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00:00 [Musique]
00:20 Le niveau de pauvreté en Cameroun est en cours de grande baisse,
00:25 avec des chiffres indiquant que 60% des Camerooniens vivent aujourd'hui
00:29 sur moins de 1000 CFE francs par jour.
00:34 La force de défense de Cameroun a augmenté son présence dans la région nord-ouest
00:43 avec la création et l'inauguration d'une base de récréation rapide à Kumbu
00:48 pour vérifier les réactions des séparatistes épisodiques dans l'arrière-plan.
00:53 La campagne pour la présidentielle en cours de charte se termine
01:01 lorsque les champions vont aux pôles le 6 mai pour choisir un nouveau président
01:06 avec 10 candidats, y compris le président transitional sur la ligne de départ.
01:11 Ceux-ci et beaucoup plus, ici, sur le 730.
01:16 Bonjour, je suis Ben Menopufong, à Yaoundé.
01:20 Les chiffres peuvent vous surprendre, mais c'est aussi vrai que nous sommes le dimanche,
01:25 que 6 de chaque 10 Camerooniens vivent avec moins de 1000 CFE francs par jour.
01:32 Et c'est l'Institut national de statistiques de Cameroun qui révèle
01:37 ce rapport plutôt dérangeant du niveau de pauvreté au pays.
01:41 Il révèle aussi que 5 de chaque 10 régions du pays sont particulièrement touchées
01:47 par cette pauvreté, dont la région du nord est la plus faible.
01:53 Kilianda Ndifon est ici avec l'inconnu récit de la situation de pauvreté en Cameroun,
01:59 selon l'Institut national de statistiques.
02:02 C'est le 5ème étude sur la situation de pauvreté et de population en Cameroun
02:09 par l'Institut national de statistiques, par un programme appelé ECAM.
02:14 Selon l'étude, Cameroun compte aujourd'hui 27 millions d'habitants,
02:19 et 10 millions d'entre eux vivent sous la ligne de pauvreté,
02:22 c'est-à-dire ceux qui ne peuvent pas afforder 813 CFE francs par jour.
02:29 2 de chaque 5 personnes des 10 millions vivent en misère.
02:34 Le 37,7 % des personnes touchées par la pauvreté de 2022
02:40 est projeté pour descendre jusqu'à 30,8 % en ligne
02:43 avec le plan de développement national de 2030.
02:47 De la quantité totale affectée, 56,3 % vivent dans les zones rurales,
02:53 et 21,6 % vivent dans les zones urbaines.
02:56 Le nord, le damawa, l'ouest et le nord-ouest sont les régions les plus touchées.
03:02 La question est, qui est une personne pauvre ?
03:05 Nous pouvons considérer une personne qui ne consomme pas 813 CFE par jour.
03:12 Nous observons deux types de pauvreté.
03:15 Nous avons la pauvreté monétaire, qui est mesurée par le volume de l'épargne.
03:22 Nous avons aussi la pauvreté multidimensionnelle,
03:26 qui est la capacité de la personne à avoir des services quotidiens,
03:32 comme l'accès à de l'eau potable, de l'électricité, des services sociaux.
03:36 Les causes de la pauvreté sont multidimensionnelles.
03:39 Il y a un problème de sécurité pour certaines régions,
03:42 et aussi un problème de sécurité alimentaire pour d'autres régions.
03:47 La production est très faible pour le rôle de la maison.
03:50 La solution est de redistribuer la richesse nationale
03:53 et de stimuler le développement économique stagnant,
03:56 qui jusqu'à présent a été de 3 ou 4 %.
04:00 Les records le disent,
04:03 et même si la performance économique de Cameroun a été renforcée en récents ans,
04:08 elle a, depuis un certain temps,
04:10 entraîné des comptes fiscaux et des niveaux de dette augmentés.
04:14 La raison pour laquelle le développement économique n'a pas été traduit en une réduction de la pauvreté équitable.
04:21 Mais comme le rapporte le rapport de Clarice Aruei-Takang,
04:24 le pays a un potentiel fort pour développer,
04:27 y compris les ressources naturelles,
04:30 pour assurer un développement économique inclusif et une réduction de la pauvreté.
04:35 L'emploi décent, en coexistance avec la création de la richesse et la productivité sustainable,
04:43 consiste à l'évaluation financière, industrielle et rurale,
04:46 est la base d'un développement inclusif.
04:48 Transliter ces concepts en action concrète est crucial pour l'éradication de la pauvreté.
