Le départ forcé de William Leymergie suite à une blague maladroite : regrets et conséquences
  • il y a 2 mois
#Carrière #Télévision #Départ #Blague

Les détails d'un départ prématuré

Lors de son passage dans l'émission Culture Médias sur Europe 1, William Leymergie a évoqué les moments forts de sa carrière à la télévision. Si Télématin a occupé une place importante dans sa vie professionnelle, l'animateur est revenu encore plus loin dans ses souvenirs.

Il a ainsi mentionné les trois petites années passées à la présentation du Journal de 13 heures sur Antenne 2, de 1986 à 1989. Cependant, il a expliqué qu'il n'était pas resté longtemps sur cette chaîne malgré les bonnes audiences obtenues.

Une blague regrettable

La raison de son départ prématuré ? Une blague qui a mal tourné. William Leymergie a révélé qu'il avait déplu au président de la chaîne avec une plaisanterie un peu osée : lorsqu'à l'époque, les présidents de chaîne se présentaient aux téléspectateurs dans les journaux, il s'était retrouvé face à un inconnu. Au moment de la fin de l'interview, le président de chaîne est passé devant une caméra. Et c'est là que l'animateur a commis l'erreur en déclarant à l'antenne : "Et oui, c'est un métier". Une parole anodine qui lui a vite fait réaliser son erreur.

Les conséquences d'une maladresse

Le président de chaîne est revenu quelques minutes plus tard, après la diffusion de quelques reportages, et a fait un geste de la main qui laissait entendre que William Leymergie était "grillé". Trois mois plus tard, il a été renvoyé de la chaîne.

Des erreurs qui marquent une carrière

Cette anecdote souligne l'importance des mots et des gestes dans le monde de la télévision. Une blague maladroite a suffi pour marquer négativement la carrière de William Leymergie à la tête du Journal de 13 heures. Une leçon qui lui a sans doute permis de prendre du recul sur ses propos par la suite.

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