Je crois qu’on est là au cœur du « projet » Kabareh Cheikhats. L’instant où le trouble des genres et des effets transformistes sont à l’œuvre sur la scène du théâtre des identités de genre. L’engagement est fin entre distanciation au rôle et identification totale. Une théâtralité malicieuse, joueuse, qui titille le(s) public(s) et s’amuse de ses effets.