04:53 Le gouvernement fait beaucoup,
04:55 mais toutes les actions qu'ils font pour essayer d'améliorer notre économie,
04:59 nous devons bien structurer cette économie,
05:01 penser à un modèle, stratifier ce modèle,
05:04 un niveau, un deuxième niveau, un troisième niveau.
05:07 Le premier niveau, nous pouvons dire qu'on a deux ou trois produits
05:11 qui nous permettent de guider, qui peuvent améliorer notre économie.
05:15 Maintenant, nous devons penser à comment coordonner toutes ces actions, les planifier.
05:18 Le niveau de la pauvreté de Cameroun a augmenté dans les dernières décennies.
05:21 Une diminution des chiffres implique l'adressement des causes principales.
05:24 Essayer de mettre l'économie sur le chemin de développement
05:27 sans se concentrer sur la création de plus de flux d'argent stables
05:31 est lié à la pêche d'eau avec un sac, comme le lamentent les économistes.
05:34 L'emphasis de Hama doit être sur le fait de penser aux résultats et de construire une opportunité.
05:39 Toute la politique sectorale doit être implémentée
05:42 parce que c'est important de booster notre production.
05:46 Il est important d'avoir une politique industrielle qui créerait beaucoup d'emploi.
05:53 Il faut avoir une bonne politique énergétique.
05:57 Il est important de réduire l'augmentation de l'inflation
06:01 parce que toutes les choses que nous mangeons sont importantes.
06:06 Cameroun se dirige vers une économie émergente.
06:09 Avec tout cela à risque, il y a une besoin de plus de consommateurs,
06:12 de business et de dépensement de gouvernement pour parler le même langage
06:15 afin de produire de l'économie qui soit inclusive.
06:19 La transformation structurelle de l'économie nationale
06:23 est basée sur l'amélioration du bien-être social de la population
06:28 à partir du plan stratégique de développement national de 2013
06:33 qui se déroule actuellement dans le pays.
06:35 Les experts attestent que dans le programme de développement de l'argent humain
06:41 et la boosting de la production agricole comme ses principaux piliers,
06:45 le gouvernement a mis en place le travail de fond pour en faire un retour
06:48 si on ne ne détruit pas la courbe actuelle de la pauvreté dans le pays.
06:53 Le Prince Wiladuma explore certaines des solutions possibles
06:57 pour la courbe actuelle.
07:00 Les réalités de la guerre entre la Russie, l'Ukraine et le Moyen-Orient
07:06 sont des défis qui empêchent le transport et les prix de la montée conséquentielle.
07:10 La pauvreté est un ennemi à la construction de l'économie nationale en 2030.
07:15 Les études de retraite ont réduit le coût de l'entrée en école professionnelle
07:20 à 50 000 euros.
07:22 Deuxièmement, le gouvernement a fait de l'entreprise plus facile
07:25 pour employer les Camerooniens.
07:28 Dans les derniers budgets, le gouvernement a exonéré les fermiers,
07:33 les entreprises agricoles, les fermiers de poisson et les entrepreneurs du secteur énergétique.
07:40 Même si ce document fournissant ne l'appelle pas la pauvreté,
07:44 la production agricole, la construction d'un réseau de routes,
07:48 la promotion de la bonne gouvernance, le réajustement du budget annuel
07:52 et l'investissement dans la développement humain sont des règles.
07:56 Quand on construit une maison, la fondation est ce que le gouvernement a à offrir.
08:00 Ce que le gouvernement a fait, c'est de faire facile pour les entrepreneurs d'importer des machines.
08:05 Six ans jusqu'à sa pleine cycle en 2030,
08:08 le plan nécessite de sortir de la ligne de pauvreté 10 millions de personnes.
08:13 La stratégie de développement nationale a un but de gagner les champions nationaux à tous les niveaux.
08:17 Ces champions nationaux, les entreprises et les industriels
08:21 qui sont les plus importants au niveau de la production,
08:24 sont des gens qui doivent pousser.
08:26 La stratégie de développement nationale est si importante,
08:30 car on a besoin de plus grands, de plus fortes et de compétitifs
08:34 pour pouvoir créer l'écosystème nécessaire pour les entreprises de la petite et moyenne taille
08:39 pour pouvoir pousser l'économie.
08:41 Pour que cela se passe, la volonté politique est expécutée pour répondre aux besoins des réalités nationales.
