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  • 07/05/2024

Chaque jour, Jean-Luc Lemoine vous offre une session de rattrapage de tout ce qu'il ne fallait pas manquer dans les médias.
Retrouvez "La session de rattrapage" sur : http://www.europe1.fr/emissions/la-session-de-rattrapage

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Transcription
00:00 Et comme chaque jour on démarre cette émission avec la session de rattrapage de Jean-Luc Lemoyne,
00:05 et alors Jean-Luc ce matin nous recevons donc Antoine Decaune pour les nombreuses
00:09 émissions cinéma qu'il anime sur Canal+. Comme vous avez de la chance Antoine, ça va être tellement
00:14 agréable de présenter une émission qui parle de sa passion. Je sais que Thomas adorerait avoir
00:18 une émission qui parle des cheveux soyeux. Antoine c'est un homme libre qui ne fait que
00:24 des choses qui l'intéressent. Chez Corbigny, on vous demandait pourquoi vous n'aviez jamais
00:28 participé à Danse avec les Stars. Parce que je danse comme une merde, je serais pas le premier,
00:32 mais je vois pas pourquoi j'irais perdre mon temps à essayer de danser alors que je ne sais pas danser.
00:37 C'est très honnête de faire des choses que l'on maîtrise. Du coup, rapido,
00:42 ça correspond à quelle partie de votre vie privée ? Je voulais être juge. Antoine Decaune c'est
00:50 difficile d'être plus culte que lui, il a pratiquement tout fait avant tout le monde,
00:53 même les clashs entre artistes, c'est lui. Car oui, Antoine a eu droit à une chanson contre lui.
00:58 À 20 ans, sous le nom de Paul Percevon, il écrivit pour sa maman tout plein de chansons.
01:04 Et l'âge de trois fois, il dit trop de succès. Et c'est depuis qu'Antoine détestait Arminé.
01:10 Oui Antoine s'est fait clasher par les musclés. Bernard Minet, vous avez été terrible.
01:15 Dès que j'ai pas entendu parler de lui. Ça vous a fait mal ?
01:17 Ça a été douloureux à l'époque ? Très, j'en souffre encore.
01:22 Le clash Booba-Carris à côté on dirait une réunion Tupperware.
01:25 Comment on se remet d'une épreuve pareille ? Peut-être en s'en foutant.
01:30 On a l'impression que tout glisse sur Antoine. Donc on découvre encore des facettes aujourd'hui,
01:36 et là je parle pas de dans factice. Par exemple, peu de gens savent ce que vous préférez le plus
01:44 dans la vie ? C'est un truc qui, quand on réfléchit, quand on lit, c'est très agréable.
01:49 Une petite pipe. Vous voilà prévenu Thomas. Si vous voyez Antoine réfléchir...
01:54 C'était un mort contexte à chiser. Non, non, ça irait bien.
01:57 Comment ça non ? Si vous voyez Antoine réfléchir ou lire,
02:00 ben penchez-vous. Bien sûr.
02:01 Et donnez-lui du feu. Mais ça sort d'où ce truc-là ?
02:06 C'était une interview ou c'était vos objets cultes ?
02:09 Ah les objets cultes, oui. On avait fait un sujet pour la Goule d'Antoine à l'époque,
02:13 sur la ville de Saint-Claude. Ah oui.
02:15 C'était encore un peu chaud là-dessus. Capital de la pipe.
02:18 Comme quand on voit la rue. Alors Jean-Luc, pour votre session de rattrapage,
02:21 vous nous aviez laissé hier au beau milieu des derniers épisodes de Pékin Express.
02:25 Oui exactement. Enfin, à Neuille Express. Pékin Express, c'est comme Koh Lanta ou le Paris-Dakar.
02:29 Faut pas prendre au pied de la lettre ce qui est écrit dans le titre. C'est comme "silence,
02:33 ça pousse". Si vous parlez, ça continuera à pousser.
