La dépêche d'Andréa Bruche : Gabriel Attal sur opération "Boussole"

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Retrouvez Cyril Hanouna désormais le samedi et le dimanche dès 18h50 pour Face à Hanouna !   Au programme : des débats sur l'actualité politique, mais aussi le retour de séquences cultes.

Transcript

00:00 *Musique*

00:08 Ils ont jamais été aussi déçus de me voir.

00:10 Ah mais merci.

00:11 Andrea, les plus belles coucouilles du monde.

00:14 *Rires*

00:17 Par contre, t'as tous les agents de sécu qui sont là, j'ai jamais vu autant de mutinés à l'entrée.

00:21 Là je peux vous dire, on a une sécurité là, c'est incroyable.

00:24 Aucun attentat, rien.

00:26 On est tranquille.

00:27 On est dédiés.

00:28 On en a reçu des gens.

00:30 J'ai entendu la vanne, ils sauraient être comme des piquets.

00:33 Fais gaffe quand même.

00:35 *Rires*

00:37 Bon ben on a un peu d'ambiance aussi dans cette chronique.

00:39 Cette semaine c'était soirée karaoké sur BFM et il faut faire ça plus souvent les gars.

00:42 Il y avait une ambiance de Zinzin sur le plateau.

00:44 Zinzinou et Deglingo.

00:45 *Musique*

00:50 Enregistré par les banalisés.

00:52 Hasta luego faisant un, hasta luego faisant deux, hasta luego ou hasta luego.

00:57 *Rires*

00:59 Ces derniers jours le froid était de retour en France.

01:01 Un froid glacial qui a eu raison de notre pauvre petit François Bayrou.

01:04 Tout ça c'est la même idée.

01:05 *Tousse*

01:10 Transforme-les en...

01:12 Ouais ça va mieux comme ça.

01:13 Cette semaine fallait pas trop compter sur CNews aussi pour avoir une phrase complète à l'antenne.

01:17 Grande interview avec ce matin Aurore Berger, ministre en charge de l'égalité hommes-femmes et de la lutte contre...

01:23 *Musique*

01:24 On ne saura jamais contre quoi.

01:25 *Rires*

01:26 Reste bien avec nous, tout de suite retrouvez le grand...

01:28 Le grand quoi ?

01:29 *Rires*

01:30 Ça se passe comme ça, la régie qui était pressée de partir en week-end.

01:32 Tout comme Stéphane sur Public Sénat qui en avait plus rien à foutre de la politique.

01:35 C'était déjà Bora Bora le gars.

01:37 Merci Agnès, je suis en mode merci beaucoup.

01:39 A la semaine prochaine Stéphane ?

01:40 Ah non, je suis en vacances.

01:41 Ah ben bonne vacances alors.

01:43 Stéphane Sud Radio recevait Robert Ménard et heureusement que c'est un homme de parole.

01:47 Quoi dit quelque chose, il le fait.

01:49 Je vous donne un chiffre, je veux pas vous assommer de chiffres mais quand même parce que je l'ai lu et ça m'a sidéré.

01:54 Il y a eu un peu plus de 1600.

01:56 10%.

01:57 1 sur 10, 7 ans.

01:58 Au lieu de 2 ans, ce sera 3 ans.

01:59 45 millions.

02:00 2 fois moins.

02:01 10, 11, 12, 3 ou 4, 17, 6 mois, 1 mois, 2 mois, 2014, 13, 11, 23 heures.

02:05 Je ne veux pas vous assommer de chiffres.

02:07 Tu mens, tu mens !

02:08 T'as raison et on finit avec une petite recette signée Madame la ministre Olivia Grégoire.

02:12 Sur une mayonnaise, il y a de l'huile, des oeufs, de la moutarde.

02:19 Bon.

02:20 Merci Olivia.

02:21 Simple et efficace.

02:22 On va faire vite parce que Raymond est pressé de passer à la suite.

02:28 Elle sera avec nous dans un instant, Laura Frison.

02:32 Elle a été élue les plus belles fesses du monde.

02:34 Pas de France, du monde.

02:36 C'est dingue.

02:37 C'est ouf.

02:38 J'ai pas encore vu mais je ne l'ai vu que de visu.

02:42 Ça a l'air très sympa.

02:47 On a tout de suite sympathisé.

02:49 Par contre, elle vient de me dire qu'on a l'œil plein le cul d'attendre.

02:53 On va faire vite.

02:58 Cette semaine, Gabriella Tal c'est rendu dans un lycée de Nice pour lancer l'opération boussole avec les jeunes.

03:03 Le concept, les lycéens en difficulté qui vont passer leurs vacances encadrés dans un programme strict.

