Alors qu'Emmanuel Macron a déclaré que l'envoi de troupes occidentales en Ukraine ne peut "être exclu", le porte-parole du Kremlin a prévenu qu'envoyer des troupes en Ukraine ne serait "pas dans l'intérêt" des Occidentaux. De son côté, le chancelier allemand Olaf Scholz a affirmé qu'"aucun soldat" ne serait envoyé en Ukraine par des pays d'Europe ou de l'Otan.
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00:00 Le Kremlin explique que ce n'est pas dans l'intérêt des Occidentaux d'envoyer des soldats au sol combattre aux côtés des soldats ukrainiens en Ukraine
00:10 et que les Occidentaux doivent en être conscients.
00:12 Mais le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a poursuivi en affirmant que si cette éventualité se matérialisait,
00:19 il faudrait arrêter de parler d'une probabilité mais de l'inévitabilité d'un affrontement direct entre la Russie et l'OTAN.
00:26 Pour le porte-parole du Kremlin, le fait que plusieurs pays aient discuté de cette option d'envoyer des soldats combattre sur le territoire ukrainien
00:36 marque un nouvel élément très important dans le conflit.
00:40 Une autre personne à s'être exprimé, c'est Dmitri Medvedev, l'ancien président russe, aujourd'hui vice-président du Conseil russe de sécurité.
00:47 Lui s'est exprimé sur Telegram dans une tirade dont il a le secret.
00:51 Il parle d'un problème d'incontinence douloureux et prolongé pour Emmanuel Macron afin de qualifier les propos du président de la République
00:59 qui concerne non seulement l'envoi de soldats sur le territoire ukrainien, mais aussi le fait que la Russie ne doit pas gagner face à l'Ukraine,
01:07 l'envoi de missiles longs de portée aux Ukrainiens ou encore le désir exprimé par Emmanuel Macron de partager l'arsenal nucléaire français avec d'autres pays européens.
01:16 Quant à la presse, de manière générale, pour l'instant, elle se borne à relayer les propos de Dmitri Peskov et des officiels russes.