Retour sur le nouvel accrochage entre Cyril Hanouna  et Jean-Michel Aphatie sur les réseaux sociaux - Vidéo Dailymotion

Touche pas à mon poste

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Transcript

00:00 Alors il a fait un roman.

00:02 Il a fait un roman.

00:04 Non mais c'est un truc de fou.

00:06 Regardez ce qu'il a écrit.

00:08 Oh la la.

00:10 Il y a même un mapé.

00:12 C'est un truc de fou.

00:14 Est-ce que vous voulez que je vous le lise ou pas ?

00:16 Oui, oui.

00:18 Dans cet extrait, Géraldine Maillet confirme

00:20 ce qu'elle avait déjà dit quelques jours auparavant.

00:22 "Je serai, moi, selon elle,

00:24 le symbole de tout ce qui ne va pas en France."

00:26 Cette sentence est confirmée dans l'extrait

00:28 par Cyril Hanouna. Déjà, qu'est-ce que vous répondez à ça ?

00:30 Vous allez répondre point par point.

00:32 Oui.

00:34 Je ne sais pas.

00:36 Il n'a pas d'autre truc à faire que regarder

00:38 TPNP qui méprise, nous écouter alors qu'ils nous méprisent.

00:40 Voilà, moi je lui ai parlé.

00:42 Je lui ai dit que je n'étais pas d'accord

00:44 avec ce qu'il avait dit ou ce qu'il avait tweeté.

00:46 Voilà, on n'est pas compatibles.

00:50 Et puis voilà, on passe à autre chose.

00:52 Je ne comprends pas cette fixette qu'il a.

00:54 Pourquoi il tweet comme ça ? On a l'impression que c'est sa seule façon d'exister.

00:56 Je ne comprends pas.

00:58 Ensuite, "Quand de telles sommités

01:00 s'accordent sur un constat, il faut l'accepter.

01:02 Donc je suis le symbole,

01:04 personne qui incarne de façon exemplaire

01:06 de tout ce qui ne va pas en France.

01:08 Voici la liste." Bon, il m'a saoulé.

01:10 C'est l'OPG.

01:12 Déjà, je suis fatigué.

01:14 Je vais vous dire la réalité. Il a mis les audiences moyennes de TPNP.

01:16 Donc, je me suis permis de l'appeler.

01:18 Ah.

01:20 Il a mis les audiences moyennes de TPNP.

01:22 Je lui ai dit, si nos audiences sont moyennes, les tiennes sont très moyennes.

01:24 Jean-Michel, je l'ai appelé. C'est très bien passé.

01:26 Je ne vais pas rentrer dans le thème, mais c'est très bien passé.

01:28 On a discuté. Je lui ai dit ce que je pensais de lui.

01:30 Et voilà, il m'a dit

01:32 qu'il n'en avait rien à branler.

01:34 Mais selon nous, très sympa.

01:36 J'ai dit qu'il peut continuer à tweeter, que maintenant, il avait mon numéro

01:38 et qu'il arrête de harceler Géraldine.

01:40 Je vais vous dire la vérité, parce qu'il a appelé Géraldine 4 fois.

01:42 C'était un numéro qu'elle ne connaissait pas.

01:44 Et je connais Gégé. Ça l'a un peu saoulé.

01:46 Je me trompe ou pas ?

01:48 - Il a fait une heure et demie un long message.

01:50 10 heures, à nouveau, un appel.

01:52 10 heures et demie, un autre message.

01:54 - Oui.

01:56 - Encore une demi-heure après, un autre appel.

01:58 C'est vrai que j'étais un peu surprise.

02:00 Et puis, en plus, je ne sais pas,

02:02 j'ai l'impression que lui s'exprime tous les soirs

02:04 à la télévision de manière libre.

02:06 Il donne son avis. Il dit "j'aime, j'aime pas".

02:08 Il critique énormément.

02:10 Donc, après tout, chacun a notre liberté de ton.

02:12 Il n'est pas obligé d'être d'accord avec nous.

02:14 - Je vais vous le dire.

02:16 Le côté... Pardonnez-moi, le deuxième paragraphe.

02:18 Le deuxième paragraphe,

02:20 donc là, je ne le vois pas, mais il dit

02:22 qu'en ce genre de sommité... - Enlevez ça, s'il vous plaît.