08:47 Que ce soit aussi bleu que ce soit, il y a de l'espoir dans le horizon
08:54 et le prospect de l'économie minière au Cameroun
08:58 va devenir plus brillant au jour où les investisseurs les plus importants du monde
09:03 continuent de montrer leur intérêt à faire de l'entreprise dans ce pays.
09:08 L'un des maîtres des entreprises de l'économie minière le plus important du monde,
09:12 Samuel Esson-Joha, a appelé le président du gouvernement, Joseph John Guttek.
09:19 L'investisseur ghanéen a offert de participer activement à la recherche rapide
09:24 du développement du secteur de la mine au Cameroun.
09:28 Le correspondant de Star Building, Christian Tchiata, a plus.
09:32 Son nom est devenu synonyme de "excellence en affaires"
09:38 et maintenant il a apporté sa richesse d'expérience et de capital au secteur de la mine au Cameroun.
09:44 La discussion de moitié heure entre Samuel Esson-Joha et le président du gouvernement,
09:49 Joseph John Guttek, a targué le développement du secteur de la mine au Cameroun.
10:12 L'exploitation des déposits de cobalt, nickel et manganèse
10:16 dans le Cameroun-Lomier, dans l'Ouest, a été d'un intérêt particulier pendant l'échange.
10:21 À ce moment, nous sommes ici pour discuter de la façon dont nous pouvons accélérer le développement du déposit de Cameroun,
10:29 qui est un producteur de compagnies de grande qualité.
10:31 Dieu a été très gentil au Cameroun en lui donnant ce fantastique déposit.
10:36 Et nous voulons être des participants actifs, travailler avec le SNI, le gouvernement,
10:40 le ministère, bien sûr, en s'assurant que nous mettons en place une base de développement rapide.
10:46 Le président Paul Beah a annoncé le secteur de la mine comme une source d'espoir pour l'économie
10:51 pendant son annonce de dons à la nation à la fin de l'année.
10:54 L'audience, accueillie par le ministre du gouvernement, Joseph John Guttek,
10:58 à ce groupe d'investisseurs, est un signe que le rêve est très vivant.
11:03 Et maintenant, à l'heure des autres histoires dans les nouvelles,
11:06 la police de Cameroun est maintenant équipée de connaissances et de compétences
11:11 pour détecter, identifier et détoner sans problème des dispositifs explosifs improvisés.
11:16 Cette nouvelle démonstration de développement s'appuie sur un cours de formation de 4 semaines
11:20 sur la détonation des dispositifs explosifs improvisés,
11:23 organisé pour la police de Cameroun avec l'aide du gouvernement français.
11:28 Le délégué général de la sécurité nationale, Martin Barganguele,
11:32 a déclenché la cérémonie de clôture du cours de formation.
11:35 Des détails avec Romion Keny.
11:38 Deux, un, désappel.
11:41 Un explosif a été clôturé dans une session de pratique de mineurs.
11:47 Des plumes de mineurs et des boules de feu ont été utilisées pour contenir la bombe.
11:51 Ces 24 policiers sont le premier groupe de traînés.
11:58 Pendant le entraînement, nous avons appris à identifier,
12:02 d'abord les munitions et comment les détruire.
12:07 J'ai pu poser l'acte d'un véritable EOD.
12:11 La population est la première à être exposée.
12:16 Nous sommes prêts à aller là-bas,
12:18 à parler à eux, à les sensibiliser.
12:21 Avec la risée de l'insécurité au nord-ouest, au sud-ouest et dans les régions du nord-ouest,
12:26 les mineurs sont conseillés d'utiliser les compétences acquises pour la protection de la population.
12:30 C'est un grand pas qui aide nos policiers à avoir de l'équipement moderne.
12:35 Nous remercions le gouvernement français pour leur aide.
12:39 La première phase du programme de trois ans a duré un mois.
12:44 Coordinée par des experts de sécurité français,
12:47 10 unités de mineurs de la police régionale vont bientôt exister dans le pays.
12:51 Pour le moment, une est opérationnelle à l'École de police nationale de Youndé.
12:56 Le chef de la police, le lieutenant-genéral René-Claude Mecquart,
13:02 a instruit les troupes de la région militaire comblée du nord-ouest
13:06 et la secte 1 de la force de tâche multinationale de la commission de la base de la Charte des lacs
13:12 à être à l'alerte et à garder chaque potentiel incursion Boko Haram en contrôle.
