Marie Gillain nous parle de ses prochains films et du cinéma belge aux Magritte

Transcript

00:00 - Marie, comment ça va ? - Bien, super !

00:03 C'est cool de venir à une cérémonie du cinéma belge, c'est quoi ?

00:06 C'est super cool, parce que moi j'habite à Paris, j'adore le cinéma belge,

00:12 mais en même temps, c'est pas très très loin, mais en même temps, c'est quand même loin...

00:17 Non, ça me fait hyper plaisir.

00:19 Et je posais la question tout à l'heure à Bouli Lanner,

00:21 je lui demandais s'il avait une définition du cinéma belge.

00:24 Je dirais pas la réponse qu'il a donnée, est-ce que vous en avez une ?

00:27 Oh là là, je suis nulle en définition !

00:30 Mais il doit être comment pour vous le cinéma belge ?

00:33 Je sais pas comment il doit être, mais en tout cas, il est souvent, je trouve, à la fois...

00:39 En fait, il peut être tout à la fois.

00:42 Il peut être à la fois grave, désespéré, et drôle, déjanté, social et héroïque.

00:52 Il peut être un peu tous les pôles en même temps, je trouve.

00:54 C'est quoi le prochain film dans lequel vous vous voie, Marie ?

00:57 Alors il y en a plusieurs, mais là je viens de tourner un film avec Elie Chouraki et Kad Merad,

01:02 qui se passe pendant la Seconde Guerre mondiale.

01:04 Et avant, j'ai participé à un film de Gustave Kernvern, qui était super,

01:09 un autre film de Jessica Palus sur la vie de Marie-Ève Schneider, voilà, notamment.

01:13 Pas mal. Merci beaucoup Marie.

01:15 Là je suis en tournée théâtrice.

01:16 Merci.