Divorce tumultueux d'Amélie Mauresmo : des clichés exceptionnels de ses enfants, Aaron et Ayla.
  • 3 months ago
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Un procès à huis clos pour protéger sa vie privée et ses enfants

Amélie Mauresmo, ancienne numéro un du tennis français, est confrontée à un véritable enfer depuis qu'elle a annoncé son intention de divorcer de Marie-Bénédicte Hurel, sa femme âgée de 60 ans. Le procès s'est déroulé le 23 janvier à Bayonne à huis clos, à la demande de l'avocate d'Amélie Mauresmo, en raison de la sphère privée et de la notoriété publique de la joueuse.

L'une des principales raisons pour lesquelles Amélie Mauresmo souhaitait un procès à huis clos était de protéger ses deux enfants. En effet, elle est maman d'un garçon prénommé Aaron, né en 2015, et d'une fille prénommée Ayla, née en 2017. Dans cette procédure de divorce avec Marie-Bénédicte Hurel, avec qui elle était en couple depuis 2014 et qu'elle a épousée en 2021, ce sont les enfants qui risquent le plus de souffrir de cette situation.

Des accusations d'humiliations et de chantage

Amélie Mauresmo affirme être victime d'humiliations, de chantage et d'insultes, notamment par SMS. Elle accuse Marie-Bénédicte Hurel d'être responsable de son calvaire. Cette dernière a été placée en garde à vue en septembre 2023 et nie farouchement les faits qui lui sont reprochés. Son avocat soutient que les SMS échangés entre les deux femmes ne relèvent pas du harcèlement, mais plutôt de discussions animées, étant donné qu'elles vivaient sous le même toit. Il est probable qu'il s'agisse de discussions relatives à l'emploi du temps des enfants, que la joueuse de tennis partage régulièrement sur son compte Instagram.

Une situation préoccupante pour les enfants

En avril 2023, Ayla a célébré ses 6 ans, et sa maman, Amélie Mauresmo, a tenu à lui souhaiter un joyeux anniversaire. En juillet de la même année, elle a partagé une photo de ses deux enfants, Ayla et Aaron, sur une planche de surf lors d'une journée à la plage.

Actuellement, une peine de dix mois de prison avec sursis a été requise contre Marie-Bénédicte Hurel. Le verdict final sera prononcé le 13 février 2024.

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