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PAROLE DIRECTE - Interview de Pauline GALLI & Jérôme PACHERAN, Ambulanciers
Hugues LESUT-CANDÉRATZ
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24/05/2024
Le 18 novembre 2023, PAROLE DIRECTE s’intéressait au métier d’Ambulancier.
Pauline GALLI Ambulancière diplômée d'état et Jérôme PACHERAN Auxiliaire Ambulancier à Pays Basque Ambulances, ont répondu à quelques questions.
#Ambulance
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#DEA
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00:00
*musique*
00:13
Pauline, Jérôme, bonjour. Merci beaucoup à vous d'avoir accepté mon invitation.
00:19
Bonjour !
00:20
Alors expliquez-moi ce qui vous a donné envie de devenir ambulancier.
00:25
Je n'étais pas très bonne à l'école donc j'aurais bien aimé faire dans le médical.
00:30
Depuis toujours je suis attirée par ça.
00:32
Mais finalement, je me suis rabattue. J'ai envie de dire rabattue.
00:36
Je me suis rabattue sur l'ambulancier parce que j'aime beaucoup le médical, l'urgence,
00:41
le relationnel à la personne.
00:44
Donc pour moi c'est une vocation.
00:48
Moi ça fait 18 ans que je suis ambulancière à Pays-Basque Ambulance.
00:53
Moi je suis arrivé ici, j'avais fait une formation d'électricien avion.
00:57
J'avais été embauché chez Dassault et j'ai été laissé au Portail le jour du confinement.
01:02
C'était le jour de mon embauche et ça ne s'est pas fait.
01:05
Je me suis retrouvé pas savoir quoi faire.
01:08
Et j'avais un membre de ma famille qui était malade.
01:11
Il faisait du chimeau, il était transporté en ambulance.
01:14
En parlant avec les ambulanciers, ils m'ont proposé de faire un stage.
01:18
Ça m'a plu et moi ça fait faire trois ans en juin.
01:21
Quelle formation avez-vous suivi ?
01:24
Moi j'ai passé le DEA, le diplôme d'état ambulancier.
01:28
Donc voilà à Bordeaux, c'est une formation continue.
01:33
Alors maintenant elle a dû être rehaussée avant, c'était genre 4-5 mois.
01:36
Maintenant ça doit être arrivé à 7 mois à peu près de formation.
01:41
Il y a un concours d'entrée, il faut passer des stages pour être...
01:44
Ils veulent être vraiment sûrs que tu fasses ce métier.
01:46
Parce que c'est quand même un métier de vocation.
01:48
Ils se rendent compte qu'il y a vraiment besoin d'ambulanciers, mais qualifiés.
01:53
Au début j'avais demandé le DEA, il n'y avait pas de place.
01:56
J'ai fait auxiliaire, j'étais embauché.
01:58
C'est plus simple avec ceux auxiliaires.
02:00
Dans une ambulance, il faut obligatoirement un diplôme d'état.
02:03
Et il peut y avoir un auxiliaire à côté ou deux diplômés d'état.
02:07
Et donc c'est une formation rapide qui s'est faite en 15 jours.
02:13
Moi j'avais fait un stage parce que je devais passer le DEA.
02:16
Donc j'avais quand même fait un mois d'ambulance avant de commencer.
02:19
Et après, sous la responsabilité du DEA, tu apprends le métier.
02:25
Parce qu'avec deux semaines de formation, à part les premiers secours, tu ne connais rien.
02:30
Donc voilà, moi j'ai fait une formation plus courte.
02:33
Et le DEA, je ne veux plus le passer parce qu'en fait le boulot est quasiment le même.
02:39
Il n'y a pas d'écart de salaire.
02:41
M'investir, partir six mois, payer un loyer, perdre mes heures supplémentaires, mes congés,
02:47
pour rien obtenir de plus au final.
02:50
Parce que si on travaille avec un collègue qui fait confiance, le boulot est le même.
02:55
Du coup, avoir les responsabilités pour ne pas gagner plus, ça ne m'intéresse pas.