13:20 Le bus de défense est en mission de contrôle et d'évaluation des troupes dans ce pays
13:27 car les troupes gardent un oeil sur les frontières de Cameroun.
13:32 Henry Tato-Ekambi complète cette histoire de CRTV Far North.
13:36 Après avoir reçu des honneurs militaires au commandement de la 4e région militaire comblée de Maroua,
13:45 le chef de la police a commencé sa mission de contrôle et d'évaluation
13:50 avec une rencontre avec les troupes militaires de la région.
13:53 Le lieutenant-général René-Claude Mecquart a écouté les différentes présentations
13:57 sur la situation de sécurité de la région, qui a été évaluée pour être relativement calme.
14:02 Le chef de la police nous a félicité pour le travail que nous faisons pour maintenir la sécurité.
14:09 Il nous a demandé de continuer le travail que nous faisons et d'assurer la sécurité
14:14 avant, pendant et après la célébration nationale.
14:17 Le chef de la police a également gouverné les troupes de la région militaire
14:21 et ceux du secteur 1 de la force multinationale MNJTF
14:26 et a aussi instruit à rester vigilant car l'ennemi n'est toujours pas là.
14:31 Le chef de la police, accompagné par le chef de la force militaire,
14:35 le majeur général Babassouley, et le directeur central pour la coordination
14:40 de la gendarmerie nationale, le brigadier général Elokobi Danyangyok,
14:45 ont également accueilli les troupes pour être en alerte avant, pendant et après les célébrations nationale.
14:51 Le bataillon de réaction rapide de la force de défense de Cameroun, B,
14:58 a inauguré une base à Kumbu pour contenir des attaques séparées sporadiques
15:04 dans les quartiers de la division Bui dans la région nord-ouest
15:07 qui a remainé l'épicentre des insurgences terroristes dans la région.
15:12 Le camp a été inauguré par le coordonnateur général de la force élite,
15:17 le colonel François Pellene, qui a invité la population civile
15:23 à collaborer avec les troupes en lutte contre le terrorisme.
15:27 Eric Langmia Wufo, des rapports de Bermenda.
15:32 Les opérations futures pour protéger le Kumbu peuvent être organisées par l'Axis,
15:37 qui sera donc coordonnée par l'EA.
15:39 Elle est équipée d'un infirmier, des dormitoires, des générateurs de déplacement,
15:43 un système de supplice d'eau indépendant, entre autres.
15:47 Les officiers de la défense sont en train de créer une nouvelle zone de collaboration
15:51 pour éliminer tous les actes de terrorisme dans la division Bui.
15:54 Ce que nous demandons à la population, c'est de devenir des acteurs de leur propre sécurité.
16:01 Nous leur demandons de ne pas prendre des armes contre les terroristes,
16:05 mais au moins de nous offrir de la bonne information à la bonne heure,
16:10 pour que nous puissions faire notre travail.
16:12 L'administration de Bui a évoqué l'arrivée de la nouvelle zone Bui
16:16 comme une stratégie pour faire de Kumbu de nouveau.
16:19 C'est une assurance du fait que leur sécurité est prise en compte par la ville.
16:27 C'est une assurance et un espoir que dans les jours à venir, les choses ne seront plus comme avant.
16:34 Les bêtes ont envoyé la population de Kumbu des produits alimentaires,
16:39 de l'huile végétale, ainsi que des plantes de maïs améliorées.
16:43 Vous regardez le 7.30 sur la télévision Cameroon, sur la CRTV.
16:49 Nous sommes en live de Yaoundé.
16:52 Les crimes de poaching et de la vie noire sont en cours dans la région nord de Cameroun,
16:59 avec des hommes armés qui se logent pour la nourriture et l'argent.
17:05 La présence de poachers, de ranchers, de gardiens d'écos,
17:09 et des forces de l'ordre et de la loi ne semblent pas déterrer les poachers
17:14 qui montrent une maîtrise unique du terrain,
17:18 et qui sont parfois encore plus équipés que ceux qui les combattent.
17:23 Dans notre dossier originel, le président Tanjung Levissagbo de CRTV Nord
17:27 nous explique la magnitude du poaching dans la région nord.
17:32 La région nord possède plusieurs parcs de vie noire, comme Pubanjida, Benue et Faro National Parks,
17:40 qui attirent les poachers et les poachers animaux qui invadent ces zones protégées.
17:45 Les gardiens d'écos sont toujours en alerte pour combattre le phénomène.
17:49 Malheureusement, leurs efforts sont révélés avec des obstacles.