02:24 - Et voilà. Et il y avait toujours un peu

02:26 quand, en gros, ces abrutis,

02:28 ces bas du front...

02:30 Donc, il y a toujours un petit mépris

02:32 que je trouvais un peu désagréable.

02:34 - Il a dit "oui, tu ne pourrais pas travailler avec nous".

02:36 Il m'a dit ça. Parce qu'il trouve que...

02:38 Il trouve que je vous traite mal, il a dit.

02:40 Je lui ai dit "je pense que tu serais plus heureux

02:42 chez nous qu'avec tes amis

02:44 de chez Jeff Panacloc".

02:46 J'adore Jeff Panacloc, mais c'est vrai.

02:48 Donc, voilà. Donc, il est encore... Il est en roue libre.

02:50 C'est toute la journée.

02:52 En plus, je lui ai dit

02:54 "tu me fais de la peine, mon Jean-Michel,

02:56 t'as rien d'autre à faire, franchement. Fais tes trucs.

02:58 Va, je ne sais pas, à ton âge,

03:00 je ne sais pas,

03:02 qu'est-ce qu'on fait ?

03:04 Va faire du bridge.

03:06 Va faire du bridge,

03:08 va faire des marches.

03:10 Va acheter des chôles, mais je ne sais pas.

03:12 Mais, sans rigoler, le pauvre,

03:14 il se tue la santé avec nous.

03:16 Je vous jure que c'est vrai. Je lui ai dit "il me fait de la peine,

03:18 je n'ai rien contre lui".

03:20 - Moi, je ne le reconnais plus.

03:22 - Et il m'inquiète.

03:24 - Moi aussi, je suis inquiet pour lui.

03:26 Vous savez ce que je veux dire ? Je suis inquiet pour toi.

03:28 Je trouve qu'il se prend la tête pour rien.

03:30 - C'est qu'il ne doit pas aller bien,

03:32 il cherche des causes à défendre

03:34 qui ne sont pas les bonnes.

03:36 Je ne comprends pas.

03:38 S'il nous entend, qu'il lance un appel au secours

03:40 et on viendra l'aider, parce que pour moi,

03:42 il va très mal.

03:44 - Jean-Michel, on est là pour t'aider.

03:46 Ne te trompe pas d'ennemis.

03:48 On est certainement plus tes amis.

03:50 Regarde même comment tu m'aimais.

03:52 Tu étais chez Jordan Deluxe à l'époque.

03:54 Regarde ce que tu disais de moi.

03:56 C'est ce Jean-Michel que j'aime.

03:58 Jean-Mi, oublions tout.

04:00 Viens m'embrasser.

04:02 - Viens m'embrasser.

04:04 - Oui, rouleau aiglésiasme.

04:06 Demain, tu vas partir, alors pourquoi pleurer ?

04:08 - Regarde mon chéri.

04:10 - Vous allez y retourner ?

04:12 - Il m'a invité une ou deux fois.

04:14 C'était pendant la crise des gilets jaunes.

04:16 - Vous rouliez autour de la table,

04:18 toutes les semaines ?

04:20 - Il ne faut jamais dire non par principe.

04:22 - Ça ne vous a pas plu ?

04:24 - Non, je trouve que Cyril Hanouna

04:26 est un personnage moderne

04:28 qui apporte quelque chose à la télévision.

04:30 Après, il faut se laisser porter par les vents.

04:32 - Moi, c'est Jean-Michel que j'aime.

04:34 Je ne retiendrai que ça.

04:36 - Jean-Michel, en tout cas,

04:38 tu es le bienvenu si tu veux être invité ici.

04:40 Et même si "Quotidien" doit s'arrêter,

04:42 ou je ne sais pas...

04:44 - Les vents le verraient.

04:46 - Toi, tu sais que tu seras toujours le bienvenu ici,

04:48 à côté de Bernard Montiel, tu vas voir,

04:50 tu vas tenir deux émissions parce qu'il est saoulant.

04:52 Je te le dis, mais je prendrai soin de toi,

04:54 mon Jean-Michel.

04:56 - Il ne devait pas arrêter Twitter, l'équipe de "Quotidien".

04:58 - Ils ont repris Twitter parce que les audiences baissaient énormément

05:00 et qu'ils se sont dit "oui, on va le refaire".

05:02 - Mais parce que sur le fond, ils reprochaient quand même

05:04 de véhiculer la haine, etc.

