L'incroyable libération de George Harrison après les Beatles : "Mon doux Seigneur

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La carrière solo de George Harrison après les Beatles

Féru de spiritualité et avide de connaissances sur les religions orientales, George Harrison décide de se lancer en solo après la dissolution des Beatles en 1970. Son premier album, "All Things Must Pass", est un triple album qui connaît rapidement un grand succès. Parmi les chansons emblématiques de cet album figure "My Sweet Lord", qui devient rapidement un succès international. Retour sur l'histoire de cette chanson.

Le vide laissé par la séparation des Beatles

L'année 1970 marque un tournant dans l'histoire de la musique avec la séparation des Beatles. Si l'alchimie entre les quatre artistes s'est dissipée, leur amour pour la musique reste intact et chacun poursuit sa passion en solo ou au sein de nouveaux groupes.

"My Sweet Lord" : une fusion entre pop et sonorités orientales

George Harrison ne fait pas exception et se lance immédiatement dans son nouveau projet,"All Things Must Pass", sorti en novembre 1970. Ce triple album est immédiatement remarqué et salué par la critique. Parmi les différentes chansons, une se démarque particulièrement : "My Sweet Lord".

L'inspiration derrière "My Sweet Lord"

Écrite en décembre 1969 en collaboration avec Billy Preston et Eric Clapton, l'idée de cette chanson vient à Harrison après une discussion avec Rita Coolidge, Delaney et Bonnie Bramlett sur le gospel. Suite à cette conversation, l'ancien Beatle demande comment créer une chanson de gospel parfaite, et les trois chanteurs improvisent alors une mélodie composée de "Oh My Lord" et de "Hallelujah".

Un enregistrement complexe

L'enregistrement de "My Sweet Lord" a lieu aux studios Abbey Road, avec la participation de Phil Spector et de nombreux autres artistes tels que Ringo Starr, Jim Gordon, Eric Clapton et Gary Wright. En raison de la complexité des superpositions de guitares, l'enregistrement de cette chanson prend près de douze heures.

La recherche de la perfection

Selon le livre d'Olivia Harrison, "George Harrison: Living in the Material World", Phil Spector aurait affirmé que Harrison était au-delà du perfectionnisme. Il voulait que tout soit absolument parfait. De son côté, Harrison aurait déclaré qu'il s'était senti comme un homme constipé pendant des années, et qu'il avait soudainement eu une inspiration fulgurante.

Les craintes de George Harrison

Malgré l'interprétation pacifiste et spirituelle de "My Sweet Lord", inspirée par les enseigne

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