Guardiola, sa vision sur le poste d'entraîneur

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00:03 Nous aimons notre jeu. J'aime ce que je fais.

00:06 Que pouvons-nous faire ? C'est un rêve. C'est parfait.

00:16 Bien sûr, il y a de la pression et de la tension, mais au final, nous aimons notre jeu.

00:24 J'aime ce que je fais. J'ai une passion pour ça.

00:27 J'arrive ici deux heures avant la session de train et je prépare les images.

00:32 Je me dis que je vais parler avec les joueurs, je vais faire cette session de train, etc.

00:36 J'aime ça. J'aime ça.

00:39 Au final, c'est pas... Oui, pour la pression.

00:42 Oui, on peut gagner beaucoup.

00:44 Mais en même temps, je me dis que j'ai fait.

00:47 Et je laisse mon profession. J'ai déjà fait. Je suis en paix avec moi-même.

00:50 Le club m'a donné beaucoup, mais nous leur avons donné beaucoup aussi.

00:57 Je pense que nous sommes en paix. Nous avons fait.

01:01 Maintenant, je me dis que nous sommes ici, pourquoi ne pas le faire encore ?

01:15 Et être humble encore pour un équipe de championnat.

01:18 Défendre chaque pièce que nous devons faire et essayer de jouer le bon moyen avec le ballon.

01:24 Et sans ça, pourquoi ne pas le faire ?

01:26 Et oui, c'est juste un jeu de football et nous le faisons.

01:28 Après huit ans, on a le même message.

01:35 Et c'est pour ça que je l'ai dit plusieurs fois avec les managers, il n'y a pas un livre qui vous dit après huit ans ce que vous devez faire.

01:41 Donc, vous êtes là, vous voyez vos yeux, vous voyez les yeux de vos joueurs, de votre équipe et vous dites,

01:46 "Ok, aujourd'hui, vous devez faire ça, demain, vous devez faire ça,

01:49 et après demain, vous devez être complètement l'opposé."

01:51 Et toujours, je pense que le peur de perdre des Jeux, de décevoir les gens,

01:57 de décevoir vous-même, de maintenir ces standards au plus haut possible,

02:02 ça vous fait penser, "Ok, essayons de le faire encore."

02:05 Je pense que c'est un club où on se pousse les uns les autres.

02:08 Vous savez, mon chef m'a poussé et m'a dit, "Oh, Jaz, tu veux six titres, tu dois avoir cinq titres, tu peux gagner sept.

02:14 Pourquoi, qu'est-ce qui s'est passé?"

02:15 Et en riant, c'est un peu comme ça.

02:18 On se dénonce nos idées et, vous savez, c'est comme ça tous les jours.

02:23 Quand je n'aime pas comment ils courent en arrière, je les pousse, je les appuie, je n'aime pas,

02:27 ils montrent dans les images, je n'aime pas ce que vous faites.

02:30 Ok, on peut faire mieux, on peut faire mieux, parce que je sais que les équipes se préparent à vous battre.

02:35 Parce qu'on gagne beaucoup et c'est pour ça que vous devez travailler plus fort et vous laisser mieux.

02:40 Et réfléchir à ce que vous avez fait, on peut faire mieux.

02:43 C'est le seul processus que nous savons pour continuer à être là.

02:46 Les chiffres sont incroyables.

02:57 Donc, maintenant, je serai humble et je dirais, oui, ce sont des clubs incroyables.

03:02 Des joueurs incroyables.

03:05 La Barcelona, Munich et Man City, donc,

03:08 fort économiquement pour acheter les meilleurs joueurs du monde

03:11 et avoir l'ensemble de notre structure à notre disposition pour faire notre travail.

03:15 Et je pense que la mentalité que j'ai appris à l'école de Barcelona, à l'âge de 30 ans,

03:19 c'est qu'on ne peut pas perdre.

03:21 Il faut être meilleur et meilleur et meilleur.

03:24 Peut-être que c'est maintenant dans mes os de tenter d'inoculer

03:28 cette partie de notre problème compétitif

03:33 que tous les sports ont, dans mes joueurs, dans les clubs, dans la structure, dans la salle de salle.

03:39 de la première ligue.

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