17:53 Cette invasion a aussi mené à des conflits de poachers et à la destruction de l'écosystème.
17:58 Notre mission ici est de combattre toutes formes de crimes de vie noire dans les zones protégées,
18:04 en particulier le poaching.
18:06 C'est la responsabilité de tous les partenaires de la société
18:10 de continuer à combattre ce phénomène.
18:12 Nous allons s'assurer que les différents projets pour réaliser cette mission
18:17 soient effectués dans le terrain, avec toute l'énergie nécessaire.
18:22 De la mine illégale à la vente de produits de vie noire,
18:26 il y a besoin de plus de traînement technique pour protéger la forêt et sa biodiversité.
18:32 Ce parc a eu un souverainisme de gestion de sécurité moderne depuis 2019,
18:39 mais nous devons en faire plus pour améliorer la souveraineté.
18:42 La collaboration de tous les partenaires est essentielle.
18:45 C'est-à-dire que les autorités traditionnelles et les communautés locales sont expectées
18:50 à combattre le poaching et les autres crimes de vie noire.
18:53 Les experts disent que la partie du problème dans certaines communautés autour de ces zones protégées
18:58 est liée à certains rôles traditionnels qui sont prêts à couvrir les activités illégales
19:03 de ceux qui entourent permanemment ces zones.
19:08 Comme le phénomène s'écalote,
19:11 le gouvernement et ses partenaires ne se laissent pas ou relâchent
19:17 pour arrêter le poaching qui détruit la biodiversité de Cameroun.
19:22 L'une des mesures à être appliquées est la construction de fabrications
19:28 pour habiter les gardiens d'écosystèmes et l'équipement et le traînement des forces de sécurité dans la forêt.
19:36 Julius Neber a une vidéo sur les mesures à être appliquées.
19:42 En permettant de construire le centre de la Bouba Jama
19:45 à la hauteur de 2 millions de mètres de France,
19:48 le ministre de la Forêt et de la Vie noire, Jules Doréndongo,
19:51 en compagnie de plusieurs membres du gouvernement,
19:53 a déclenché que le centre offrirait un lieu de traînement pour les agriculteurs et les experts agricoles
19:58 qui utiliseront les techniques et outils de la farmation agricole moderne
20:01 pour améliorer la déficience alimentaire et promouvoir la consommation des produits faits en Cameroun,
20:06 comme prévu par le président de l'État, le président Paul Bier.
20:09 Le boss de la Forêt et de la Vie noire a aussi inauguré un lieu de 42 hectares
20:13 situé à un champ d'air pour l'utilisation de la formation de drones,
20:16 de la formation de gardiens de la forêt et de la collection de données géospatiale
20:19 qui offrirait une surveillance holistique du centre, de la production et des sites de transformation.
20:25 Ils joueront un rôle important dans la pochette de cabins, les transhumains
20:30 et contribueront significativement dans la surveillance des terres de farme,
20:33 des sites de transformation et de l'ensemble de la zone forêt.
20:35 En bref, nous avons mis en place des structures modernes qui nous permettront d'être plus efficaces sur le terrain.
20:43 Le centre, construit par la coopération GIZ de la Cameroun-Germany-Aujours
20:48 et soutenu par la Commission de la forêt centrale africaine, COMIFAC,
20:52 offrira un environnement de l'apprentissage et de la production pour le multiple utilisation de la terre
20:56 grâce au travail de l'agro-civil-pastoral,
20:59 plus des professions artisanales, ainsi que des innovations pour améliorer l'énergie et l'efficacité alimentaire.
21:05 Des données de la Commission de la forêt centrale africaine ont souligné que la réalisation du centre international
21:10 aura un impact sur la développement dans la zone forêt centrale.
21:12 Si les habitants peuvent sustainablement améliorer leur vie,
21:16 ils n'auront pas de raisons de détruire les parcs et de menacer la diversité de la forêt centrale.
21:21 Le centre d'entraînement agro-pastoral régional pour les populations indigènes et transhumaines
21:25 soutiendra également les systèmes de production d'éco-tourisme et aidera à lutter contre l'emploi.
21:31 Les journalistes, sous l'union de l'UPRF et d'autres, en entraînement à l'université de Yaoundé,
21:41 sont dans la course de l'utilisation des outils technologiques d'information dans la pratique du journalisme.
21:47 Grâce à un entraînement d'un jour qui a été déroulé aujourd'hui sur le campus de l'université de Yaoundé,
21:53 les journalistes ont émis un point de vue sur l'utilisation de l'intelligence artificielle.