02:35 Non mais je préfère vous le dire. Alors hier, je vous ai appris quelques mots d'anglais que
02:43 Patricia et Jessica, les candidates Corses, qui m'ont écrit d'ailleurs sur Instagram.
02:46 Elles sont très clientes justement. Alors Antoine, je sais que vous êtes
02:49 complètement bilingue. Pouvez-vous me traduire "Allez, allez, il y a des concurrents,
02:53 soyez rapides, rapides". Oh, go, go, there are some challengers and they are very fast.
03:00 C'est pas mal, c'est pas mal. Mais on vérifie quand même avec Patricia et Jessica.
03:03 Go, go, go, there's a concurrent. Rapide, rapide.
03:07 Le fameux Adissa Dany Institute. Donc samedi, c'était la finale. Mais bon,
03:15 avant la finale, il y a eu quoi ? Je vous l'ai dit hier, la demi-finale où les candidats ont
03:18 continué à faire de l'autostop. It's a demi-final.
03:21 You are the best. We play together. We are the winner.
03:27 T'imagines quand t'as pris deux autostopeuses qui braille comme ça tout le long du chemin.
03:31 T'espères juste une chose que ton GPS te dit ça.
03:34 À 50 mètres devant vous, il y a une falaise. Allez tout droit.
03:38 Donc samedi, c'était la finale. Si Pékin Express voulait finir au Vietnam,
03:43 c'était pour faire des épreuves en lien avec le pays ou au moins la région.
03:46 Les candidats vont faire du karting. Ils vont devoir faire un tour de circuit en moins d'une
03:51 minute. Oui, si ça se trouve, le karting est un sport
03:54 traditionnel vietnamien du 5e siècle avant Jésus-Christ et on n'était pas au courant.
03:58 Ils ont quand même rajouté une tradition bien vietnamienne dans cette épreuve. À l'arrivée
04:02 du tour de karting, il fallait taper dans un ballon et attraper la cible qui est juste
04:07 là. Voilà, maintenant on le sait, les traditions
04:09 vietnamiennes sont mises à l'honneur avec le karting et le foot.
04:11 Typiquement vietnamien. D'ailleurs, en regardant l'émission, je me
04:13 suis dit que j'aimerais bien aller visiter Hanoi pour me taper une bonne tartiflette.
04:16 Laura monte la première dans le karting. A-t-elle réussi à mettre le ballon dans
04:20 sa cible ? À votre avis ? En français, "Oh putain" ça veut dire "Oh,
04:25 j'ai raté". Romain a réussi à marquer le but et Patricia
04:27 aussi. Quels mots utilise-t-on pour fêter une victoire quand on est français ?
04:31 Comme ça me gêne de répéter ce mot, je vais traduire "Oh, ça perd l'hippopète,
04:40 le but est inscrit. Oh, ça perd l'hippopète, elle est dedans. C'est pourtant pas dur de
04:44 châtier son langage, putain de merde." Quand Laura a enfin réussi à marquer son
04:47 but, sa joie est venue du cœur. Imagine, demain t'organises un grand jeu
04:56 d'aventure, tu prends des français, ils doivent passer des épreuves sans dire le
04:59 mot "putain", en deux heures t'as plus un seul candidat.
05:01 Alors parfois dans Pékin Express, les candidats ont de la chance, comme Laura et Romain qui
05:06 tombent sur un chauffeur qui leur fait gagner du temps. Pour les Corse, c'était un autre
05:09 délire. Leur chauffeur, qui n'a pas compris l'urgence
05:12 de la course et qui voulait leur faire plaisir, est en train de faire un détour pour leur
05:16 montrer un monument touristique. Ça partait d'un bon sentiment, ça se transforme
05:20 en loose. Je ne suis pas sûr qu'elles aient vraiment apprécié de voir le temple Pachat.
05:24 Finalement, Laura et Romain ont gagné, bravo à eux !

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