02:59
Quelle qualité faut-il selon vous pour le devenir ?
03:03
Moi, selon moi, bon déjà la bienveillance.
03:07
On travaille avec des gens, on ne transporte pas des paquets.
03:10
On travaille avec des personnes qui sont, certaines sont faibles, malades, ont des problèmes cognitifs.
03:18
Il faut pouvoir être amené à avoir de l'empathie pour ces personnes.
03:25
Mais après, il y a tout le reste. Il faut être solide au niveau du rythme de travail.
03:31
Il y a beaucoup de manutention, il faut porter des personnes.
03:35
Des fois, il y a des situations qui sont difficiles, même psychologiquement, avec des histoires de vie qui sont compliquées.
03:43
Après, on est deux dans une ambulance, faire des journées de 10 heures, 12 heures.
03:48
Il faut aussi savoir gérer les rapports humains entre collègues.
03:52
Moi, j'ai un problème, mais il y en a pour qui ce n'est pas simple.
03:58
Et ça, ça fait partie d'un côté très complexe du métier.
04:02
Tout à fait, c'est les rapports humains.
04:05
On est systématiquement en collaboration avec des médecins, des infirmières, des familles.
04:12
Et puis, nous n'avons pas tous la même sensibilité.
04:16
Donc, il faut vraiment s'adapter en permanence.
04:21
C'est un métier difficile.
04:23
Moi, je vais partager.
04:25
Les journées peuvent être longues, l'amplitude horaire.
04:28
Pour moi, ça va, mais émotionnellement, je comprends que ça peut être difficile.
04:32
Des fois, si vous amenez un enfant de 8 ans à Bordeaux pour faire une chigno, on peut s'attacher aux gens.
04:37
Il peut disparaître aussi.
04:39
Après, c'est facile dans la mesure où...
04:42
Moi, j'ai travaillé dans d'autres secteurs.
04:45
Il y a des boulots où on ne voit pas le jour.
04:47
Il n'y a pas une fenêtre à fermer des caissons de bouteilles ou faire de la mise en rayon.
04:51
Je veux dire, nous, on a quand même...
04:53
Oui, il y a le cadre de...
04:55
On est à l'extérieur.
04:57
Voilà, le boulot qui est quand même...
04:59
On gère notre temps de travail.
05:01
On est tout seul.
05:02
Ça veut dire que la direction, elle n'est pas venue dans l'ambulance.
05:05
Elle nous fait confiance et nous, on fait notre travail sans être tout le temps repris.
05:11
Des fois, il y a des boulots avec des contre-maîtres et tout ça.
05:14
Et après, il y a malgré tout la contrainte horaire.
05:18
Mais à côté de ça, on a une flexibilité.
05:21
Si demain, on a un rendez-vous urgent à 10h où il faut absolument aller chercher un enfant à l'école,
05:25
on peut quand même moduler les horaires.
05:28
C'est quand même un inconvénient, on a un avantage derrière.
05:32
Donc, c'est pour ça que moi, je dis oui et non.
05:35
Mais oui, les principales difficultés du métier, c'est quand même, comme je disais tout à l'heure,
05:39
c'est un métier quand même où on porte du poids.
05:42
Donc, on peut être amené à se blesser.
05:44
Il y a la fatigue.
05:46
On conduit toute la journée.
05:48
On ne travaille jamais à chaud aussi.
05:50
C'est-à-dire que tu vas passer deux heures assise dans ton ambulance sur l'autoroute
05:54
et d'un coup, on va te demander de monter quelqu'un au troisième étage.
05:58
Ton corps, il n'est pas chaud.
06:00
Ce n'est pas comme si tu étais maçon en activité du matin au soir.
06:03
Du coup, on peut se faire mal.
06:06
Mais bon, après, si on travaille bien, on peut...
06:09
Le salaire, ben...
06:11
C'est le SMIC et un peu plus pour les DEA.
06:14
On revient toujours au problème de même la nuit.