21:59 Léonard Porter a passé la journée à l'entraînement,
22:02 qui a été l'un des éléments de la commémoration de la Journée de la liberté de la presse à Cameroun.
22:08 L'intelligence artificielle peut streamliner des tâches comme l'analyse des données,
22:14 le vérifiant des faits et même la génération de contenus,
22:17 permettant aux journalistes de se concentrer sur une plus profonde investigation et la racontation.
22:21 C'est l'un des avantages de l'utilisation de l'intelligence artificielle,
22:25 mais ces journalistes et leurs parents ont été préoccupés par le fait qu'il y a un point de vue sombre à atteindre.
22:31 Nous parlons d'outils comme l'IA, que tout le monde parle,
22:37 qui permettent de générer des contenus.
22:39 L'IA est très importante. Nous parlons aussi de vérifier les faits.
22:44 Quand vous avez une compte Google, vous pouvez avoir différents autres services,
22:47 comme Google Docs, Google Drive, qui permettent de communiquer.
22:50 Pour les journalistes et ceux qui ont un avenir à l'intérieur,
22:54 ils ont été préoccupés par le risque de perdre des données, des contenus, des pages et des profils,
22:59 si ils ne sont pas sécurisés.
23:02 Il faut installer un enregistreur et réduire le risque de problèmes de sécurité.
23:07 En tant que journaliste, il faut éviter de partager votre propre information,
23:13 avoir un bon pass.
23:15 Les participants de l'exchange sont en train de tester.
23:18 L'IA est un nouveau monde, un nouveau concept.
23:23 Nous sommes tous un peu effrayés.
23:27 Je suis vraiment ému de ce séminaire.
23:31 Il faut considérer le cyberespace.
23:34 C'est très important pour nous de donner de la bonne information,
23:38 de pratiquer vraiment et de faire en sorte que le journalisme soit le journalisme.
23:44 Par ces enseignements, l'Union des journalistes francophones commémore le Journée de la liberté de la presse
23:49 en apportant des directions pour améliorer les pratiques de journalisme
23:53 pour les tendances actuelles et les défis temporaires.
23:57 Je vais vous envoyer à Chard,
24:01 où les campagnes pour l'élection présidentielle du 6 mai sont en train de négocier leur dernière étape,
24:08 avec des candidats qui multiplient les stratégies pour obtenir les plus hauts noms,
24:12 au moins dans cette première ronde de l'élection.
24:15 10 candidats sont en train de se prendre,
24:18 avec 2 en tant que 4.
24:20 Le président transitional, Mohamed Idris Debi Itno,
24:24 et le président actuel, Sikse Masra.
24:27 Edniza Akanga est en assignement spécial à Chard.
24:34 La présidentielle élection de Chard s'approche de la guerre entre le président transitional,
24:40 Mohamed Idris Debi Itno, et le président actuel, Sikse Masra.
24:46 On aurait cru que l'élection serait une arrangement entre le président transitional et son président actuel.
24:53 Très loin de cela, Mohamed Idris Debi Itno souhaite gagner l'élection pour légitimer son rôle.
25:02 Il a pris la présidence transitional en 2021,
25:05 en suivant la mort de son père, Idris Debi Itno, sur le terrain de la guerre.
25:10 Mohamed Idris Debi Itno souhaite également gagner l'élection
25:15 afin de maintenir le groupe de la famille Debi en pouvoir après plus de 30 ans.
25:20 Son principal défenseur, Sikse Masra, qui est le premier ministre,
25:25 est un personnage de l'opposition qui est retourné de l'exil en novembre 2023.
25:30 Il est un bon écouteur qui a mis en place des rassemblements et qui veut terminer la confiscation de pouvoir de la famille Debi.
25:39 Si aucun candidat ne gagne en majorité dans l'élection le 6 mai,
25:44 une deuxième ronde sera organisée le 22 juin 2024.
25:49 Le directeur général de l'entreprise Cameroon Water Utilities a envoqué à la staff de Cameroon Water
25:58 de continuer à pousser pour le développement de l'entreprise.
26:02 Bless Moussa a parlé en s'unissant à ses collaborateurs dans les célébrations de l'hiver d'hier,
26:08 en demandant aux staffs d'inculquer les valeurs de la transformation positive dans leurs collègues.
26:15 Cynthia Rethim est en douane.