03:08 Ça a commencé par l'intervention de leur prof d'histoire-géo qui avait tout préparé son discours, sauf le moment où il fallait tourner la page.

03:14 Un bébé.

03:15 Depuis plus d'un siècle.

03:17 On notera la bienveillance de Gabriella Tal qui se retenait d'éclater de rire.

03:22 Il y a donc pas de réussite.

03:24 Enfin, souvenez-vous en janvier dernier de l'accueil de Maboul qu'avait reçu Gabriella Tal au collège.

03:30 Ça va, ça s'est bien passé la journée ?

03:34 Eh bien, le moins qu'on puisse dire, c'est que c'était pas trop la même ambiance cette semaine à Nice.

03:38 Est-ce que vous êtes content d'être là d'abord ?

03:40 Non, non, vous êtes pas content d'être là ?

03:42 Ma mère m'a forcé, c'est tout.

03:44 Non, moi je suis pas content du tout.

03:45 Ma mère m'a obligé.

03:46 Très content d'être là.

03:47 Non, on n'a pas d'autre solution, genre.

03:49 Toi, mon voisin ?

03:52 J'ai rien à dire.

03:53 En même temps, c'est assez compréhensible quand on voit leur planning qu'ils ont prévu avec un lever tous les jours à 7h du mat.

03:58 Et 7h45 le dimanche, c'est trop gentil les gars, fallait pas.

04:03 Bon, pas des jeunes hyper contents donc, mais ils étaient venus tranquilles, petite basket au pied.

04:08 Et autant vous dire qu'ils étaient assez surpris en découvrant les mochassins du Premier ministre.

04:11 Lorsque M. le garde des Sceaux me fait part de ce projet, je n'imaginais pas que les choses auraient piré aussi vite.

04:18 Finalement, c'est un peu comme si Gabriella Tal était retournée à l'école. Dans sa tête, il pensait qu'il y a une chaussée.

04:22 Là, ça ne rit, il était bien agité.

04:24 L'activité physique.

04:26 Et à côté, il était à fond lui aussi.

04:29 Mais qui dit lycée dit taquinerie.

04:31 Sauf que ça passe quand même mieux quand tu fais ça à ton pote, ton Premier ministre de la République française.

04:35 Madame.

04:36 Merci.

04:37 Il y a même une petite sœur.

04:39 On a un petit frère.

04:40 C'est énorme.

04:45 C'est énorme.

04:46 Franchement, c'est énorme.

04:48 On va dire que j'ai dû chier au Premier ministre.

04:50 Non mais c'est très drôle.

04:52 Je les adore eux.

04:53 C'est incroyable.

04:54 Il y avait Éric Dupond-Moriti également.

04:55 Vous aimez aussi.

04:57 Éric Dupond-Moriti.

04:58 Les jeunes vous adorez.

04:59 Éric Dupond-Moriti vous adorez.

05:01 Éric Dupond-Moriti.

05:02 C'est l'ironie.

05:03 J'étais au second.

05:04 Il est fixé maintenant en plus.

05:06 Gabriel Atta, j'aime bien.

05:07 C'est bien.

05:08 Pas mal.

05:09 Il t'aime bien aussi.

05:10 Je sais qu'il t'aime bien.

05:11 Éric Dupond-Moriti, tu ne peux pas dire qu'il m'aime bien.

05:14 Ils tirent tous des têtes d'enterrement.

05:15 On a l'impression qu'ils vont au bague.

05:16 Moi, j'ai vu le planning de leur stage.

05:18 Là, c'est pisse et neuf.

05:19 Ils se lèvent avec un cours d'estime de soi.

05:22 Après, ils ont des sorties cinéma.

05:23 Ils ont des balades en mer.

05:24 Ça va, ils sont marrants.

05:25 Moi, je les ai kiffés.

05:26 Ce n'est pas le bal, je tiens juste à dire.

05:28 Ça va, ils sont marrants.

05:29 Calme-toi un peu.

05:30 Ça va, c'est ça.

05:31 Il a raison.

05:32 C'est des jeunes qui sont en décrochage.

05:33 Ils sont trop jolis.

05:34 Oh, laissez-les tranquilles.

05:35 Moi, je les ai kiffés.

05:36 Parce que moi, j'ai adoré leur naturel.

05:37 Moi, c'est ça que j'aime.

05:38 C'est qu'ils sont devant le Premier ministre.

05:39 Ils ne font pas de mythos.

05:40 Moi, c'est ça que j'aime.

05:54 Ils sont marrants.

06:15 C'est ça que j'aime.

06:36 C'est ça que j'aime.

07:04 C'est ça que j'aime.

07:16 C'est ça que j'aime.

07:39 C'est ça que j'aime.

07:55 - C'est un détroit !

07:57 (Applaudissements)

07:58 [Musique]

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