05:06 Tous les membres de l'équipe, en tout cas la majorité,

05:08 font des tweets haineux toute la journée.

05:10 - En plus, je veux dire, à un moment,

05:12 c'est comme "Quotidien", ils disent toujours qu'ils s'en foutent des audiences.

05:14 Ils font un découpage, parfois, ils font une dernière partie de 8 minutes,

05:16 c'est extraordinaire, juste pour mettre les audiences en avant.

05:18 Et puis, ils sont venus sur Twitter juste pour les audiences.

05:20 Mais laissez-les.

05:22 Là, actuellement, ils sont en vacances,

05:24 ils doivent être en train de siroter un papagoulélé.

05:26 En tout cas, on les embrasse.

05:28 J'espère qu'ils auront meilleur mime qu'avant de partir

05:30 parce qu'ils avaient l'air tous fatigués.

05:32 - Et puis, finalement, ça a encore fait un coup de stabilo boss.

05:34 - Ils ont fait la visite médicale.

05:36 - Un coup de stabilo boss sur l'ADN de ce qu'est TPMP.

05:38 C'est-à-dire que TPMP, on n'est jamais d'accord.

05:40 - Bien sûr.

05:42 - On se dispute, on s'invective, on se reprend, etc.

05:44 Et en fait, c'est vivant.

05:46 Et effectivement, dans "Quotidien", il n'y a pas de cette possibilité-là

05:48 puisque chacun fait à tour de rôle sa rubrique.

05:50 Et donc, finalement, il n'y a pas d'interaction.

05:52 Alors que nous, on a l'habitude de ça.

05:54 Donc moi, j'aurais adoré l'avoir en face de moi

05:56 et qu'on ait des arguments, des contre-arguments

05:58 et j'aurais dit exactement la même chose.

06:00 Et donc, voilà. Donc, en fait, il n'y a pas d'hypocrisie

06:02 par rapport à nos prises de position.

06:04 - Je sens qu'on l'aime bien, tous, en fait.

06:06 Non ? Même vous, j'ai l'impression. Pas toi ?

06:08 - Moi, franchement, je m'en fous.

06:10 - T'embrouilles avec quelqu'un, toi.

06:12 Elle est partie de toi, elle est partie d'ici.

06:14 Par classe, t'appelles pas Géraldine pour embrouiller Géraldine.

06:16 T'appelles toi d'abord. Et je m'embrouille d'abord avec toi.

06:18 - Mais c'est moi qui l'ai dit. - Mais pourquoi ?

06:20 - Mais je suis une grande fille.

06:22 - Non, mais c'est pas toi.

06:24 C'est lui qui va faire mieux son émission.

06:26 C'est avec lui qu'il voit qu'il faut s'embrouiller d'abord.

06:28 - T'es beaucoup plus dure que toi avec lui.

06:30 - Après, il t'embrouille, toi, et il t'appelle 4 fois du harcèlement.

06:32 Il l'appelle même pas une demi-fois. Appelle-le une demi-fois, lui,

06:34 et après, tu t'embrouilleras 4 fois avec Géraldine.

06:36 - Je me demande qui lui a donné mon numéro.

06:38 - C'est moi.

06:40 (Rires)

06:42 - C'est un peu pathétique. J'ai l'impression qu'il a trouvé

06:44 une formule incroyable. Il termine tout cette...

06:46 - Et pas étonnant, non.

06:48 - Il s'est piqué à Desproges.

06:50 - Desproges, il disait ça.

06:52 - Un mec qui a eu 25 employés,

06:54 à un moment donné,

06:56 tu t'es fait virer 25 fois d'un endroit.

06:58 Sur Wikipédia, regarde, il a travaillé France Info,

07:00 France 2, France TV, RTL, Europe 1,

07:02 et Sud Radio. Il a travaillé partout, le mec.

07:04 Si, à un moment donné, tu travailles partout,

07:06 tu as 65 ans, arrête Twitter, calme-toi.

07:08 T'as 65 ans, t'es bien, t'as travaillé partout.

07:10 Arrête d'engueuler les gens.

07:12 Arrête d'harceler les gens.

07:14 - Peut-être qu'il a envie de débat.

07:16 - Avec plaisir, mais ça sera le bienvenu.

07:18 À côté de Bernard Montiel, tu vas voir.

07:20 Ça va être vite fait.

07:22 - C'est vivant, ici.

07:24 (musique)

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