26:18 C'était un grand défi sur l'ex-planète de la maison de la Club Cameroon Water
26:24 et les staffs de la coopération Cameroon Water Utilities ont conversé pour un moment de communion avec le top management,
26:32 une réunion qui dépique la convivialité qui existe dans l'entreprise.
26:37 En parlant sur l'occasion de la célébration des jours de travail internationaux,
26:41 le représentant de la staff a posé les plaisirs du travailleur,
26:45 en cherchant l'amélioration des conditions de travail et de l'environnement de travail,
26:50 en promettant à ses collègues de se préparer à continuer d'être assidu,
26:55 de respecter l'hierarchie et de continuer d'obtenir les valeurs de la coopération.
27:00 En parlant aux staffs de Cameroon Water, le directeur général dit qu'il est conscient de leurs peurs,
27:06 mais le rappelle qu'il est sur le bon chemin pour remédier à leur situation.
27:11 Il a également utilisé l'occasion de les saluer pour leur sacrifice continu.
27:19 "Vous avez fait de votre mieux dans la pluie et sous le soleil,
27:24 juste pour s'assurer que l'eau soit disponible pour la population,
27:27 mais nous devons continuer de communiquer sur nos activités."
27:31 Tôt au lieu de la cérémonie de Besseke, des hommes et des femmes de Cameroon Water,
27:38 qui étaient beaucoup bien vêtus dans leur fabrique de l'entreprise bleue,
27:43 ont marqué leur présence dans le grand style,
27:45 en se luttant pour le soleil scotchant,
27:47 comme ils ont passé le sol cérémonial avec la détermination
27:51 de porter sur le contrôle social dans leur structure.
27:55 Le but principal de Cam Water, notamment la provision d'eau pour tous,
28:00 a été démontré au sol cérémonial de Besseke,
28:03 comme ils sont venus avec un tank d'eau pour les travailleurs pour quitter leur faim,
28:08 sans charge.
28:11 Et c'est avec un appel aux travailleurs du port de Cribi
28:16 de respecter les normes et les éthiques professionnelles,
28:19 ainsi que les règles et les régulations du Code du Travail de Cameroun
28:24 dans l'exercice de leurs duts,
28:26 que les activités de la journée de travail ont eu lieu dans le resort du Cécile.
28:30 Les célébrations de la journée de travail se sont déroulées
28:33 dans la présence de l'Assemblée locale et des officiels de gouvernement.
28:37 Paul Lecap Attia, des Rapports de Cribi.
28:41 Le port de Cribi-Dibsi est l'une des entreprises de la division océanique
28:45 qui a été déroulée au sol cérémonial de Cribi
28:48 avec le plus de employés
28:50 lors de la célébration de la 138ème édition du Jour du Travail international.
28:54 Dans un pas de marche coloré pour marquer le Jour des Travailleurs,
28:57 le port de Cribi-Dibsi se distingue de l'autre 130 entreprises
29:02 et entreprises de la division océanique dans leur meilleure régalia et conditions de travail.
29:07 Le directeur général du port de Cribi-Dibsi, Patrice Melon,
29:10 dit que leur priorité est de garder leurs travailleurs
29:13 en conditions sociales et environnementales satisfaisantes
29:16 pour assurer une production profitable.
29:18 Le pas de marche coloré vient après une conférence de table ronde
29:35 organisée par le gouvernement du port de Cribi-Dibsi
29:38 pour éduquer ses personnels sur comment chaque ressource humaine
29:41 peut être mis en œuvre pour améliorer leurs conditions de travail
29:45 et améliorer la performance du port.
29:47 Le directeur général de la division océanique, N'Houbello,
30:00 a ordonné le port de Cribi-Dibsi et d'autres structures participatives
30:04 et a demandé à eux de continuer à travailler en ligne
30:07 avec les règles qui gouvernent le code laboratoire cameroonien.
30:31 Le dialogue social est un pilier de résilience et de cohésion sociale.
30:34 Le port de Cribi-Dibsi a été créé en célébrant la 138e édition
30:38 du Jour du Travail international,
30:40 avec une réception organisée pour les travailleurs
30:43 et une hiérarchie de la division océanique pour communiquer en famille.
30:48 Les travailleurs de la région du sud ont fait le tour du Jour du Travail
30:52 avec l'assurance des gouvernements,
30:54 un continu de commitment à améliorer les conditions de vie et de travail
30:58 et à éliminer les injustices au travail.
