La théorie totalement surréaliste de la soeur de Xavier Dupont de Ligonnès, hier soir sur France 2, qui estime que "les cadavres retrouvés seraient ceux d'une autre famille"
  • il y a 2 mois
Invitée de l'émission sur France "Quelle Époque !" samedi 9 mars, Christine Dupont de Ligonnès, la sœur de Xavier, a clamé l'innocence de son frère, accusé d'avoir tué ses quatre enfants et son épouse il y a presque 13 ans.
Pour mémoire, le 21 avril 2011, cinq corps sont découverts sous la terrasse d’un pavillon nantais. Ils sont rapidement identifiés comme étant ceux de la mère et des quatre enfants de la famille Dupont de Ligonnès. Seul manque le père, Xavier, disparu sans laisser de traces et bientôt considéré par la police comme le principal suspect.

Pour Christine, la soeur cadette de Xavier, comme pour son mari Bertram, ces crimes sont inconcevables. Quelques jours plus tôt, ils ont reçu de Xavier une missive datée du 8 avril, décrivant une réalité bien différente.

Alors qu’un déferlement médiatique s’abat sur leur famille, ils décident de se constituer partie civile et accèdent ainsi au dossier de l’instruction.

Dans un livre (Xavier, mon frère, présumé innocent, aux éditions Harper Collins), elle étaye la théorie qu'elle a développée avec son conjoint, Bertram de Verdun.

Selon eux, Xavier Dupont de Ligonnès travaillerait bel et bien pour les renseignements français, et ne serait pas en fuite. Il serait caché, en compagnie de sa famille. Les cadavres retrouvés à leur domicile seraient ceux d'une autre famille.

Et de conclure avec une certitude : "Je pense qu'il est vivant. On n'a aucune raison de le croire suicidé".
Selon elle, Xavier Dupont de Ligonnès et sa famille font partie d’un programme d’espionnage top secret et ils sont partis aux États-Unis. Elle l’affirme, les 5 corps retrouvés dans le jardin, “c’est une mise en scène”. “Je connais le fonctionnement de mon frère et je l’ai eu au téléphone peu avant cette lettre et il n’avait pas du tout la voix d’un assassin”, justifie-t-elle malgré les preuves irréfutables d’ADN retrouvées sur les corps. “Il y a des complices […] J’aborde dans mon livre une hypothèse qui n’a jamais été abordée et j’irai jusqu’au bout même si je ne prétends pas tout comprendre.”
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