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Les conclusions de l'enquête concernant l'agression de la jeune Samara, 13 ans, à Montpellier (Hérault) au début du mois d’avril, ne plaisent pas à sa mère. 

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Transcription
00:00Mal-être croissant, mais pas de possibilité d'établir l'existence de harcèlement scolaire.
00:05Ce sont les conclusions de l'enquête administrative de l'agression de Samara Rouedekou le 2 avril dernier.
00:12Sa mère, qui avait demandé à ce que sa fille ne sorte pas de l'établissement, se sent trahie.
00:17« Par manque de preuves au niveau du relevé téléphonique, on en conclut que j'ai menti,
00:23que ma fille n'a jamais été harcelée.
00:25On explique que le professeur ne m'a jamais prévenu que Samara allait se faire frapper.
00:32Il m'a dit les mots pour mots, je crains pour votre fille, venez la récupérer.
00:37Ces jeunes ne sont pas là pour parler avec elle, ils sont venus pour la frapper. »
00:41Interroger le professeur principal ni l'avoir informé d'un danger imminent.
00:45Selon la ministre de l'Education nationale, Nicole Belloubet,
00:48la vie scolaire a suivi de manière resserrée l'adolescente de 13 ans
00:52et constaté la dégradation de ses relations avec les élèves comme avec les adultes.
00:57« Au vu des éléments portés à sa connaissance, ce collège a fait tout ce qui était en sa possibilité.
01:02Il y a eu un suivi de l'élève, elle a été entendue plusieurs fois par les équipes éducatives avant le drame. »
01:08Une enquête judiciaire est également en cours
01:11pour laquelle cinq mineurs ont été mis en examen pour tentative d'homicide.
01:15Contrairement à l'enquête administrative,
01:17celle-ci pourrait donner l'accès aux conversations téléphoniques du jour du drame.
01:22Sous-titrage Société Radio-Canada

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