31:01 Sylas Kwan a rapporté à la parade,
31:04 comme a été conduit par le directeur général de la division océanique, Félix Ngelengele.
31:09 L'atmosphère était celle de l'excitement et de la relaxation
31:13 entre les travailleurs, en robes colorées.
31:16 C'est la semaine d'octobre,
31:18 lorsque le marché a passé le grand stand
31:20 au terrain cérémonial de l'Encovo à Ebola.
31:22 C'était un grand jour,
31:24 de marcher avec nos collègues,
31:26 comme une famille.
31:28 En tant que travailleur, je me sens bien,
31:30 parce que le marché s'est bien passé.
31:33 La parade de travailleurs, plus de deux heures,
31:36 a amené ensemble des membres de différentes unions de travail,
31:39 différentes entreprises publiques et privées,
31:42 et des organisations non-gouvernementales.
31:46 Le gouverneur du Sud a reçu l'occasion
31:49 de les assurer des efforts
31:51 qui ont été faits par les gouvernements
31:53 pour améliorer les conditions de travail.
31:55 Nous avons insisté sur le travail de décent.
31:58 Nous pensons que dans la région sud,
32:00 les Camarilles doivent être fournies du travail de décent.
32:04 Nous faisons tous les efforts
32:06 pour que cela soit une réalité.
32:09 Le marché a été plus vibrant
32:11 avec un défilé de marchandises,
32:13 y compris des équipements de construction de route
32:15 de la région sud-canadienne.
32:17 Un autre point de vue
32:19 était l'award des médailles aux travailleurs méritoyaux.
32:21 Il y a un instant,
32:23 nous parlions du jour de la liberté de la presse mondiale
32:25 qui s'annoncera à Cameroun demain.
32:27 C'est dans cette perspective
32:29 que les organisations médiatiques du pays
32:31 ont été encouragées
32:33 à prioriser l'information
32:35 qui adresse le changement climatique
32:38 pour nous aider à sauver l'humanité
32:40 des chocs climatiques menacés.
32:43 C'était la substance d'une conférence
32:45 sur les défis du changement climatique
32:47 à Cameroun,
32:49 modérée par le Secrétaire général
32:51 du ministère de la Communication,
32:53 Professeur Félix Zogho.
32:55 Yoti Kallé-Lissonga a annoncé
32:57 que la conférence
32:59 était un développement pour le jour de la liberté de la presse mondiale
33:01 qui s'annoncera à Cameroun demain.
33:04 Les journalistes camerooniennes
33:06 ont été touchés par le changement climatique.
33:08 Un journaliste a dit que la population
33:10 ne sait pas quand il va pleuvoir ou briller.
33:12 Au final, les organes médiatiques sont expectés
33:14 à informer constamment l'audience
33:16 des conditions climatiques.
33:18 Quel est notre but ?
33:20 Que nous donnons de l'information
33:22 qui peut aider les gens à prendre des décisions
33:24 informelles et à prendre des décisions informelles.
33:26 Quand vais-je planter, par exemple ?
33:28 Est-ce nécessaire pour nous
33:30 de nous enlever du pays ?
33:32 Est-ce nécessaire pour nous
33:34 de nous enlever du pays ?
33:36 Nous devons aussi nous rapporter
33:38 de façon à donner une sorte d'alerte aux gens.
33:40 La Nationale Observatoire sur le changement climatique
33:42 révèle que la prognose
33:44 50 ans de d'aujourd'hui n'est pas
33:46 plus brillante,
33:48 en disant que les options espérantes
33:50 sont l'adaptation du changement climatique
33:52 ou la mitigation des effets
33:54 en réduisant les émissions de gaz vert et d'autres
33:56 hazards environnementaux.
33:58 Les compétences de la reportage environnementale
34:00 sont donc les mêmes que celles des journalistes.
34:02 Pour informer les partenaires,
34:04 que ce soit les policiers,
34:06 les législateurs, les organisations civiles,
34:08 la histoire du Cameroun doit être racontée
34:10 dans le monde global,
34:12 pas seulement dans nos confins nationaux.
34:14 Le jour de la liberté de la presse du monde,
34:16 le 4e état,
34:18 a ainsi accueilli l'inclusion
34:20 dans la lutte contre le changement climatique.
34:22 Et c'est tout pour vous et moi
34:24 pour cette semaine.
34:26 Je vous revois le lundi.
34:28 Merci d'avoir regardé.
34:30 [Musique]
34:59 *Bruit de coup de feu*