06:18
Quand on fait du travail de nuit, on travaille 24 heures sur 24.
06:21
Travailler de nuit, qui est quand même un des seuls métiers
06:24
où la nuit, on est payé pareil que la journée.
06:26
Normalement, de nuit, tu dois être payé.
06:29
Et encore, le métier s'est amélioré.
06:32
Ça a été très dur.
06:34
En fait, par rapport aux contraintes que le métier demande,
06:37
c'est-à-dire travailler des week-ends, avoir des plannings qui changent tous les mois,
06:41
on ne sait pas quelle heure on commence le matin ni à quelle heure on finit.
06:44
Tout ça, ça fait partie du métier.
06:46
Mais je pense que tout ça, toutes ces contraintes,
06:49
malheureusement, elles devraient être monnayables, en fait.
06:54
Dans tous les métiers, quand il y a des contraintes,
06:56
tu prends quelqu'un qui travaille sur une plateforme pétrolière,
06:59
c'est un métier difficile, il parle longtemps, il y a des risques,
07:02
et il est payé en conséquence.
07:04
Et nous, on ne peut pas être payé moins.
07:06
C'est pas possible.
07:08
Pour Mdva, c'est à peine plus que le SMIC,
07:11
mais il y a un diplôme d'État,
07:13
et aux SIGAR, c'est quasiment le SMIC.
07:16
Et en fait, moi, je trouve que le boulot qu'on fait vaut plus qu'un SMIC.
07:20
C'est un métier d'utilité publique.
07:22
Sans ambulance, c'est pas possible.
07:25
La société, elle ne peut pas fonctionner.
07:28
Moi, je pense que pour 39 heures,
07:30
si on avait 2 000 euros net par mois,
07:33
sans les repas, ça serait un beau métier.
07:36
Oui, parce qu'on parle en taux horaire.
07:38
Le taux horaire, pour le DEA, il est de combien ? 11 euros.
07:44
Un truc qui est sûr, c'est qu'on est payé énormément par prime.
07:48
Et les primes, c'est quelque chose qui ne rentre pas dans le salaire
07:52
pour la retraite, ou des choses comme ça.
07:55
Normalement, notre taux horaire devrait être quand même assez...
07:58
Voilà, 2 000 euros net pour un DEA, c'est normal.
08:00
C'est la base. Mais c'est pas le cas.
08:03
Vous êtes amené à réaliser des interventions d'urgence
08:08
à la demande du SAMU.
08:11
Est-ce que c'est pas une contrainte pour vous
08:14
que l'ambulance ne soit pas considérée
08:17
comme un véhicule prioritaire à 100% ?
08:20
Le manque de connaissances des gens
08:23
par rapport au véhicule prioritaire, c'est impressionnant.
08:26
Nous, on est très, très, très régulièrement d'urgence SAMU.
08:32
On a des week-ends, quasiment tous les week-ends,
08:35
on peut être d'urgence SAMU.
08:37
Il faut savoir qu'une ambulance est assez souvent prioritaire sur la route.
08:43
Mais en temps normal, ici dans cette région, ça va hors heure de pointe.
08:49
On se débrouille, la ville de Bayonne nous laisse emprunter les voies de bus.
08:55
Donc c'est normal qu'on soit un véhicule en temps normal.
09:00
Quand il y a une urgence SAMU, il faut vite libérer l'ambulance
09:06
pour qu'elle soit de nouveau disponible.
09:09
On met les gyrophares et tout ça.
09:11
Oui, elle a un numéro de SAMU, on est attitré au SAMU.
09:14
C'est une règle.
09:16
Il faut réglementer ça, sinon ça serait la porte ouverte à n'importe quoi.
09:20
Tout à fait. Et il y a des ambulanciers qui en abusent.
09:22
Ils prendraient encore plus de boulot, ils se diraient qu'ils vont mettre les bleus,
09:25
du coup on serait surchargés, ça serait n'importe quoi sur la route.
09:28
Donc je pense que la réglementation existe.
