“La réplique cinglante de Laurence Ferrari face aux moqueries des journalistes suite à sa confrontation avec Emmanuel Macron lors de la conférence de presse (VIDEO)”
- il y a 3 mois
#Journalisme #EducationNationale #Autorité #Débat
Une journaliste qui ne passe pas inaperçue
Ce mardi 16 janvier 2024, lors de la conférence de presse avec Emmanuel Macron, les journalistes ont reçu pour consigne de poser des questions courtes. Cependant, Laurence Ferrari, journaliste de CNEWS, Europe 1 et Paris Match, a capté l'attention en lançant un monologue ressemblant à ses éditos quotidiens sur CNEWS.
Les fractures de l'Éducation Nationale
La première partie de la conférence était consacrée à l'Éducation Nationale, qui traverse une période difficile. Laurence Ferrari a souligné que l'éducation en France était l'une des plus chères au monde et que les résultats scolaires, notamment en mathématiques, étaient peu brillants selon le classement Pisa. Elle a évoqué le manque de candidats pour les postes de professeurs de mathématiques et le manque de connaissances des jeunes sur des événements historiques majeurs tels que la Révolution française, la Shoah et la Rafle du Vel d'Hiv. La journaliste a également pointé du doigt la peur ressentie par de nombreux enseignants face à la violence des élèves, des parents et des terroristes. Elle a ensuite abordé la question de la responsabilité des parents et de la guerre entre écoles privées et écoles publiques.
La question qui dérange
Laurence Ferrari a enfin posé sa question à Emmanuel Macron : elle lui a demandé de donner cinq exemples de mesures visant à restaurer l'autorité dans les écoles. Le président a d'abord répondu avec humour, provoquant des rires dans l'assemblée, avant d'évoquer quelques mesures concrètes.
Le lendemain, Laurence Ferrari est revenue sur la réaction qu'elle a suscitée auprès du président et de l'assemblée. Elle a déclaré ne pas se soucier de la réaction de la salle et a affirmé que les journalistes n'étaient pas là pour être serviles, mais pour apporter des faits et des chiffres. Elle a regretté que le groupe Vivendi n'ait pas eu l'opportunité de poser d'autres questions lors de la conférence de presse et a appelé le président à accepter la contradiction et à s'ouvrir à d'autres opinions.
#Journalisme #EducationNationale #Autorité #Débat
Une journaliste qui ne passe pas inaperçue
Ce mardi 16 janvier 2024, lors de la conférence de presse avec Emmanuel Macron, les journalistes ont reçu pour consigne de poser des questions courtes. Cependant, Laurence Ferrari, journaliste de CNEWS, Europe 1 et Paris Match, a capté l'attention en lançant un monologue ressemblant à ses éditos quotidiens sur CNEWS.
Les fractures de l'Éducation Nationale
La première partie de la conférence était consacrée à l'Éducation Nationale, qui traverse une période difficile. Laurence Ferrari a souligné que l'éducation en France était l'une des plus chères au monde et que les résultats scolaires, notamment en mathématiques, étaient peu brillants selon le classement Pisa. Elle a évoqué le manque de candidats pour les postes de professeurs de mathématiques et le manque de connaissances des jeunes sur des événements historiques majeurs tels que la Révolution française, la Shoah et la Rafle du Vel d'Hiv. La journaliste a également pointé du doigt la peur ressentie par de nombreux enseignants face à la violence des élèves, des parents et des terroristes. Elle a ensuite abordé la question de la responsabilité des parents et de la guerre entre écoles privées et écoles publiques.
La question qui dérange
Laurence Ferrari a enfin posé sa question à Emmanuel Macron : elle lui a demandé de donner cinq exemples de mesures visant à restaurer l'autorité dans les écoles. Le président a d'abord répondu avec humour, provoquant des rires dans l'assemblée, avant d'évoquer quelques mesures concrètes.
Le lendemain, Laurence Ferrari est revenue sur la réaction qu'elle a suscitée auprès du président et de l'assemblée. Elle a déclaré ne pas se soucier de la réaction de la salle et a affirmé que les journalistes n'étaient pas là pour être serviles, mais pour apporter des faits et des chiffres. Elle a regretté que le groupe Vivendi n'ait pas eu l'opportunité de poser d'autres questions lors de la conférence de presse et a appelé le président à accepter la contradiction et à s'ouvrir à d'autres opinions.
#Journalisme #EducationNationale #Autorité #Débat