils n'ont pas.
10:04
L'information, c'est que moi, j'ai plaidé jusqu'à hier matin
10:07
pour que ce soit une personnalité de gauche qui soit au gouvernement.
10:10
Voilà, point.
10:11
Et donc, c'est tout à fait détestable d'entendre dire l'inverse.
10:17
J'ai plaidé jusqu'au bout pour que ce soit une personnalité de gauche qui soit à Matignon.
10:21
– Qu'est-ce qu'il va rester du nouveau Front populaire, Olivier Faure,
10:25
maintenant que Michel Barnier arrive au gouvernement ?
10:28
Est-ce que vous allez rester unis ?
10:30
Ou est-ce que les divisions vont enfin pouvoir s'afficher au grand jour
10:34
et chacun va reprendre le fil de sa ligne ?
10:37
– C'est impatient.
10:39
– Nous sommes impatients parce qu'il va bien falloir que vous agissiez et que vous preniez des décisions.
10:43
– En fait, la réalité, c'est qu'y compris, pourquoi on a pensé à Bernard Cazeneuve ?
10:48
Parce que c'est le Front populaire qui est arrivé en tête.
10:50
Et donc, si vous brisez le Front populaire,
10:53
la majorité relative à gauche, elle n'existe plus.
10:55
Et donc, si elle n'existe plus, alors le chef de l'État aura toute liberté pour dire
10:59
qu'effectivement, il a toutes les coups d'effranche.
11:02
Et moi, je ne souhaite pas donner les coups d'effranche au chef de l'État.
11:05
Je souhaite au contraire que le Front populaire puisse marquer sa volonté de changer,
11:10
de rompre avec la politique qui a été conduite pendant sept ans.
11:12
Ce que ne fera pas Michel Barnier.
11:14
– Merci Olivier Faure d'avoir été l'invité d'Inter ce matin.
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