09:30
Elle est normale, oui.
09:31
Une autre partie de votre profession, c'est le transport en véhicule sanitaire léger.
09:39
La législation de ce type de transport va évoluer.
09:45
Il va falloir réaliser des transports simultanés, quand l'état du patient le permet.
09:52
Quel regard portez-vous sur cette idée ?
09:56
Les restrictions budgétaires, ça va...
10:00
Quand on prend des personnes en simultané dans un VSL,
10:05
forcément, le trajet, on ne peut pas payer chaque fois un trajet, un forfait.
10:11
Là, ça diminue les coûts.
10:13
Et c'est ça, c'est la Sécu qui cherche à faire des...
10:16
Maintenant, c'est très compliqué pour nous.
10:18
Parce que du simultané, quand il y a du travail et qu'il faut aller chercher
10:21
sur une clinique, un hôpital, des personnes...
10:24
Pour nous et pour les services hospitaliers.
10:26
Parce que j'ai compris, ils devront organiser, par exemple,
10:29
deux patients qui dialysent.
10:30
Ils devront organiser la sortie en même temps.
10:32
Donc, en fait, ça va désorganiser les services hospitaliers, les ambulances.
10:36
Au final, c'est le patient qui est...
10:38
Qui en paie les pots cassés.
10:40
Qui en paie les pots cassés, oui.
10:42
Et surtout que le budget de tous les transports en France, sanitaires,
10:47
c'est 1,8% du budget de la Sécu.
10:50
Et du coup, c'est des économies de bout de chandelle, en fait.
10:53
Je ne suis même pas sûre que le transport en VSL, pour nous, ambulanciers,
10:57
apparemment, d'après notre direction, ça ne rapporte pas énormément.
11:05
Ce sont les ambulances qui demandent plus de...
11:08
Mais le VSL, comme il dit, c'est des économies de bout de chandelle.
11:12
Je pense que ça ne va pas...
11:14
Je pense que... J'ai l'impression que le VSL, le véhicule sanitaire léger,
11:18
j'ai l'impression qu'avec le temps, il sera voué à disparaître.
11:21
Il sera peut-être remplacé par des taxis, un nouveau système de déplacement,
11:26
je ne sais pas.
11:27
Dernière question pour vous, Pauline.
11:30
Vous venez de terminer, il y a quelques mois, je crois,
11:34
une formation d'aide-soignante.
11:36
Qu'est-ce qu'elle va vous apporter dans votre métier d'ambulancière ?
11:41
Ça m'aide à plus les prendre dans de meilleures conditions.
11:46
Dès qu'il y a des personnes... Je ne sais pas,
11:48
quand il faut des personnes au sol, c'est pas toujours dans les urines,
11:52
dans le sang, c'est pas toujours très...
11:55
Les pauvres se retrouvent dans des situations compliquées.
11:58
Moi, mon métier d'aide-soignante m'aide à les prendre en charge,
12:01
à les rendre plus dignes.
12:02
Ça fait un pont, ça fait une jonction entre ces...
12:05
On fait partie d'une chaîne, les ambulanciers,
12:07
mais le fait d'être aide-soignante, ça permet de donner plus d'indications
12:11
aux infirmières, aux aides-soignantes.
12:13
Ça crée une meilleure jonction entre les deux.
12:16
C'est un accord de plus à ton ordre.
12:18
Eh bien, merci Pauline et Jérôme d'avoir répondu pendant quelques minutes
12:22
à mes questions. Bon courage pour la suite.
12:25
Merci à toi, Yves.
12:27
Je remercie également tous vos collègues de m'avoir accueilli.
12:31
Ça marche.
12:32
Un grand merci également à Jean-Martin Echeverry,
12:37
le directeur de l'entreprise Pays Basque Ambulances,
12:41
d'avoir donné son accord pour que je puisse venir réaliser
12:46
votre interview dans les locaux de l'entreprise.
12:50
Un grand merci à lui et bonne fin de journée.
12:54
[Musique]
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