Jannik Sinner avance en toute tranquillité à Roland-Garros. Celui qui pourrait devenir numéro 1 mondial cette année, voire à la fin du Grand Chelem parisien, n'a toujours pas perdu un set en trois matchs. Ce vendredi, le vainqueur de l'Open d'Australie n'a pas trembler face au robuste Pavel Kotov, le tombeur de Stan Wawrinka, 6-4, 6-4, 6-4, pour rejoindre les huitièmes de finale. Sans bruit, l'Italien de 22 ans retrouvera au tour suivant Corentin Moutet ou Sebastian Ofner.
00:00 Je suis content d'être dans la prochaine ronde. C'était un match difficile. Il est un très bon joueur. Je l'ai joué il y a peu. Il a changé quelques choses. Je suis content de l'avoir fait.
00:18 Je vais voir ce que je peux faire dans la prochaine ronde.
00:38 Je regarde le côté général. Je me sens bien au court de la journée. Je dois encore améliorer quelques choses.
00:54 Il est important de se reposer, surtout demain. Je dois être prêt pour la prochaine ronde. C'est un grand slam physique.
01:08 Je vais essayer de juger le moment positif. Je sais que ce sont des moments difficiles, mais il faut accepter et regarder le côté général.
01:24 - Tu te sens très bien sur le sol, surtout en ce qui concerne la dernière blessure de l'épaule. C'est probablement pas ton terrain préféré.
01:38 Est-ce que tu te sens bien ou mieux que dans le passé?
01:46 - Oui, j'ai travaillé sur certains mouvements sur le court. On peut les éviter un peu dans le gym.
01:56 Mais il faut y aller dans les matchs. Il faut se déplacer bien.
02:06 On a travaillé beaucoup pour être dans la position que je suis. Je suis content de savoir que je dois améliorer la forme physique pour la prochaine ronde.
02:22 Mais on verra ce que nous pouvons faire demain. Le reste est très important au grand slam. Je vais essayer de me reposer autant que possible.
02:36 Je me sens très bien sur le court, j'essaie de mélanger le jeu un peu plus que je faisais auparavant.
02:52 - Tu étais champion du grand slam en Italie. Comment ça s'est passé?
03:10 - Je ne pense pas que je serais allé dans une ligue très professionnelle. C'est mon sentiment.
03:30 Ça m'a aidé un peu avec la balance sur le court et la glissade.
03:40 Mais je pense que ça m'a aidé mentalement. C'est un sport complètement différent. Tu approches le sport d'une autre manière.
03:50 J'avais toujours un peu peur quand je devais aller en descente. Dans le grand slam, tu te lèves beaucoup.
04:02 Mentalement, je n'ai pas peur de me faire tirer sur le court. Rien ne peut se passer en ski.
04:10 Je pense que c'est ça.
04:20 - Je me demande comment tu vois tes défis pour les prochaines rounds.
04:28 Tu as parlé à ton dernier adversaire, Sebastian Ovner, qui parle allemand comme toi.
04:44 Est-ce que tu es déjà entraîné avec lui?
05:00 - Je suis déjà entraîné avec lui. Je suis déjà entraîné avec lui.
05:16 Je suis déjà entraîné avec lui.
05:32 Je vais essayer de me préparer physiquement et dans le sport. On verra comment ça se passe.
05:46 - Est-ce que tu es en paix au moment où tu es sur le court?
05:50 - Non. Je me sens bien. Je suis très fier de mon pied.
05:58 Je suis très fier de mon pied.
06:06 Je suis très fier de mon pied.
06:12 Je suis très fier de mon pied.
06:18 Le temps est différent aujourd'hui. Il fait très froid.
06:22 Il faut jouer différemment. Les balles et le court sont très lourds.
06:28 Mais ce sont des situations qu'il faut passer, qu'il faut accepter.
06:34 Je vais essayer de me préparer.
06:38 - Il y a des qualifications à l'Olympiade.
06:48 Il n'y a pas Lorenzo Sonego.
06:50 Vous avez voulu jouer le double.
06:54 Est-ce que vous pourriez choisir un des trois pour jouer le double?
07:04 - Je ne pense pas à ça.
07:10 On en parlera plus tard.
07:14 Je suis concentré sur ce qui se passe ici.
07:20 On verra qui jouera le double dans les Olympiades.
07:28 On a déjà joué avec Simone et Andrea.
07:34 On verra qui sera le deuxième.
07:38 - Tu as l'impression d'avoir pu augmenter ton niveau de jeu.
07:46 Tu as joué avec le couloir ?
07:52 - C'est différent de jouer au terrain.
08:00 Quand tu es au-dessus, tu vois que c'est différent.
08:08 Tu dois faire attention.
08:14 C'est un coup qui peut se passer en un instant.
08:20 Je suis content de la situation.
08:26 On a commencé avec des doutes.
08:30 Je dois augmenter mon niveau pour le prochain tournoi.
08:36 On verra ce que je peux faire.
08:40 - Demain est une journée importante pour toi.
08:46 Tu deviens le numéro un du monde.
08:52 Tu lui envoies des fleurs ?
08:58 - Je ne l'ai pas vu de façon personnelle.
09:04 Quand je suis là, il me dit que je suis un peu trop loin.
09:12 Il me dit que je suis un peu trop loin.
09:18 Il me dit que je suis un peu trop loin.
09:24 Je lui envoie des fleurs.
09:30 Je veux que ce soit un bon match.
09:36 Je ne pense pas au numéro un ou au numéro deux.
09:44 Je suis là pour savoir à quel niveau je peux jouer.
09:52 C'est important de me rendre au 100 %.
09:58 - Quand tu as fait venir Kyl d'Australie,
10:04 tu as décidé de jouer.
10:10 Tu n'as pas réussi à sortir de chez toi.
10:16 Tu as risqué de le faire venir à vôtre.
10:22 Quelle maladie avais-tu ?
10:28 - On ne peut pas regarder ça.
10:34 Si un entraîneur arrive ou non.
10:40 Je suis deux entraîneurs.
10:46 Je ne peux pas jouer 45 semaines en ligne.
10:54 Ça pourrait être difficile.
11:00 Darren me donne une aide importante.
11:06 Il me donne aussi Simone.
11:12 Je suis un joueur complet.
11:18 Si je ne peux pas jouer,
11:24 je vais attendre cinq jours.
11:30 Je ne peux pas le faire venir.
11:36 - Tu es toujours très concentré sur le présent.
11:44 Un an plus tôt, tu es sorti déçu.
11:50 Tu pensais que tu n'avais pas amusé.
11:56 C'est vrai que tu as fait quelque chose de fou.
12:02 Tu as pensé à quelque chose de tel.
12:08 - Je pense à ça.
12:14 Mais je sais que c'est un chemin.
12:20 Je pense que c'est un chemin de progrès.
12:26 C'est la chose la plus importante.
12:32 Tu dois te rendre compte de tes erreurs.
12:38 Je suis content de ce que je fais.
12:44 Mais je suis toujours concentré sur le présent.